Un documentaire sur le combat de la Parole Libérée diffusé ce mercredi sur France 3

Un documentaire sur le combat de la Parole Libérée diffusé ce mercredi sur France 3
Photo d'illustration - DR

Le documentaire "Pédophilie, un silence de cathédrale", qui retrace le combat de la Parole Libérée, est diffusé ce mercredi soir, à 20h55, sur France 3.

Produit par l'agence CAPA, ce reportage de 95 minutes entend "révéler l'ampleur du fléau dans l'Eglise catholique française", en racontant l'histoire des victimes présumées du père Preynat, à l'origine de l'association lyonnaise La Parole Libérée.

"Enfants, ils ont été abusés par un prêtre pédophile. Aujourd'hui, ils sortent du silence. Des victimes de tout âge et de partout en France témoignent à visage découvert pour raconter leur calvaire, dénoncer les silences de l'Eglise et son système ancien d'étouffement des affaires". Voilà les grandes lignes de ce documentaire, dont la diffusion sera suivie d'un débat animé par Carole Gaessler, sur le thème "Prêtres pédophiles : et maintenant, que fait l'Eglise ?".

Pour l'occasion, François Devaux, le président de l'association La Parole Libérée, sera présent sur le plateau de France 3. Il sera aux côtés notamment du père Stéphane Joulain, prêtre et psychothérapeute, de Monseigneur Luc Crépy, évêque du Puy-en-Velay ou encore d'Isabelle de Gaulmyn, rédactrice en chef du journal La Croix.

Le documentaire inédit débutera à 20h55. Le débat commencera, lui, à 22h35.

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6 commentaires
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Jeansais le 25/03/2018 à 20:17
befun a écrit le 23/03/2018 à 23h03

Je suis catholique et je trouve que ma religion est et restera source de plaisir , de bonheur, de partage +-
en ces moments destructeurs
Mais je suis impardonnable contre tous ces pourris adultes qui abusent de nos enfants!!!
qu'ils morflent !!!
la justice doit être impartialle face à cas actes odieux

L'église catholique se proclame sainte...
mais si elle est composée de l'ensemble des baptisés elle est humaine, misérablement et formidablement humaine car l'homme est capable du pire comme du meilleur...
Se proclamer sainte à l'image de dieu alors que dieu s'est justement fait homme c'est ( à mes yeux de néophyte ) un parjure ou tout au moins un péché d'orgueil...

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Hahaha le 24/03/2018 à 19:22

A dire que le cardinal barbare 1 participais a la manif pour tous

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befun le 23/03/2018 à 23:03

Je suis catholique et je trouve que ma religion est et restera source de plaisir , de bonheur, de partage +-
en ces moments destructeurs
Mais je suis impardonnable contre tous ces pourris adultes qui abusent de nos enfants!!!
qu'ils morflent !!!
la justice doit être impartialle face à cas actes odieux

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Jeansais le 23/03/2018 à 18:37
Meldi a écrit le 21/03/2018 à 11h36

Les parents ne sont pas forcément au courant. L'enfant ne se rend pas forcément compte sur l'instant de la gravité de l'agression. Comment dire à ses parents qu'une personne qui a leur confiance, celle d'une communauté et du bon dieu, a fait du mal. D'autant plus que l'enfant ne comprend pas forcément ce qui lui fait mal. Il y a aussi le sentiment de honte qui fait se taire, comme dans de nombreuses autres agressions. La parole se libère parfois des années après, alors que les parents ne sont plus de se monde, on ne peut donc plus leur faire de mal ou d'inquiétude en annonçant le mal qui a été fait.

Bien sûr les enfants victimes n'osent pas très souvent en parler à leurs parents
Mais la mère de l'une des victimes s'est entretenue avec le criminel pour lui demander d'arrêter selon les déclarations mêmes de Bertrand Virieu (une victimes aujourd'hui medecin)
La rédactrice en chef du journal La Croix habitante de St Foy à 'époque des faits qui a connu ce prêtre chez les scouts le dit clairement lors du débat "tout le monde savait...il aimait les garçons et pas les filles.."
Il s'agit bien de la responsabilité collective de toute la communauté catho: prêtres,curé de la paroisse, hiérarchie cléricale,parents, communauté paroissiale

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Meldi le 21/03/2018 à 11:36
sakura a écrit le 21/03/2018 à 11h20

et le silence des parents,. on en parle quand ?

Les parents ne sont pas forcément au courant. L'enfant ne se rend pas forcément compte sur l'instant de la gravité de l'agression. Comment dire à ses parents qu'une personne qui a leur confiance, celle d'une communauté et du bon dieu, a fait du mal. D'autant plus que l'enfant ne comprend pas forcément ce qui lui fait mal. Il y a aussi le sentiment de honte qui fait se taire, comme dans de nombreuses autres agressions. La parole se libère parfois des années après, alors que les parents ne sont plus de se monde, on ne peut donc plus leur faire de mal ou d'inquiétude en annonçant le mal qui a été fait.

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sakura le 21/03/2018 à 11:20

et le silence des parents,. on en parle quand ?

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