Législatives à Lyon: Marc Chinal veut "bâtir une nouvelle civilisation"

Législatives à Lyon: Marc Chinal veut "bâtir une nouvelle civilisation"
Marc Chinal LyonMag.com

Candidat du mouvement Voter Après-Monnaie aux législatives dans la 3e circonscription de Lyon, Marc Chinal n’a qu’un seul mot d’ordre: il faut en finir avec la monnaie. L’homme a fait le tour des rédactions lyonnaise pour présenter son projet en brûlant à chaque fois un billet avant de s’en aller.

Candidat atypique, mais sur de lui, Marc Chinal veut proposer un monde meilleur, qui ne se limite pas à la région rhodanienne, ni à la France, mais au monde entier. Pour le candidat, le seul moyen de s’en sortir, est de créer une nouvelle civilisation, sans monnaie. "La même civilisation, sans le stress, un monde beaucoup plus simple mais pas simpliste". Son programme se décompose en deux phases. Commencer par promouvoir le savoir, comprendre le système économique, privilégier la philosophie, et la psychologie. "Faire un monde meilleur sans connaître l’humain, c’est marcher sur la tête", tempête-t-il. Le bruleur de devises (photo) veut ensuite en finir avec la monnaie qui  "fout le bazar". "Tant qu’on usera de la monnaie on est coincé, c’est mathématique", explique-t-il.  Concernant son mouvement Voter A-M, il est assez disparate, et ne présente qu’une dizaine de candidats sur toute la France.
 

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schtroumpf Savant le 27/05/2019 à 17:30

@ZIG,

PM a du mérite de vous répondre !!!
Vous partez dans tous les sens et même le plus brillant des logiciens doit avoir du mal à vous suivre...

Tout ça parce que vous vous refusez de fournir le moindre exepmle qui invaliderait l'approche globale du Survisme ! o:)

Alors, cet exemple ? o:)

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Zig le 27/05/2019 à 17:25
Post monétaire a écrit le 27/05/2019 à 15h47

Vous auriez dû continuer de suivre le sujet de "la moquerie" et des rires d'enfants qui se moquent d'autres,
car là, vous n'arrivez même plus à savoir ce qu'est :

l'existence,


"........................."La "survie" étant une existence, c'est sûr qu'il faut aussi définir de quelle existence on parle"
------------
Quoi, comment, de quelle existence vous parlez ?
On né, on vis, on existe, ce n'est pas comme le chat qui a 7 vies ! ......................."

La survie étant une existence après l'instant T, on doit définir quel élément "survit".
Si vous parlez d'un humain, d'une valeur, d'un caillou, etc.


une photographie des informations en présence,
(c'est ça la psychologie : déterminer les valeurs d'une personne et les mécaniques du traitement de l'information)

".........................Cette photographie, c'est une existance... (!!!???) que vous ou que nous devons définir (pour comprendre le discours). ....................."


Non, la "photographie" c'est le récapitulatif des informations qu'on a dans le cerveau et qui influent sur tel ou tel agissement ou pensée.

et l'instant T.
L'instant T étant l'instant que l'on analyse (le moment où il y a l'agissement ou la pensée à analyser)


:)


Bref,
je ne sais toujours pas si c'est la même personne qui me parle ou un troll,
et comme d'hab, aucun suivit réel de la discussion.

Suivit:
"Être placé, venir après, derrière quelqu'un, quelque chose dans l'espace..."

Vous faites un constat.
Je fais une question (ou plusieurs) sur ce constat.
Vous faites une réponse à ma question sur votre constat.
Je fais une question sur la réponse à ma question sur votre constat.
Vous faites une réponse à ma question sur votre réponse à ma question sur votre constat.
et ainsi de suite...

C'est une forme de suivit qui vaut ce qu'elle vaut mais qui reste suivie.

Vous ne le voyiez pas ainsi, comme d'hab, on ne voit jamais les choses de la même façon, et du coup vous me dites.

1/qu'il n'y a aucun suivit réel de la discussion, ("et comme d'hab, aucun suivit réel de la discussion.").
Ce qui EST TOTALEMENT FAUX.

2/que vous ne savez toujours pas si je suis un troll ou non.

Bref, on le constate, vous faites vraiment tout les efforts nécessaires pour qu'il y a un "réel" débat. Et je vous en remercie.

En tout cas, c'est vraiment le foutoir total dans votre théorie.

Vous voulez faire de la psychologie, vous faites une photographie du cerveau, et ça y est vous avez un récapitulatif des informations qu'on a dans le cerveau et qui influent sur tel ou tel agissement ou pensée.
Wouahh ...

C'est presque l'histoire de Saint Exupéry excédé face au Petit Prince qui lui demande avec insistance de lui dessiner un mouton.
Saint Ex lui dessine une boite avec des trous et lui dit "Ça c'est la caisse. Le mouton que tu veux est dedans."

Vous, pour nous expliquer les "rouages" complexes de la psy, les tenants et les aboutissants, les détours, les traumatismes, etc, vous nous conseillez de faire une photo du cerveau en guise de récapitulatif de toutes les informations qu'on a dans le cerveau et qui influent sur tel ou tel agissement ou pensée.
Et cette photo, c'est le survisme.
Basta.

Et après, vous vous vexez si je parle de simplisme!!!!!!!!!!!!

Bref, faites votre mauvaise foi en vantant le fait que personne n'arrive à invalider le survisme.

Mais admettez, (ou ne l'admettez pas, peu importe finalement) que vous même avez beaucoup de mal à valider votre approche en nous fournissant des explications cohérentes, simples et efficaces.
Je dirais même plus que vous n'y arrivez tout simplement pas.

Donc même s'il n'a jamais été invalidé, le survisme n'est toujours pas validé par l'auteur lui même.

Je ne sais plus qui a dit, je crois que c'est vous (!), que c'était merdique.

Je valide.

Jean-François X.
Villeurbanne.

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Merci schtroumpf Savant ! le 27/05/2019 à 17:16
Post monétaire a écrit le 27/05/2019 à 15h49

Et dire que vous n'arrivez pas à trouver 1 seul exemple invalidant l'approche du survisme avec ses explications noir sur blanc et ses nombreux exemples basés sur des cas concrets...

ça doit être frustrant pour vous, non ?

:o)

Appel aux cerveaux : www.survisme.info

Donc comme il n y a , à ma connaissance, aucune chaire de survisme en France....... c est une preuve de plus contre ce discours érigé en pseudo-science ?!

Ça pas plutôt ça qui est frustrant pour vous , non :) ?

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Elles sont où vos réponses ? le 27/05/2019 à 17:12
schtroumpf Savant a écrit le 27/05/2019 à 16h39

Désolé, bien tenté mais ça ne marche pas avec le Survisme ! o:)
Pourquoi ? Parce que le survisme est une théorie globale et qu'il vous appartient donc de trouver un exemple, ne serait-ce qu'un seul, pour invalider cette approche.

Alors, il est où votre exemple ? o:)

En quoi est ce une théorie globale ?
En quoi cela s invalide avec un exemple ?
Qui valide ou invalide et sur quels critères ?

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schtroumpf Savant le 27/05/2019 à 16:39
Merci ! a écrit le 27/05/2019 à 15h29

Donc comme il n y a , à ma connaissance, aucune chaire de survisme en France....... c est une preuve de plus contre ce discours érigé en pseudo-science ?!

Désolé, bien tenté mais ça ne marche pas avec le Survisme ! o:)
Pourquoi ? Parce que le survisme est une théorie globale et qu'il vous appartient donc de trouver un exemple, ne serait-ce qu'un seul, pour invalider cette approche.

Alors, il est où votre exemple ? o:)

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Post monétaire le 27/05/2019 à 15:49
Merci ! a écrit le 27/05/2019 à 15h29

Donc comme il n y a , à ma connaissance, aucune chaire de survisme en France....... c est une preuve de plus contre ce discours érigé en pseudo-science ?!

Et dire que vous n'arrivez pas à trouver 1 seul exemple invalidant l'approche du survisme avec ses explications noir sur blanc et ses nombreux exemples basés sur des cas concrets...

ça doit être frustrant pour vous, non ?

:o)

Appel aux cerveaux : www.survisme.info

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Post monétaire le 27/05/2019 à 15:47
Zig a écrit le 27/05/2019 à 06h31

À vrais dire, à chaque nouveau message, j'ai l'impression que vous rajoutez un nouveau concept embrouillant !

C'est très déstabilisant, et je parie que vous allez me dire que je suis déstabilisé car je "résiste" face à la vérité ou que c'est un réflexe de survie de ma part moi le soit disant freudien.

Alors que non, c'est vraiment car au lieu de m'apporter des éclaircissements, vous m'amènez plus loin dans le doute.

De vous:
------------
"La "survie" étant une existence, c'est sûr qu'il faut aussi définir de quelle existence on parle"
------------
Quoi, comment, de quelle existence vous parlez ?
On né, on vis, on existe, ce n'est pas comme le chat qui a 7 vies !

Vous embrayez sur:
------------
mais c'est là tout l'intérêt de l'approche du survisme : arriver à déterminer précisément les valeurs dominantes (informations qui interviennent dans l'analyse du cerveau à l'instant T (l'instant ou moment ou pensée ou agissement analysé))"
------------
Quel rapport avec la fameuse existance qu'il fallait définir au passage précédent ?
Je ne vois pas du tout.

Et vous concluez par:
------------
C'est juste une question d'identification de valeurs dominantes, de mécaniques, une sorte de photographie."
------------
Donc, pour résumer, la survie, c'est une photographie, à l'instant T, des valeurs dominantes (à cet instant).

