Un Paris-Lyon compliqué pour les 466 passagers d’un TGV

Un Paris-Lyon compliqué pour les 466 passagers d’un TGV
Illustration -LyonMag

Ce vendredi, un TGV Paris-Lyon a été retardé pour un motif pas banal. Plus tard, les passagers ont dû quitter le train à cause d’une fumée inquiétante.

Ce n’était définitivement pas le train à prendre. Ce vendredi, un TGV au départ de Paris et à destination de Lyon-Perrache a connu bien des péripéties. Le train, qui partait peu avant 8 heures de la capitale avec à son bord 466 passagers, a d’abord dû être stoppé. La raison de cet arrêt : trois individus, âgés de 40 à 50 ans selon Le Progrès, qui étaient dans la cabine de pilotage d’une autre rame, en aval sur l’itinéraire.

Ce second TGV a été arrêté en gare du Creusot pour permettre l’intervention des gendarmes. Il s’avérera que les trois individus avaient tous un billet et que, selon leur version, ils seraient entrés dans la cabine de pilotage car la porte était ouverte et qu’ils étaient arrivés juste avant le départ de leur train. Ils ont été autorisés à rejoindre les places qu’ils avaient réservées.

Ce premier incident a donc retardé le premier TGV d’une dizaine minutes. Mais les 466 passagers du train n’étaient pas pour autant au bout de leurs peines. Une fois arrivés, à leur tour, en gare du Creusot, c’est cette fois-ci les constatations d'un mécanicien qui a perturbé le trajet. L'homme a aperçue une fumée anormale se dégageait du dessous de la rame.

Rebelotte, les gendarmes sont rappelés sur les lieux, accompagnés des sapeurs-pompiers de Montchanin et du Creusot. Et la décision de la SNCF tombait plus tard : tous les passagers ont été débarqués sur place. Ils ont ainsi eu à patienter trois longues heures, le temps qu’un train de substitution soit dépêché.

C’est finalement vers 12h10 que les passagers ont pu repartir, alors que leur passage au Creusot était initialement prévu pour 9h12.

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4 commentaires
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Pierre13 le 30/07/2017 à 22:15

C'est vrai qu'il vaut mieux arriver en corbillard à cause d'un incendie que de ne pas arriver du tout... ne serait-ce pas là une procédure de sécurité qui a coûté trois malheureuses heures aux passagers plutot qu'un incendie à bord d'un train circulant à 300km/h. Vous avez raison, écrivez ce genre d'article aussi longtemps que la concurance ne sera pas là, les futurs incident du privé ne seront pas des faits divers mais bien des unes et des éditions spéciales... un article bien inutile

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Post monétaire le 30/07/2017 à 10:30
un brin de lucidité a écrit le 30/07/2017 à 08h37

La SNCF, un pis aller. Un vol, sinon rien pour moi.

ça devrait bien faire réagir pour faire tourner la page. ;)

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Lolazimbabwe le 30/07/2017 à 10:26

Il est vrai que c mieux de laisser les voyageurs cramés ??? Pfff stop bassins sncf!!!!

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un brin de lucidité le 30/07/2017 à 08:37

La SNCF, un pis aller. Un vol, sinon rien pour moi.

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