Et elle frappe fort puisque après Clint Eastwood, Milos Forman, Gérard Depardieu et Ken Loach c'est donc Quentin Tarantino qui viendra à Lyon recevoir le 5e prix le 18 octobre au l'Amphithéâtre de la Cité internationale de Lyon. Un choix qui s'est imposé comme "une évidence" pour Thierry Frémaux, le directeur de l'Institut Lumière.
Le cinéaste américain, âgé aujourd'hui de 50 ans, a réalisé dix films, parmi lesquels les succès Reservoir Dogs (1992), Kill Bill (2003) ou Pulp Fiction pour lequel il a remporté la palme d'or en 1994. Le Festival Lumière 2013 se déroulera du 14 au 20 octobre prochain.
Concernant la programmation, les amoureux du cinéma en auront pour leur compte. Outre les rétrospectives consacrées à Ingmar Bergman, à Henri Verneuil et à Hal Ashby, des hommages seront rendus à Christine Pascal, Lino Brocka et Charles Vanel.
Dans la série des Grandes Projections, en copies neuves ou restaurées, les cinéphiles pourront visionner Les Dix Commandements de Cecil B. DeMille, Fanny et Alexandre d'Ingmar Bergman ou encore Le Dernier empereur 3D de Bernado Bertolucci.
La nuit du 19 au 20 octobre promet d'être animée, avec La folie des Monthy Python à la Halle Tony-Garnier. Quatre films seront diffusés, entre-coupés d'extraits de séries télévisées.
Lors de ce festival les spectateurs pourront aussi apprécier le cinéma mexicain des années 50, un colloque sur l'héritage de Daniel Toscan du Plantier ou bien apercevoir Pierre Richard, un des invités de Lumière 2013.
A noter enfin la création du premier marché du film classique. A cette occasion, des centaines de professionnels se donneront rendez-vous à Lyon pour "discuter des enjeux actuels et viendront montrer des films en cours de restauration", explique Thierry Frémaux.
Trop bien ! quelle bonne nouvelle ! bravo aux organisateurs.
Signaler RépondreOn va voir aussi Thierry Frémaux présenter Thierry Frémaux avec la complicité de Thierry Frémaux sous l’œil avisé de Thierry Frémaux ?
Signaler Répondreforce est de constaté que le festival devient de plus en plus en grand et tant mieux Hollywood nous le dois bien
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