Jusque là c'est compréhensible je pense.
C'est la suite qui ne l'est pas.
Cette photographie, c'est une existance... (!!!???) que vous ou que nous devons définir (pour comprendre le discours).

Pffff.
J'hésite mais je reste (volontairement) calme (c'est ma photo du moment).
Je serais curieux de savoir ce que d'autres ont compris ?

J'ai "peur" que vous ne compreniez même pas pourquoi ça coince dans vos explications que vous même, sur un point, vous aviez qualifié de merdique.

Sincèrement, est-ce que quelqu'un en mode "calme" et de censé (je ne sais plus trop s'il y a des gens censés sur LM) peut me dire si j'ai besoin de changer de lunette où non ?

Vous auriez dû continuer de suivre le sujet de "la moquerie" et des rires d'enfants qui se moquent d'autres,
car là, vous n'arrivez même plus à savoir ce qu'est :

l'existence,


"........................."La "survie" étant une existence, c'est sûr qu'il faut aussi définir de quelle existence on parle"
------------
Quoi, comment, de quelle existence vous parlez ?
On né, on vis, on existe, ce n'est pas comme le chat qui a 7 vies ! ......................."

La survie étant une existence après l'instant T, on doit définir quel élément "survit".
Si vous parlez d'un humain, d'une valeur, d'un caillou, etc.


une photographie des informations en présence,
(c'est ça la psychologie : déterminer les valeurs d'une personne et les mécaniques du traitement de l'information)

".........................Cette photographie, c'est une existance... (!!!???) que vous ou que nous devons définir (pour comprendre le discours). ....................."


Non, la "photographie" c'est le récapitulatif des informations qu'on a dans le cerveau et qui influent sur tel ou tel agissement ou pensée.

et l'instant T.
L'instant T étant l'instant que l'on analyse (le moment où il y a l'agissement ou la pensée à analyser)


:)


Bref,
je ne sais toujours pas si c'est la même personne qui me parle ou un troll,
et comme d'hab, aucun suivit réel de la discussion.

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Merci ! le 27/05/2019 à 15:29
schtroumpf Savant a écrit le 27/05/2019 à 14h50

Merci !

Donc comme il n y a , à ma connaissance, aucune chaire de survisme en France....... c est une preuve de plus contre ce discours érigé en pseudo-science ?!

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schtroumpf Savant le 27/05/2019 à 14:50
Mont Monnet a écrit le 27/05/2019 à 08h03

Il n'y a en France aucune chaire de psychanalyse. C'est une preuve de plus contre ce discours érigé en pseudo-science.

Merci !

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schtroumpf Savant le 27/05/2019 à 08:14
Zig a écrit le 24/05/2019 à 13h18

Exactement tort, avec un T
o:)

Vous n'avez pas tord, on écrit tord avec un t.
Je reconnais mon tord qui s'explique par une lecture assidue de Monsieur Hugos.

Mais sur le fond, quand allez vous nous donner cet exemple d'un rire qui ne viendrait pas de la peur ????

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Mont Monnet le 27/05/2019 à 08:03

Il n'y a en France aucune chaire de psychanalyse. C'est une preuve de plus contre ce discours érigé en pseudo-science.

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Zig le 27/05/2019 à 06:31
Post monétaire a écrit le 26/05/2019 à 14h57

@ Zig ou tout autre personne qui répond avec ce pseudo



"....................C'est très flou tout cela. Le dosage de votre alchimie me semble très incertain pour pouvoir affirmer qu'à chaque fois que quelqu'un rie, il y a de la peur....................."

pourtant vous l'avez démontré vous-même :


"........................Toujours est-il que effectivement cette moquerie peut provoquer une blessure de l'ego du surdoué.
Et effectivement, une blessure peut provoquer de la peur chez le surdoué de l'histoire, et pourquoi pas des chez les spectateurs de la moquerie......................"

si vous voulez savoir si cette "blessure", ce "danger" est présent ou non lorsque les personnes en question rient, demandez leur si, lorsqu'on compare une personne à une autre en montrant sa faiblesse, l'exposition de cette faiblesse est "dangereuse" ou pas.
Pour certaines personnes, leurs valeurs dominantes passent par : "je suis dieu, donc je n'ai pas de défaut".
Pour d'autres, avoir des défauts n'est pas un problème, d'autres encore ont envie de s'améliorer, donc l'exposition de leur faiblesse est pris comme "constructive".

C'est différent pour chaque personne (même s'il y a des "familles" ou groupes de personnes qui agissent de manière identiques) suivant ses valeurs dominantes, mais chaque fois derrière, ce qui motive leur choix perso, c'est :
"cette valeur assure mieux ma survie, je lui donne de l'importance en la protégeant / cette autre valeur menace ma survie, je fais en sorte de l'éliminer ou qu'elle ne représente plus une menace pour ma survie".






"...................Idem avec votre fameux Instant T.
C'est un instant précis puisque vous l'appelez T.
Vous vous en servez pour donner la définition de Survie *Présence après l'instant T*.
Mais c'est quoi T ?
Si on ne définit pas T, Survie aussi reste indefinit. .........................."

Je ne comprends pas ce que vous ne comprenez pas alors que vous avez expliqué ce qu'est l'instant T.
Peut-être qu'il faut préciser "l'instant T de l'analyse par le cerveau" lorsqu'il s'agit de comprendre des valeurs dominantes ?

La "survie" étant une existence, c'est sûr qu'il faut aussi définir de quelle existence on parle, mais c'est là tout l'intérêt de l'approche du survisme : arriver à déterminer précisément les valeurs dominantes (informations qui interviennent dans l'analyse du cerveau à l'instant T (l'instant ou moment ou pensée ou agissement analysé))

Et je le répète, cette analyse de la psyché a l'avantage de ne jamais dire ce que VOUS DEVEZ PENSER car la survie peut autant passer par (exemple) "manger de la viande" ou "ne pas manger de la viande".

C'est juste une question d'identification de valeurs dominantes, de mécaniques, une sorte de photographie.


"............................*Est-ce plus claire ? Ou pas ?*
Je répond PAS PLUS.
Dois-je lister point par point les zones d'ombres pour vous convaincre ? ........................."

ce serait bien oui,
à moins que vous ne croyiez pas en ma sincérité à vouloir comprendre ce qui n'est pas compréhensible à vos yeux.
Je ne cherche pas à convaincre, mais à être constructif, à comprendre, à "déterminer ce qui est".

(vous savez très bien vu le nombre d'insultes et autres foutage de gueule que je reçois ici, que je ne suis pas là pour être flatté ou même pour avoir "ma dose d'harmonie"... cette dernière, je me les procure ailleurs ;o)



".........................Bien vu l'info sur les petits partis qui annoncent "imprimez vos bulletins de votes" encore faut-il les trouver !........................"

vous ne voudriez pas que les gros médias de masse, donnent les moyens (facilitent) aux électeurs la possibilité de voter pour "autre chose" que les gros partis qui leur servent la soupe ?

:o)
34 listes aux élections européennes, forcément une qui est proche de vos idées ! :)
https://elections.interieur.gouv.fr/europeennes-2019/

À vrais dire, à chaque nouveau message, j'ai l'impression que vous rajoutez un nouveau concept embrouillant !

C'est très déstabilisant, et je parie que vous allez me dire que je suis déstabilisé car je "résiste" face à la vérité ou que c'est un réflexe de survie de ma part moi le soit disant freudien.

Alors que non, c'est vraiment car au lieu de m'apporter des éclaircissements, vous m'amènez plus loin dans le doute.

De vous:
------------
"La "survie" étant une existence, c'est sûr qu'il faut aussi définir de quelle existence on parle"
------------
Quoi, comment, de quelle existence vous parlez ?
On né, on vis, on existe, ce n'est pas comme le chat qui a 7 vies !

Vous embrayez sur:
------------
mais c'est là tout l'intérêt de l'approche du survisme : arriver à déterminer précisément les valeurs dominantes (informations qui interviennent dans l'analyse du cerveau à l'instant T (l'instant ou moment ou pensée ou agissement analysé))"
------------
Quel rapport avec la fameuse existance qu'il fallait définir au passage précédent ?
Je ne vois pas du tout.

Et vous concluez par:
------------
C'est juste une question d'identification de valeurs dominantes, de mécaniques, une sorte de photographie."
------------
Donc, pour résumer, la survie, c'est une photographie, à l'instant T, des valeurs dominantes (à cet instant).

Jusque là c'est compréhensible je pense.
C'est la suite qui ne l'est pas.
Cette photographie, c'est une existance... (!!!???) que vous ou que nous devons définir (pour comprendre le discours).

Pffff.
J'hésite mais je reste (volontairement) calme (c'est ma photo du moment).
Je serais curieux de savoir ce que d'autres ont compris ?

J'ai "peur" que vous ne compreniez même pas pourquoi ça coince dans vos explications que vous même, sur un point, vous aviez qualifié de merdique.

Sincèrement, est-ce que quelqu'un en mode "calme" et de censé (je ne sais plus trop s'il y a des gens censés sur LM) peut me dire si j'ai besoin de changer de lunette où non ?

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Zig le 27/05/2019 à 00:30

"vous savez très bien vu le nombre d'insultes et autres foutage de gueule que je reçois ici, que je ne suis pas là pour être flatté ou même pour avoir "ma dose d'harmonie"... cette dernière, je me les procure ailleurs ;o)"
Signé PM.

N'est-ce pas le principe de l'arroseur arrosé, ou la conséquence du choix de ses valeurs dolinantes?

Vous avez le choix.
N'est ce pas cela le principe de Survisme?

Mais si pour survivre, vous devez paraître sur LyonMag et garder le cap que vous vous êtes choisis dans votre forme de lutte post-monétaire, et bien vous devez passer par là (insultes, et foutage de gueule) pour votre harmonie.

Mais à votre manière, vous nous le rendez bien aussi...

C'est l'escalade.
Le moins con sera sans doute celui qui laissera l'autre cracher plus haut.

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Zig le 26/05/2019 à 21:45
Lumière du 7eme a écrit le 26/05/2019 à 10h40

Lorsque je vois tout ces freudiens et ces trolls anonymes attaquer Monsieur Chinal, cela me fait penser à ce proverbe asiatique:
"La valeur d'un homme se reconnait au nombre de ses ennemis".

A méditer messieurs dames.

Au passage, il n'est pas précisé si c'est au PETIT ou au GRAND nombre de ses ennemis.

Bon, je ne faisait que passer sur cette remarque.

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votez am team, les meilleurs le 26/05/2019 à 19:50
Post monétaire a écrit le 26/05/2019 à 19h17

Oui oui, un comique, un charlatan, un chieur, un bouffon, etc...

que de bons arguments de la part d'un commentateur qui se planque pour cracher et pour dire "la vérité" :o)

Je parlais pas de vous.

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Las Vegas Parano le 26/05/2019 à 19:42
Lumière du 7eme a écrit le 26/05/2019 à 10h40

Lorsque je vois tout ces freudiens et ces trolls anonymes attaquer Monsieur Chinal, cela me fait penser à ce proverbe asiatique:
"La valeur d'un homme se reconnait au nombre de ses ennemis".

A méditer messieurs dames.

Faudrait savoir les gars, un coup on est la même personne avec plein de pseudos différents, un coup on est pleins de nombreux ennemis.

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C est factuel le 26/05/2019 à 19:34
Post monétaire a écrit le 26/05/2019 à 19h17

Oui oui, un comique, un charlatan, un chieur, un bouffon, etc...

que de bons arguments de la part d'un commentateur qui se planque pour cracher et pour dire "la vérité" :o)

Juste un constat visiblement largement partagé

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Post monétaire le 26/05/2019 à 19:17
votez am team, les meilleurs a écrit le 26/05/2019 à 18h03

La valeur d'un comique et d'un charlatan se reconnait au nombre de ses commentaires journaliers et mensuels :o)

Oui oui, un comique, un charlatan, un chieur, un bouffon, etc...

que de bons arguments de la part d'un commentateur qui se planque pour cracher et pour dire "la vérité" :o)

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votez am team, les meilleurs le 26/05/2019 à 18:03
Lumière du 7eme a écrit le 26/05/2019 à 10h40

Lorsque je vois tout ces freudiens et ces trolls anonymes attaquer Monsieur Chinal, cela me fait penser à ce proverbe asiatique:
"La valeur d'un homme se reconnait au nombre de ses ennemis".

A méditer messieurs dames.

La valeur d'un comique et d'un charlatan se reconnait au nombre de ses commentaires journaliers et mensuels :o)

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Post monétaire le 26/05/2019 à 14:57

@ Zig ou tout autre personne qui répond avec ce pseudo



"....................C'est très flou tout cela. Le dosage de votre alchimie me semble très incertain pour pouvoir affirmer qu'à chaque fois que quelqu'un rie, il y a de la peur....................."

pourtant vous l'avez démontré vous-même :


"........................Toujours est-il que effectivement cette moquerie peut provoquer une blessure de l'ego du surdoué.
Et effectivement, une blessure peut provoquer de la peur chez le surdoué de l'histoire, et pourquoi pas des chez les spectateurs de la moquerie......................"

si vous voulez savoir si cette "blessure", ce "danger" est présent ou non lorsque les personnes en question rient, demandez leur si, lorsqu'on compare une personne à une autre en montrant sa faiblesse, l'exposition de cette faiblesse est "dangereuse" ou pas.
Pour certaines personnes, leurs valeurs dominantes passent par : "je suis dieu, donc je n'ai pas de défaut".
Pour d'autres, avoir des défauts n'est pas un problème, d'autres encore ont envie de s'améliorer, donc l'exposition de leur faiblesse est pris comme "constructive".

C'est différent pour chaque personne (même s'il y a des "familles" ou groupes de personnes qui agissent de manière identiques) suivant ses valeurs dominantes, mais chaque fois derrière, ce qui motive leur choix perso, c'est :
"cette valeur assure mieux ma survie, je lui donne de l'importance en la protégeant / cette autre valeur menace ma survie, je fais en sorte de l'éliminer ou qu'elle ne représente plus une menace pour ma survie".






"...................Idem avec votre fameux Instant T.
C'est un instant précis puisque vous l'appelez T.
Vous vous en servez pour donner la définition de Survie *Présence après l'instant T*.
Mais c'est quoi T ?
Si on ne définit pas T, Survie aussi reste indefinit. .........................."

Je ne comprends pas ce que vous ne comprenez pas alors que vous avez expliqué ce qu'est l'instant T.
Peut-être qu'il faut préciser "l'instant T de l'analyse par le cerveau" lorsqu'il s'agit de comprendre des valeurs dominantes ?

La "survie" étant une existence, c'est sûr qu'il faut aussi définir de quelle existence on parle, mais c'est là tout l'intérêt de l'approche du survisme : arriver à déterminer précisément les valeurs dominantes (informations qui interviennent dans l'analyse du cerveau à l'instant T (l'instant ou moment ou pensée ou agissement analysé))

Et je le répète, cette analyse de la psyché a l'avantage de ne jamais dire ce que VOUS DEVEZ PENSER car la survie peut autant passer par (exemple) "manger de la viande" ou "ne pas manger de la viande".

C'est juste une question d'identification de valeurs dominantes, de mécaniques, une sorte de photographie.


"............................*Est-ce plus claire ? Ou pas ?*
Je répond PAS PLUS.
Dois-je lister point par point les zones d'ombres pour vous convaincre ? ........................."

ce serait bien oui,
à moins que vous ne croyiez pas en ma sincérité à vouloir comprendre ce qui n'est pas compréhensible à vos yeux.
Je ne cherche pas à convaincre, mais à être constructif, à comprendre, à "déterminer ce qui est".

(vous savez très bien vu le nombre d'insultes et autres foutage de gueule que je reçois ici, que je ne suis pas là pour être flatté ou même pour avoir "ma dose d'harmonie"... cette dernière, je me les procure ailleurs ;o)



".........................Bien vu l'info sur les petits partis qui annoncent "imprimez vos bulletins de votes" encore faut-il les trouver !........................"

vous ne voudriez pas que les gros médias de masse, donnent les moyens (facilitent) aux électeurs la possibilité de voter pour "autre chose" que les gros partis qui leur servent la soupe ?

:o)
34 listes aux élections européennes, forcément une qui est proche de vos idées ! :)
https://elections.interieur.gouv.fr/europeennes-2019/

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Zig le 26/05/2019 à 14:26
Post monétaire a écrit le 26/05/2019 à 12h19

@ ZIG :

"........................C'est intéressant car vous spécifiez tout de même
*PAS UNIQUEMENT NOS PEURS
puisqu'ils est attiré par l'harmonie, le bien être)* .............."


mais je vous l'avais déjà précisé plusieurs fois.
La survie passe autant par "réagir face aux dangers" que "aller vers ce qui assure notre survie".
C'est vous et d'autres qui focaliser sur "la peur" et "la mort" parce que le mot survie est dans notre culture actuelle, attachée à "la jungle, la mort, etc".
Mais la survie, à la racine, c'est "Présence après l'instant T".
(on ne va pas recommencer le débat sur "le non vivant" qui survit (idée, monument, etc ;) on l'a déjà eu il y a quelques mois.)



"......................... (selon vous, "c'est juste l'étiquette de cette "comparaison" qui mène au rire. " qu'est-ce ? ).
Quelle comparaison ? ....................."

dans l'exemple que vous avez donné (le surdoué qui ne sait pas se faire à manger je crois), il y a comparaison entre différents statuts :

"un surdoué" et "un handicapé".
C'est cette comparaison qui peut faire peur. (ego menacé des personnes).


"...........................Dans les synonymes de moquerie, je lis
Raillerie Plaisanterie Taquinerie ...
Ce ne sont pas vraiment des termes associable à des situations de danger................."


comme vous le dites, c'est une question de définition de danger.
Mais quelle que soit l'étiquette du mot qui qualifie la comparaison, si par exemple dans une cours d'école un enfant se met à dire :
"ha ha, t'est une grosse vache !" à un autre enfant,
dans cette raillerie, plaisanterie, taquinerie ou comme vous voudrez appeler cette comparaison,
la personne (l'enfant) qui recevra cette "comparaison" le prendra généralement mal (survie menacée par cette dégradation de son image),
quand d'autres enfants y verront "moins de danger mais un danger quand même si cette comparaison s'adressait à eux",
ce qui fait que cette information, pour ce public (les autres enfants qui entendent cette comparaison), équivaudra à
"danger mais... finalement pas de danger pour moi", et donc, déclenchement du rire des enfants face à cette "moquerie".

Et pour compléter le tableau, celui ou celle qui aura qualifié cet enfant de "grosse vache", ne sera pas non plus réellement dans le rire tranquille, il ou elle sera plus dans la haine, dans l'envie d'écraser parce que sa "cible" l'aura "menacé" autrement (par jalousie ou autre).
(ce qui ne l'empêchera pas de rire car elle sait qu'elle a franchi les limites du respect, mais ce franchissement de limite, de danger, ne sera pas non plus "finalement dangereux" pour elle. (jusqu'au moment où elle pourra être punie, et là, ça ne la fera plus rire parce que le danger sera trop présent pour elle).



Est-ce plus claire ?
Ou pas ?


Sur ce, lecteurs de ce commentaire perdu sur un site perdu :
34 listes aux élections européennes, forcément une qui est proche de vos idées ! :)
https://elections.interieur.gouv.fr/europeennes-2019/

et n'oubliez pas de télécharger puis imprimer votre bulletin de vote avant d'aller voter (pour les listes qui n'ont pas assez de monnaie pour imprimer des millions de bulletins de vote)
Vive la monnaie dans notre démocratie ? ;)

www.postmonetaire.fr

Biensur que j'ai compris, c'est assez "merdique" comme explications comme vous l'aviez suggèrè ailleurs.

Pleins de zig-zag inutiles, si on allége et enleve l'inutile, ça devient compréhensible, mais pas forcément juste.

Par exemple, une moquerie:
Dire à un surdoué "tu es trop intelligent pour comprendre" (c'était l'exemple que je donnais) ce n'est pas forcément une comparaison, et encore moins entre lui et un handicapé.

Mais comparaison ou pas, on s'en fout finalement.
Toujours est-il que effectivement cette moquerie peut provoquer une blessure de l'ego du surdoué.

Et effectivement, une blessure peut provoquer de la peur chez le surdoué de l'histoire, et pourquoi pas des chez les spectateurs de la moquerie.

C'est très flou tout cela. Le dosage de votre alchimie me semble très incertain pour pouvoir affirmer qu'à chaque fois que quelqu'un rie, il y a de la peur.

J'ai même le sentiment que vous complexifiez les choses pour laisser le doute s'installer (finalement, y a t'il peur ou non ? Peut-être bien que oui ! C'est complexe) et suggérer que OUI IL Y A PEUR.

Idem avec votre fameux Instant T.
C'est un instant précis puisque vous l'appelez T.
Vous vous en servez pour donner la définition de Survie *Présence après l'instant T*.
Mais c'est quoi T ?
Si on ne définit pas T, Survie aussi reste indefinit.

Donc là encore, vous nous donnez une définition on ne peut plus floue de Survie.

Donc à la question finale
*Est-ce plus claire ? Ou pas ?*
Je répond PAS PLUS.

Dois-je lister point par point les zones d'ombres pour vous convaincre ?

PS:
Bien vu l'info sur les petits partis qui annoncent "imprimez vos bulletins de votes" encore faut-il les trouver !

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Oups le 26/05/2019 à 13:44
Chiche? a écrit le 25/05/2019 à 20h41

Le procureur de la république appréciera surement de mettre un peu le nez dans vos différentes activités commerciales et votre blog du survisme (soigner l'anorexie, etc..) :o)

Aie pas cool....

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Post monétaire le 26/05/2019 à 12:19

@ ZIG :

"........................C'est intéressant car vous spécifiez tout de même
*PAS UNIQUEMENT NOS PEURS
puisqu'ils est attiré par l'harmonie, le bien être)* .............."


mais je vous l'avais déjà précisé plusieurs fois.
La survie passe autant par "réagir face aux dangers" que "aller vers ce qui assure notre survie".
C'est vous et d'autres qui focaliser sur "la peur" et "la mort" parce que le mot survie est dans notre culture actuelle, attachée à "la jungle, la mort, etc".
Mais la survie, à la racine, c'est "Présence après l'instant T".
(on ne va pas recommencer le débat sur "le non vivant" qui survit (idée, monument, etc ;) on l'a déjà eu il y a quelques mois.)



"......................... (selon vous, "c'est juste l'étiquette de cette "comparaison" qui mène au rire. " qu'est-ce ? ).
Quelle comparaison ? ....................."

dans l'exemple que vous avez donné (le surdoué qui ne sait pas se faire à manger je crois), il y a comparaison entre différents statuts :

"un surdoué" et "un handicapé".
C'est cette comparaison qui peut faire peur. (ego menacé des personnes).


"...........................Dans les synonymes de moquerie, je lis
Raillerie Plaisanterie Taquinerie ...
Ce ne sont pas vraiment des termes associable à des situations de danger................."


comme vous le dites, c'est une question de définition de danger.
Mais quelle que soit l'étiquette du mot qui qualifie la comparaison, si par exemple dans une cours d'école un enfant se met à dire :
"ha ha, t'est une grosse vache !" à un autre enfant,
dans cette raillerie, plaisanterie, taquinerie ou comme vous voudrez appeler cette comparaison,
la personne (l'enfant) qui recevra cette "comparaison" le prendra généralement mal (survie menacée par cette dégradation de son image),
quand d'autres enfants y verront "moins de danger mais un danger quand même si cette comparaison s'adressait à eux",
ce qui fait que cette information, pour ce public (les autres enfants qui entendent cette comparaison), équivaudra à
"danger mais... finalement pas de danger pour moi", et donc, déclenchement du rire des enfants face à cette "moquerie".

Et pour compléter le tableau, celui ou celle qui aura qualifié cet enfant de "grosse vache", ne sera pas non plus réellement dans le rire tranquille, il ou elle sera plus dans la haine, dans l'envie d'écraser parce que sa "cible" l'aura "menacé" autrement (par jalousie ou autre).
(ce qui ne l'empêchera pas de rire car elle sait qu'elle a franchi les limites du respect, mais ce franchissement de limite, de danger, ne sera pas non plus "finalement dangereux" pour elle. (jusqu'au moment où elle pourra être punie, et là, ça ne la fera plus rire parce que le danger sera trop présent pour elle).



Est-ce plus claire ?
Ou pas ?


Sur ce, lecteurs de ce commentaire perdu sur un site perdu :
34 listes aux élections européennes, forcément une qui est proche de vos idées ! :)
https://elections.interieur.gouv.fr/europeennes-2019/

et n'oubliez pas de télécharger puis imprimer votre bulletin de vote avant d'aller voter (pour les listes qui n'ont pas assez de monnaie pour imprimer des millions de bulletins de vote)
Vive la monnaie dans notre démocratie ? ;)

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Lumière du 7eme le 26/05/2019 à 10:40

Lorsque je vois tout ces freudiens et ces trolls anonymes attaquer Monsieur Chinal, cela me fait penser à ce proverbe asiatique:
"La valeur d'un homme se reconnait au nombre de ses ennemis".

A méditer messieurs dames.

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Zig le 26/05/2019 à 09:19

Je prolonge ma réflexion.
Je n'ai toujours pas compris l'histoire de la comparaison !

PM, vous écrivez
"Depuis le début de cette discussion, je me demande pourquoi "la peur" est si "problématique" que certains ne la voient pas. En quoi est-ce un problème que notre cerveau soit fait pour gérer nos peurs ? (pas uniquement nos peurs puisqu'ils est attiré par l'harmonie, le bien être)."

C'est intéressant car vous spécifiez tout de même
*PAS UNIQUEMENT NOS PEURS
puisqu'ils est attiré par l'harmonie, le bien être)*

Je conclus qu'effectivement ce n'est pas un problème si notre cerveau est fait pour gérer pas uniquement nos peurs.

Tout comme ce n'est pas un problème si le rire ne nait pas uniquement que de nos peurs.

Mais peut-être que derrière le mot PEUR, tout le monde ne met pas le même sens.
L'étendue de la peur est très vaste, ça va de la petite inquiétude à propos de tout (pour le gros inquiet de nature) à la grosse panique (qui n'arrive pas tout les jours).

Et effectivement, derrière chaque banale question, on peut y voir au moins une petite inquiétude. (va t'il faire beau aujourd'hui ?).

Mais à mon avis, ce n'est pas pour autant que le rire ne nait que de la peur.

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Zig le 25/05/2019 à 23:21
Post monétaire a écrit le 25/05/2019 à 18h58

".................Je ne suis pas vraiment sûr que cette moquerie faite sur sa différence soit mal vécut par ce surdoué. ..............."

c'est vous qui voyez si ce faire qualifier d'handicapé est du côte de bien être ou du mal être.


à propos d''absurdité et de moquerie.

Mon explication avec la sémantique "étiquette" était merdique.
Donc, je reprends :

En utilisant votre exemple de moquerie : une personne a pour objectif de nuire à une autre en la comparant à une personne qui n'est pas "optimale" dans ses aptitudes. (on peut dire à la place de "nuire", lui faire "prendre conscience" mais dans la moquerie il n'y a en général pas beaucoup de bienveillance).

Le processus qui donne en finalité du rire, est donc qualifié de moquerie, mais c'est juste l'étiquette de cette "comparaison" qui mène au rire.
Ce n'est donc pas une "cause" dans la mécanique.
Ce qui a fait le rire c'est la comparaison (abusive ou non) qui montre une face de la vie de cette personne, que cette personne n'aime probablement pas voir.
Vous ne pensez pas qu'il y ait du "danger" dans cette "mise à plat", moi je pense qu'il est bien là.
(Comme d'hab pour le déclenchement du rire, un "danger" relatif, c'est à dire finalement pas réellement dangereux.)


Depuis le début de cette discussion, je me demande pourquoi "la peur" est si "problématique" que certains ne la voient pas. En quoi est-ce un problème que notre cerveau soit fait pour gérer nos peurs ? (pas uniquement nos peurs puisqu'ils est attiré par l'harmonie, le bien être).

Est-ce lié à un :
"Peur ? Moi ? Jamais ! Je suis un adulte ! je n'ai pas peur ! Tu me prends pour qui ? Je suis un être supérieur !"

?

(je ne parle pas spécialement pour vous).

Franchement, si je voulais me moquer à propos de:
"Mon explication avec la sémantique "étiquette" était merdique.
Donc, je reprends"
Je dirais que c'est pas mieux.

Et si je voulais être sincère je dirais la nuit porte conseille pour ne pas dire que je ne vois pas mieux surtout à cause de la comparaison (selon vous, "c'est juste l'étiquette de cette "comparaison" qui mène au rire. " qu'est-ce ? ).

Quelle comparaison ?
Franchement je ne vois pas !

Dans les synonymes de moquerie, je lis
Raillerie
Plaisanterie
Taquinerie
...

Ce ne sont pas vraiment des termes associable à des situations de danger.

Donc je ne partage relativement pas votre avis, ("dans la moquerie il n'y a en général pas beaucoup de bienveillance") .
Pourquoi relativement ?
Parce que parfois si, il peut y avoir beaucoup de bienveillance, peut être comme vous l'indiquez vous même pour faire "prendre conscience" d'un défaut à corriger.

Par exemple à l'epoux surdoué :
"c'est vrai, tu es trop intelligent pour comprendre que tu peux prendre tes clés de garage avant de prendre ton vélo pour partir au boulot!"

C'est une moquerie qui ne met pas en danger l'epoux et son égo me semble t'il.

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Rire n'a Jamais Tué Personne le 25/05/2019 à 20:45
Bonjour le mytho a écrit le 25/05/2019 à 17h50

"Le procureur de la république appréciera surement que vous le preniez pour un personnage de sketch !"

Oui, oui, pis le ministre de la Justice aussi!

Hahaha, non mais franchement, vous avez quel âge pour raconter de telles conneries?

Il est génial n'est-ce pas? :o)

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Chiche? le 25/05/2019 à 20:41
Post monétaire a écrit le 25/05/2019 à 11h39

Le procureur de la république appréciera surement que vous le preniez pour un personnage de sketch ! :o)

Le procureur de la république appréciera surement de mettre un peu le nez dans vos différentes activités commerciales et votre blog du survisme (soigner l'anorexie, etc..) :o)

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Post monétaire le 25/05/2019 à 18:58
Zig a écrit le 25/05/2019 à 14h13

S'il y a forcément du danger derrière l'absurdité et la moquerie ?

C'est pas évident qu'il y ait du danger derrière tout ça non !
Tellement pas dans certains cas que ça en devient totalement inoffensif.

Comme se moquer d'un surdoué qui néglige de faire certaines choses les plus simple en lui disant "biensur, tu es trop intelligent pour comprendre !".

Je ne suis pas vraiment sûr que cette moquerie faite sur sa différence soit mal vécut par ce surdoué.

Ensuite, vous me parlez d'étiquettes au lieu de causes.


L'absurdité, la moquerie, seraient des étiquettes, et non des causes...

Tout cela pourquoi ?

Pour laisser entendre que la peur a plusieurs étiquettes dont la moquerie et l'absurdité ?

Qu'est-ce que ce que vous appelez étiquette ?

L'absurdité et la moquerie peuvent PARFOIS être causes de peurs...

MAIS, mais, mais:
l'inverse aussi d'ailleurs.
La peur de certains peut être cause de moquerie pour d'autre tout comme les moqueries de certains peuvent être peurs pour d'autre.

Donc nous voilà bien avancé dans ce "système bidirectionnel" pour indiquer qui est cause et qui est étiquette !

En tout cas nous voilà mal barré pour dire que la peur et seule la peur est "cause" et n'est rien d'autre que "cause".

".................Je ne suis pas vraiment sûr que cette moquerie faite sur sa différence soit mal vécut par ce surdoué. ..............."

c'est vous qui voyez si ce faire qualifier d'handicapé est du côte de bien être ou du mal être.


à propos d''absurdité et de moquerie.

Mon explication avec la sémantique "étiquette" était merdique.
Donc, je reprends :

En utilisant votre exemple de moquerie : une personne a pour objectif de nuire à une autre en la comparant à une personne qui n'est pas "optimale" dans ses aptitudes. (on peut dire à la place de "nuire", lui faire "prendre conscience" mais dans la moquerie il n'y a en général pas beaucoup de bienveillance).

Le processus qui donne en finalité du rire, est donc qualifié de moquerie, mais c'est juste l'étiquette de cette "comparaison" qui mène au rire.
Ce n'est donc pas une "cause" dans la mécanique.
Ce qui a fait le rire c'est la comparaison (abusive ou non) qui montre une face de la vie de cette personne, que cette personne n'aime probablement pas voir.
Vous ne pensez pas qu'il y ait du "danger" dans cette "mise à plat", moi je pense qu'il est bien là.
(Comme d'hab pour le déclenchement du rire, un "danger" relatif, c'est à dire finalement pas réellement dangereux.)


Depuis le début de cette discussion, je me demande pourquoi "la peur" est si "problématique" que certains ne la voient pas. En quoi est-ce un problème que notre cerveau soit fait pour gérer nos peurs ? (pas uniquement nos peurs puisqu'ils est attiré par l'harmonie, le bien être).

Est-ce lié à un :
"Peur ? Moi ? Jamais ! Je suis un adulte ! je n'ai pas peur ! Tu me prends pour qui ? Je suis un être supérieur !"

?

(je ne parle pas spécialement pour vous).

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Post monétaire le 25/05/2019 à 18:36
50/50 a écrit le 25/05/2019 à 18h21

Je crois qu'il n'y a pas une semaine où ce type nous dit qu'il est allé porter plainte :o)

50% mytho / 50% pleurnicheur

"................ Je crois qu'il n'y a pas une semaine où ce type nous dit qu'il est allé porter plainte :o)....................."

une belle déclaration 100% mytho :)


"...................50% pleurnicheur..................."

snif... snif... :o)

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Les bronzés font du survisme le 25/05/2019 à 18:26
Post monétaire a écrit le 25/05/2019 à 18h08

Continuez bien à vous cacher... :)

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R11469

Continuez bien à nous faire rire... :)

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50/50 le 25/05/2019 à 18:21
Bonjour le mytho a écrit le 25/05/2019 à 17h50

"Le procureur de la république appréciera surement que vous le preniez pour un personnage de sketch !"

Oui, oui, pis le ministre de la Justice aussi!

Hahaha, non mais franchement, vous avez quel âge pour raconter de telles conneries?

Je crois qu'il n'y a pas une semaine où ce type nous dit qu'il est allé porter plainte :o)

50% mytho / 50% pleurnicheur

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Post monétaire le 25/05/2019 à 18:08
Bonjour le mytho a écrit le 25/05/2019 à 17h50

"Le procureur de la république appréciera surement que vous le preniez pour un personnage de sketch !"

Oui, oui, pis le ministre de la Justice aussi!

Hahaha, non mais franchement, vous avez quel âge pour raconter de telles conneries?

Continuez bien à vous cacher... :)

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R11469

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Bonjour le mytho le 25/05/2019 à 17:50
Post monétaire a écrit le 25/05/2019 à 11h39

Le procureur de la république appréciera surement que vous le preniez pour un personnage de sketch ! :o)

"Le procureur de la république appréciera surement que vous le preniez pour un personnage de sketch !"

Oui, oui, pis le ministre de la Justice aussi!

Hahaha, non mais franchement, vous avez quel âge pour raconter de telles conneries?

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Zig le 25/05/2019 à 14:13
Post monétaire a écrit le 24/05/2019 à 20h55

"absurdité" "moquerie"

il n'y a aucune notion de danger derrière ces mots, pour vous ?

L'absurdité est "l'illogisme".
La moquerie est faite généralement sur des "différences" mal vécues.
non ?

Pour moi "absurdité" "moquerie" sont des "qualificatifs" de rire, des étiquettes, mais pas des causes.


Au fait, j'ai oublié de préciser que j'ai trouvé intéressant que vous ayez un autre regard "sans le son" des pauvres pandas dans leur cellule.
C'est vrai que sans le son (vu que c'est ça l'événement, base du rire), ça change beaucoup l'analyse...
Et effectivement, connaissant votre "amour des animaux" votre grille de lecture s'est portée sur cela. La peur est donc trop présente pour générer du rire, même dans le mouvement sans son.

S'il y a forcément du danger derrière l'absurdité et la moquerie ?

C'est pas évident qu'il y ait du danger derrière tout ça non !
Tellement pas dans certains cas que ça en devient totalement inoffensif.

Comme se moquer d'un surdoué qui néglige de faire certaines choses les plus simple en lui disant "biensur, tu es trop intelligent pour comprendre !".

Je ne suis pas vraiment sûr que cette moquerie faite sur sa différence soit mal vécut par ce surdoué.

Ensuite, vous me parlez d'étiquettes au lieu de causes.


L'absurdité, la moquerie, seraient des étiquettes, et non des causes...

Tout cela pourquoi ?

Pour laisser entendre que la peur a plusieurs étiquettes dont la moquerie et l'absurdité ?

Qu'est-ce que ce que vous appelez étiquette ?

L'absurdité et la moquerie peuvent PARFOIS être causes de peurs...

MAIS, mais, mais:
l'inverse aussi d'ailleurs.
La peur de certains peut être cause de moquerie pour d'autre tout comme les moqueries de certains peuvent être peurs pour d'autre.

Donc nous voilà bien avancé dans ce "système bidirectionnel" pour indiquer qui est cause et qui est étiquette !

En tout cas nous voilà mal barré pour dire que la peur et seule la peur est "cause" et n'est rien d'autre que "cause".

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inspecteur gadget le 25/05/2019 à 14:04
Monde post vérité a écrit le 25/05/2019 à 13h53

Quel est l objectif du procès:persuader que vous n êtes pas charlatan ce qui sera difficile à démontrer,ou demander un préjudice financier pour perte de chiffre d affaires (business is business) liée à votre image écornée??!

gogo gadgeto cerveau : ça commence par une enquête pour savoir qui a écrit ce gogo gadjeto vomi, comme le poseur de bombe et après il y a éventuellement procès

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Monde post vérité le 25/05/2019 à 13:53
Post monétaire a écrit le 25/05/2019 à 11h39

Le procureur de la république appréciera surement que vous le preniez pour un personnage de sketch ! :o)

Quel est l objectif du procès:persuader que vous n êtes pas charlatan ce qui sera difficile à démontrer,ou demander un préjudice financier pour perte de chiffre d affaires (business is business) liée à votre image écornée??!

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Post monétaire le 25/05/2019 à 11:39
Bonjour le mytho a écrit le 24/05/2019 à 21h03

"Ne vous inquiétez pas, 2 heures après que j'ai pu lire l'association de mon nom à "charlatan" dans une de vos interventions de lâche anonyme, je suis allé porter plainte."

Enorme!!!
On se croirait dans un skectch!!!

Le procureur de la république appréciera surement que vous le preniez pour un personnage de sketch ! :o)

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Rire n'a Jamais Tué Personne le 24/05/2019 à 21:11
Bonjour le mytho a écrit le 24/05/2019 à 21h03

"Ne vous inquiétez pas, 2 heures après que j'ai pu lire l'association de mon nom à "charlatan" dans une de vos interventions de lâche anonyme, je suis allé porter plainte."

Enorme!!!
On se croirait dans un skectch!!!

Excellente initiative de monsieur Chinal.
Il n'y a pas de raison qu'il y ai que les lecteurs de LyonMag et les employés du CNRS qui se marrent.

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Bonjour le mytho le 24/05/2019 à 21:03
Post monétaire a écrit le 23/05/2019 à 11h22

Ne vous inquiétez pas, 2 heures après que j'ai pu lire l'association de mon nom à "charlatan" dans une de vos interventions de lâche anonyme, je suis allé porter plainte.

Est-ce que ça servira à quelque chose pour vous identifier et vous mettre face à vos responsabilités ?
Avec le monde actuel, j'en doute, mais j'ai fait ma part.
:)

Continuez bien à cracher anonymement.

Vous n'avez toujours pas trouvé 1 seul exemple invalidant l'approche du survisme, vous n'avez repris aucun des arguments du site ou du livre. On sait pourquoi.
:)

"Ne vous inquiétez pas, 2 heures après que j'ai pu lire l'association de mon nom à "charlatan" dans une de vos interventions de lâche anonyme, je suis allé porter plainte."

Enorme!!!
On se croirait dans un skectch!!!

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Post monétaire le 24/05/2019 à 20:55
Zig a écrit le 24/05/2019 à 19h21

En fin de message j'avais écris:
"Bref, je reste persuadé que le rire ne nait pas que de la peur, et que dans le cas du sketch sur "les bouts", ce n'est pas la peur qui est la solution de l'équation."

L'équation est dans le cas présent *Pourquoi rie t'on à ce sketch?*

Vous répondez *Le rire nait de la peur*, donc la peur est une solution de l'équation *Pourquoi rie t'on?*
Et pour vous, c'est la seule solution (je sais que vous n'en demorderez pas, ça promet de longues soirées d'hiver sur le sujet).

Ceci c'est pour répondre à votre question *je ne sais pas ce que vous appelez "solution"... le "mystère" ?* (moi je ne sais pas ce que vous appelez Le Mystère!).

Vous vous optez pour la peur comme solution.
Moi pour la peur éventuellement, mais aussi, et j'insiste, d'autres solutions (ou possibilités) dont l'absurdité qui serait une cause de rire.

Dans votre exemple de la morue, qui fait rire CERTAINS (mais pas tous), c'est la moquerie selon moi la solution.

Certains (mais pas tous) adorent que l'on se moque des autres (et surtout des autres).

Certains aussi, sans vraiment adorer, rient volontiers si l'on se moque d'eux à juste titre ... mais bien entendu c'est selon qui se moque d'eux.

Si si j'en connais.

"absurdité" "moquerie"

il n'y a aucune notion de danger derrière ces mots, pour vous ?

L'absurdité est "l'illogisme".
La moquerie est faite généralement sur des "différences" mal vécues.
non ?

Pour moi "absurdité" "moquerie" sont des "qualificatifs" de rire, des étiquettes, mais pas des causes.


Au fait, j'ai oublié de préciser que j'ai trouvé intéressant que vous ayez un autre regard "sans le son" des pauvres pandas dans leur cellule.
C'est vrai que sans le son (vu que c'est ça l'événement, base du rire), ça change beaucoup l'analyse...
Et effectivement, connaissant votre "amour des animaux" votre grille de lecture s'est portée sur cela. La peur est donc trop présente pour générer du rire, même dans le mouvement sans son.

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Zig le 24/05/2019 à 19:21
Post monétaire a écrit le 24/05/2019 à 17h50

@ Zig et @La peur :

Incertitude... peur...

dans la mécanique du rire décrite par le survisme, il y a bien "incertitude" momentanée dans le cerveau, vu qu'il hésite dans l'étiquetage "survie ou pas survie ?" de l'information.

Mais est-ce qu'une incertitude seule peut faire rire ?

Il y a quelques semaines, quelqu'un a utilisé l'exemple de "choix de fromage" en ayant peur de se tromper... y'avait-il réellement "peur" dans ce choix ? Y'avait-il assez de recul face à cette "peur" pour engendrer de la dérision (et donc du rire) et le fameux équilibre "finalement pas de peur" ?

C'est pareil pour l'incertitude. Juste une incertitude n'est pas suffisant pour faire peur, mais d'une incertitude peut naître la peur. Il y a des "échelles" à tout !

Pour revenir aux jeux de mots "sur les bouts", est-ce que cette incertitude liée aux définitions des mots peut-être menaçante pour nous ?

Si par exemple, quelqu'un se trompe dans votre qualification : exemple, vous qualifie de "morue". Une morue est un poisson, mais cette qualification utilise une définition décalée par rapport à la définition d'origine. Et ce décalage est "dangereux" pour vous. (votre image)
Donc en général (à moins d'avoir beaucoup d'autodérision), ce qualificatif à votre encontre ne vous fera pas rire.
Et pourtant, lorsque cette même qualification est "collée" sur une autre personne (que vous n'aimez pas, exemple en politique), ça peut générer des rires (parce que la menace sur vous-même pourra être sera moins importante).

Pour la partie "surprise", c'est comme pour le reste :
si dans cette "surprise" il y a une partie "peur", alors ça peut déclencher le rire. Si dans la surprise il n'y a pas de peur... (quelqu'un que vous n'avez pas vu depuis longtemps et que vous appréciez, sonne votre porte sans avoir prévenu avant) il n'y aura pas de rire (mais ça n'empêchera pas de sourire :).

"................ je reste persuadé que le rire ne nait pas que de la peur..............."

là vous êtes dans la croyance, pas dans l'analyse froide.


"...................... sketch sur "les bouts", ce n'est pas la peur qui est la solution de l'équation...................."

je ne sais pas ce que vous appelez "solution"... le "mystère" ?
Il y a pourtant bien "décalage" de définition (déstabilisation de nos certitudes de définitions ou d'association d'idées) puis la fraction de seconde ensuite, une "relativisation du danger" (ce ne sont que des mots et sans menace réelle pour nous (contrairement à ce que pourrait être une insulte), hésitation du cerveau dans l'étiquetage, et réaction nerveuse : rire.

Tous les comiques utilisent nos peurs, les franchissent, mais mettent une vitre pour relativiser le danger, nous garder "à l'abri" de la menace.

En fin de message j'avais écris:
"Bref, je reste persuadé que le rire ne nait pas que de la peur, et que dans le cas du sketch sur "les bouts", ce n'est pas la peur qui est la solution de l'équation."

L'équation est dans le cas présent *Pourquoi rie t'on à ce sketch?*

Vous répondez *Le rire nait de la peur*, donc la peur est une solution de l'équation *Pourquoi rie t'on?*
Et pour vous, c'est la seule solution (je sais que vous n'en demorderez pas, ça promet de longues soirées d'hiver sur le sujet).

Ceci c'est pour répondre à votre question *je ne sais pas ce que vous appelez "solution"... le "mystère" ?* (moi je ne sais pas ce que vous appelez Le Mystère!).

Vous vous optez pour la peur comme solution.
Moi pour la peur éventuellement, mais aussi, et j'insiste, d'autres solutions (ou possibilités) dont l'absurdité qui serait une cause de rire.

Dans votre exemple de la morue, qui fait rire CERTAINS (mais pas tous), c'est la moquerie selon moi la solution.

Certains (mais pas tous) adorent que l'on se moque des autres (et surtout des autres).

Certains aussi, sans vraiment adorer, rient volontiers si l'on se moque d'eux à juste titre ... mais bien entendu c'est selon qui se moque d'eux.

Si si j'en connais.

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Cordialement le 24/05/2019 à 18:34
schtroumpf Savant a écrit le 24/05/2019 à 12h45

"Pour l'instant vous vous contentez de ne privilégier exclusivement que la peur comme cause du rire, vous oubliez les autres causes du rire. "


Mais bon sang de bon soir donnez nous le cet exemple d'un rire qui ne viendrait pas de la peur !!!

ça éviterait vos logorrhées aussi absurdes qu'inutiles et clôturerait le débat....
Ou bien vous êtes incapable de le fournir cet exemple ? o:)

Dans ce cas (et ce n'est pas une honte) admettez que l'approche du Survisme est infaillible ou si cela vous fait tant de peine que ça de l'admettre admettez que jusqu'à présent personne n'a trouvé la faille du Survisme.

Y a aucune honte a avoir eu tord vous savez.... Perso j'avoue que le l'ai cherché cet exemple. Force est de constater que je ne l'ai pas trouvé et bien voyez vous j'en ai tiré la conséquence sans que ça fasse mal à mon égo, au contraire il est parfois très valorisant de reconnaitre ses erreurs vous savez.
N'ayez pas peur de reconnaitre la votre ! o:)

Vous déposez votre "con-plainte" du schtromph Savon à *Déposé le 24/05/2019 à 12h45* juste pour pleurnicher car Zig à *Déposé le 24/05/2019 à 10h21 * vous avez très largement devancé dans le temps.

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Zig le 24/05/2019 à 17:51
Post monétaire a écrit le 24/05/2019 à 13h51

Description du rire par l'absurde :
http://www.survisme.info/reponses/index_forum_reponses_06a.htm#rire

En gros, lorsque des mots ou un raisonnement prennent des sens qui ne sont pas ceux usuels, il se crée de "l'incertitude", une forme de danger.

Mais ce danger est relatif car "un mot" n'est pas dangereux (surtout ceux employés dans votre exemple du "bout").
Il y a donc bien équilibre entre "danger" et "finalement pas de danger" (d'équivalente importance en terme de "puissance", de "valeur").
d'où le déclenchement du rire.


Maintenant que vous avez cet exemple, lorsque vous regardez pour la 1ère fois ce sketch admirable (perso j'adore), on rit (si nos valeur font situer la peur là où il faut pour rire ! car si la personne qui regarde ne comprend pas les jeux de mots, elle n'aura pas peur et restera dubitative - d'où l'intérêt de l'approche du survisme pour situer les peurs, les valeurs d'une personne sans qu'elle n'ait la possibilité de mentir - car le rire est du domaine du réflexe (temps court d'analyse du cerveau))

mais la 2ème fois que vous regarderez ce sketch, il y a de grandes chances que vous riez un peu moins, car le "danger" ne sera plus assez important.

Et plus vous regarderez cette vidéo, moins vous rirez. (ce qui n'empêche pas de sourire à chaque fois et de toujours rester admiratifs quant au maniement des mots et des logiques !)

Qu'est-ce qui aura changé entre la 1ère fois et la 20ème fois ?
Les éléments sont pourtant les mêmes à la base !

Ce qui aura changé sera que votre cerveau aura déjà identifié les tenants et les aboutissants, et donc, aura amoindrit "la peur" présente.
Le rire ne se déclenchera plus, sinon grâce à l'oubli si vous espacez le temps de visionnage ou si votre cerveau n'arrive toujours pas à identifier le danger (le danger restera alors "danger").

Moi perso, c'est cette vidéo très connue :
https://www.youtube.com/watch?v=DUxKAWn7QNk
il y a tellement de paramètres que ça me fait toujours rire (même si à force de décrypter la vidéo, ça ne me fait plus que "sourire")
éléments qui me "font peur" :
- énorme bruit pour un tout petit bout.
- ça déséquilibre presque la "grosse maman" pourtant bien assise
- regard caméra de la mère qui semble se dire "T'as vu ça ?"
- flegmatisme de la mère qui ne s'inquiète pas plus et continue de manger son bambou...

N'hésitez pas à continuer d'argumenter/contre argumenter sur ces exemples.

Je n'ai pas la certitude d'avoir compris
"... on rit (si nos valeur font situer la peur là où il faut pour rire ! car si la personne qui regarde ne comprend pas les jeux de mots, elle n'aura pas peur et restera dubitative - d'où l'intérêt de l'approche du survisme pour situer les peurs, les valeurs d'une personne sans qu'elle n'ait la possibilité de mentir -...)

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Post monétaire le 24/05/2019 à 17:50

@ Zig et @La peur :

Incertitude... peur...

dans la mécanique du rire décrite par le survisme, il y a bien "incertitude" momentanée dans le cerveau, vu qu'il hésite dans l'étiquetage "survie ou pas survie ?" de l'information.

Mais est-ce qu'une incertitude seule peut faire rire ?

Il y a quelques semaines, quelqu'un a utilisé l'exemple de "choix de fromage" en ayant peur de se tromper... y'avait-il réellement "peur" dans ce choix ? Y'avait-il assez de recul face à cette "peur" pour engendrer de la dérision (et donc du rire) et le fameux équilibre "finalement pas de peur" ?

C'est pareil pour l'incertitude. Juste une incertitude n'est pas suffisant pour faire peur, mais d'une incertitude peut naître la peur. Il y a des "échelles" à tout !

Pour revenir aux jeux de mots "sur les bouts", est-ce que cette incertitude liée aux définitions des mots peut-être menaçante pour nous ?

Si par exemple, quelqu'un se trompe dans votre qualification : exemple, vous qualifie de "morue". Une morue est un poisson, mais cette qualification utilise une définition décalée par rapport à la définition d'origine. Et ce décalage est "dangereux" pour vous. (votre image)
Donc en général (à moins d'avoir beaucoup d'autodérision), ce qualificatif à votre encontre ne vous fera pas rire.
Et pourtant, lorsque cette même qualification est "collée" sur une autre personne (que vous n'aimez pas, exemple en politique), ça peut générer des rires (parce que la menace sur vous-même pourra être sera moins importante).

Pour la partie "surprise", c'est comme pour le reste :
si dans cette "surprise" il y a une partie "peur", alors ça peut déclencher le rire. Si dans la surprise il n'y a pas de peur... (quelqu'un que vous n'avez pas vu depuis longtemps et que vous appréciez, sonne votre porte sans avoir prévenu avant) il n'y aura pas de rire (mais ça n'empêchera pas de sourire :).

"................ je reste persuadé que le rire ne nait pas que de la peur..............."

là vous êtes dans la croyance, pas dans l'analyse froide.


"...................... sketch sur "les bouts", ce n'est pas la peur qui est la solution de l'équation...................."

je ne sais pas ce que vous appelez "solution"... le "mystère" ?
Il y a pourtant bien "décalage" de définition (déstabilisation de nos certitudes de définitions ou d'association d'idées) puis la fraction de seconde ensuite, une "relativisation du danger" (ce ne sont que des mots et sans menace réelle pour nous (contrairement à ce que pourrait être une insulte), hésitation du cerveau dans l'étiquetage, et réaction nerveuse : rire.

Tous les comiques utilisent nos peurs, les franchissent, mais mettent une vitre pour relativiser le danger, nous garder "à l'abri" de la menace.

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La peur le 24/05/2019 à 16:38
Post monétaire a écrit le 24/05/2019 à 13h51

Description du rire par l'absurde :
http://www.survisme.info/reponses/index_forum_reponses_06a.htm#rire

En gros, lorsque des mots ou un raisonnement prennent des sens qui ne sont pas ceux usuels, il se crée de "l'incertitude", une forme de danger.

Mais ce danger est relatif car "un mot" n'est pas dangereux (surtout ceux employés dans votre exemple du "bout").
Il y a donc bien équilibre entre "danger" et "finalement pas de danger" (d'équivalente importance en terme de "puissance", de "valeur").
d'où le déclenchement du rire.


Maintenant que vous avez cet exemple, lorsque vous regardez pour la 1ère fois ce sketch admirable (perso j'adore), on rit (si nos valeur font situer la peur là où il faut pour rire ! car si la personne qui regarde ne comprend pas les jeux de mots, elle n'aura pas peur et restera dubitative - d'où l'intérêt de l'approche du survisme pour situer les peurs, les valeurs d'une personne sans qu'elle n'ait la possibilité de mentir - car le rire est du domaine du réflexe (temps court d'analyse du cerveau))

mais la 2ème fois que vous regarderez ce sketch, il y a de grandes chances que vous riez un peu moins, car le "danger" ne sera plus assez important.

Et plus vous regarderez cette vidéo, moins vous rirez. (ce qui n'empêche pas de sourire à chaque fois et de toujours rester admiratifs quant au maniement des mots et des logiques !)

Qu'est-ce qui aura changé entre la 1ère fois et la 20ème fois ?
Les éléments sont pourtant les mêmes à la base !

Ce qui aura changé sera que votre cerveau aura déjà identifié les tenants et les aboutissants, et donc, aura amoindrit "la peur" présente.
Le rire ne se déclenchera plus, sinon grâce à l'oubli si vous espacez le temps de visionnage ou si votre cerveau n'arrive toujours pas à identifier le danger (le danger restera alors "danger").

Moi perso, c'est cette vidéo très connue :
https://www.youtube.com/watch?v=DUxKAWn7QNk
il y a tellement de paramètres que ça me fait toujours rire (même si à force de décrypter la vidéo, ça ne me fait plus que "sourire")
éléments qui me "font peur" :
- énorme bruit pour un tout petit bout.
- ça déséquilibre presque la "grosse maman" pourtant bien assise
- regard caméra de la mère qui semble se dire "T'as vu ça ?"
- flegmatisme de la mère qui ne s'inquiète pas plus et continue de manger son bambou...

N'hésitez pas à continuer d'argumenter/contre argumenter sur ces exemples.

Vous avez associé INCERTITUDE à PEUR.

Comme lorsqu'on dit "je ne suis pas sûr d'avoir compris" ou "j'ais peur de ne pas avoir compris".

Mais tout le monde ne dit pas indifféremment "je ne suis pas sûr" ou "j'ai peur".

Avoir de l'incertitude n'est absolument pas systématiquement avoir peur.

Vous devez nuancer le sens de peur lorsque vous annoncez que le rire est lié à la peur.

Qu'est ce que pour vous la peur ?

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Zig le 24/05/2019 à 16:18
Post monétaire a écrit le 24/05/2019 à 13h51

Description du rire par l'absurde :
http://www.survisme.info/reponses/index_forum_reponses_06a.htm#rire

En gros, lorsque des mots ou un raisonnement prennent des sens qui ne sont pas ceux usuels, il se crée de "l'incertitude", une forme de danger.

Mais ce danger est relatif car "un mot" n'est pas dangereux (surtout ceux employés dans votre exemple du "bout").
Il y a donc bien équilibre entre "danger" et "finalement pas de danger" (d'équivalente importance en terme de "puissance", de "valeur").
d'où le déclenchement du rire.


Maintenant que vous avez cet exemple, lorsque vous regardez pour la 1ère fois ce sketch admirable (perso j'adore), on rit (si nos valeur font situer la peur là où il faut pour rire ! car si la personne qui regarde ne comprend pas les jeux de mots, elle n'aura pas peur et restera dubitative - d'où l'intérêt de l'approche du survisme pour situer les peurs, les valeurs d'une personne sans qu'elle n'ait la possibilité de mentir - car le rire est du domaine du réflexe (temps court d'analyse du cerveau))

mais la 2ème fois que vous regarderez ce sketch, il y a de grandes chances que vous riez un peu moins, car le "danger" ne sera plus assez important.

Et plus vous regarderez cette vidéo, moins vous rirez. (ce qui n'empêche pas de sourire à chaque fois et de toujours rester admiratifs quant au maniement des mots et des logiques !)

Qu'est-ce qui aura changé entre la 1ère fois et la 20ème fois ?
Les éléments sont pourtant les mêmes à la base !

Ce qui aura changé sera que votre cerveau aura déjà identifié les tenants et les aboutissants, et donc, aura amoindrit "la peur" présente.
Le rire ne se déclenchera plus, sinon grâce à l'oubli si vous espacez le temps de visionnage ou si votre cerveau n'arrive toujours pas à identifier le danger (le danger restera alors "danger").

Moi perso, c'est cette vidéo très connue :
https://www.youtube.com/watch?v=DUxKAWn7QNk
il y a tellement de paramètres que ça me fait toujours rire (même si à force de décrypter la vidéo, ça ne me fait plus que "sourire")
éléments qui me "font peur" :
- énorme bruit pour un tout petit bout.
- ça déséquilibre presque la "grosse maman" pourtant bien assise
- regard caméra de la mère qui semble se dire "T'as vu ça ?"
- flegmatisme de la mère qui ne s'inquiète pas plus et continue de manger son bambou...

N'hésitez pas à continuer d'argumenter/contre argumenter sur ces exemples.

Personnellement, je trouve votre interprétation peu convainquante (je parle du sketch de Devos).

Ici le sketch est construit sur le double (voir le triple) sens d'un mot qui peu être employé pour un seul est même objet (le bout de bois qui a 2 bouts)

Le bout:
Sens 1: Portion extrême (l'extrémité) d'une chose considérée comme un continu allongé. (Les deux bouts de la table)
Sens 2: Le bout est une chose ou un être relativement petit, de forme allongée (Bout de bois, de terrain; bout de fil de fer, de papier).
Sens 3: Écrire un bout de lettre Écrire une petite lettre; faire un bout de toilette Faire une toilette sommaire.
https://www.cnrtl.fr/definition/bout

L'effet de surprise ici, et non de peur à mon sens, est de "naviguer" d'un sens à l'autre à propos d'un seul objet (le bout de bois et ses 2 bouts).

Bien entendu, celui qui ne comprend pas la différence entre les différents sens d'un même mot ne rie absolument pas, mais ici les sens de bout sont simples et je présume connus de tous.

Il faut être extrêmement peureux il me semble pour n'avoir ne serait-ce qu'un "bout" de peur à propos de ce bout de bois et de ces bouts.
Donc je ne vois pas de peur donnant naissance au rire.

Pour ce qui est de la vidéo sur les pandas, j'ai une panne de son sur mon PC (qq a emprunté ma barre son!), donc je n'entends pas l'éternuement du BB panda (vous ecrivez qu'il est puissant, donc je l'imagine au lieu de l'entendre).

Mais personnellement, la première image que je vois, c'est les murs crades et les barreaux de cette cage dans laquelle "survivent" 2 êtres paisibles et innocents.

Et le premier et unique message que je retiens c'est que l'on a encore éprouvé le besoin de mettre 2 animaux sauvages en cage, condamnés probablement uniquement pour satisfaire le plaisir des humains.
Et cette stupidité génère chez moi plus de colère que de rires ou peur.

Sur ce, vous allez surement dire que cette colère s'apparente à de la frayeur trop importante pour rire, c'est probable, mais cela ne concerne que l’hypothèse que c'est à cause de ce déséquilibre (colère ou frayeur trop importante) que je ne rie pas.

Bref, je reste persuadé que le rire ne nait pas que de la peur, et que dans le cas du sketch sur "les bouts", ce n'est pas la peur qui est la solution de l'équation.

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Post monétaire le 24/05/2019 à 13:51
Zig a écrit le 24/05/2019 à 10h21

Un sketch de R Devos qui marche par l'absurdité du réel, il y a toujours 2 bouts à un bout.

https://m.youtube.com/watch?v=mYosWxn9h4k

Description du rire par l'absurde :
http://www.survisme.info/reponses/index_forum_reponses_06a.htm#rire

En gros, lorsque des mots ou un raisonnement prennent des sens qui ne sont pas ceux usuels, il se crée de "l'incertitude", une forme de danger.

Mais ce danger est relatif car "un mot" n'est pas dangereux (surtout ceux employés dans votre exemple du "bout").
Il y a donc bien équilibre entre "danger" et "finalement pas de danger" (d'équivalente importance en terme de "puissance", de "valeur").
d'où le déclenchement du rire.


Maintenant que vous avez cet exemple, lorsque vous regardez pour la 1ère fois ce sketch admirable (perso j'adore), on rit (si nos valeur font situer la peur là où il faut pour rire ! car si la personne qui regarde ne comprend pas les jeux de mots, elle n'aura pas peur et restera dubitative - d'où l'intérêt de l'approche du survisme pour situer les peurs, les valeurs d'une personne sans qu'elle n'ait la possibilité de mentir - car le rire est du domaine du réflexe (temps court d'analyse du cerveau))

mais la 2ème fois que vous regarderez ce sketch, il y a de grandes chances que vous riez un peu moins, car le "danger" ne sera plus assez important.

Et plus vous regarderez cette vidéo, moins vous rirez. (ce qui n'empêche pas de sourire à chaque fois et de toujours rester admiratifs quant au maniement des mots et des logiques !)

Qu'est-ce qui aura changé entre la 1ère fois et la 20ème fois ?
Les éléments sont pourtant les mêmes à la base !

Ce qui aura changé sera que votre cerveau aura déjà identifié les tenants et les aboutissants, et donc, aura amoindrit "la peur" présente.
Le rire ne se déclenchera plus, sinon grâce à l'oubli si vous espacez le temps de visionnage ou si votre cerveau n'arrive toujours pas à identifier le danger (le danger restera alors "danger").

Moi perso, c'est cette vidéo très connue :

il y a tellement de paramètres que ça me fait toujours rire (même si à force de décrypter la vidéo, ça ne me fait plus que "sourire")
éléments qui me "font peur" :
- énorme bruit pour un tout petit bout.
- ça déséquilibre presque la "grosse maman" pourtant bien assise
- regard caméra de la mère qui semble se dire "T'as vu ça ?"
- flegmatisme de la mère qui ne s'inquiète pas plus et continue de manger son bambou...

N'hésitez pas à continuer d'argumenter/contre argumenter sur ces exemples.

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Zig le 24/05/2019 à 13:18
schtroumpf Savant a écrit le 24/05/2019 à 12h45

"Pour l'instant vous vous contentez de ne privilégier exclusivement que la peur comme cause du rire, vous oubliez les autres causes du rire. "


Mais bon sang de bon soir donnez nous le cet exemple d'un rire qui ne viendrait pas de la peur !!!

ça éviterait vos logorrhées aussi absurdes qu'inutiles et clôturerait le débat....
Ou bien vous êtes incapable de le fournir cet exemple ? o:)

Dans ce cas (et ce n'est pas une honte) admettez que l'approche du Survisme est infaillible ou si cela vous fait tant de peine que ça de l'admettre admettez que jusqu'à présent personne n'a trouvé la faille du Survisme.

Y a aucune honte a avoir eu tord vous savez.... Perso j'avoue que le l'ai cherché cet exemple. Force est de constater que je ne l'ai pas trouvé et bien voyez vous j'en ai tiré la conséquence sans que ça fasse mal à mon égo, au contraire il est parfois très valorisant de reconnaitre ses erreurs vous savez.
N'ayez pas peur de reconnaitre la votre ! o:)

Exactement tort, avec un T
o:)

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schtroumpf Savant le 24/05/2019 à 13:18
Post monétaire a écrit le 24/05/2019 à 13h06

Tort avec un t !

:o)

oups.... excusez moi.
Décidément je suis trop inspiré par les écrits de Monsieur Hugos ! o:)

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