Cinq anciens étudiants de l'université Lyon 2 relaxés lundi
Ils comparaissaient devant le tribunal de grande instance de Lyon, pour le pillage d'un Leader Price de Bron en 2007, en marge des grèves contre l'autonomie des universités. Après le pillage, 77 étudiants s’étaient retranchés dans un amphithéâtre, avant d’être délogés par un important dispositif policier. Cinq d’entre eux avaient été reconnus par les employés du magasin pillé. Il a finalement été impossible de cerner le rôle de chacun.
Cinq étudiants-pilleurs jugés ce lundi à Lyon
En plein mouvement de grève des étudiants contre la loi sur l'autonomie des universités en novembre 2007, cinq personnes avaient pillé un Leader Price à Bron.Ce jour-là, une quarantaine d'étudiants de Lyon 2 avaient décidé de mener une opération dans un supermarché près du campus de Bron avant de se retrancher dans un amphithéâtre. Le procès débutera à 14h au tribunal de grande instance, un rassemblement de soutien est prévu devant le bâtiment.
Jugement attendu pour le chauffard de l'A7
En février 2011, un homme aujourd'hui âgé de 26 ans avait provoqué un grave accident sur la bretelle entre le périphérique et l'A7.Cela a entrainé la mort de deux passagers qu'il avait pris en stop un peu plus tôt. Il conduisait sous l'emprise de l'alcool. 5 ans de prison ont été requis contre lui. Le verdict sera annoncé au tribunal correctionnel de Lyon.
L'avocat David Metaxas pris dans un tourbillon judiciaire
Selon le Progrès, l'homme de loi mis en examen obtient difficilement le renvoi des procès où il plaide et risque une interdiction d'exercer. David Metaxas, mis en examen dans le cadre de l'affaire Michel Neyret, a passé une semaine mouvementée. Laissé libre, il a appris que le parquet s'était à deux reprises opposé au renvoi de procès où il devait plaider. Le bâtonnier avait même dû intervenir pour obtenir un renvoi alors que Me Metaxas était retenu dans un cabinet d'instruction. Par ailleurs, le Progrès révèle qu'un juge d'instruction parisien serait prêt à faire une demande d'interdiction professionnelle. Si elle est faite, le conseil de l'ordre des avocats aura quinze jours pour se prononcer sur la suite de la carrière de l'avocat lyonnais. David Metaxas est soupçonné de recel de violation du secret professionnel.
L'avocat David Metaxas pris dans un tourbillon judiciaire
Selon le Progrès, l'homme de loi mis en examen obtient difficilement le renvoi des procès où il plaide et risque une interdiction d'exercer. David Metaxas, mis en examen dans le cadre de l'affaire Michel Neyret, a passé une semaine mouvementée. Laissé libre, il a appris que le parquet s'était à deux reprises opposé au renvoi de procès où il devait plaider. Le bâtonnier avait même dû intervenir pour obtenir un renvoi alors que Me Metaxas était retenu dans un cabinet d'instruction. Par ailleurs, le Progrès révèle qu'un juge d'instruction parisien serait prêt à faire une demande d'interdiction professionnelle. Si elle est faite, le conseil de l'ordre des avocats aura quinze jours pour se prononcer sur la suite de la carrière de l'avocat lyonnais. David Metaxas est soupçonné de recel de violation du secret professionnel.
Michel Mercier présent lors de la réunion de sécurité en France
Le garde des Sceaux avait été convoqué avec le premier ministre et les responsables policiers par Nicolas Sarkozy samedi matin. Ils donc fait le point après les drames de Toulouse et Montauban. Cette réunion intervient alors que l'efficacité de la police dans cette enquête a été mise en cause par certains détracteurs. Jeudi, après la mort de Mohamed Merah, le président de la République avait annoncé le renforcement de l'arsenal pénal de lutte contre le terrorisme.
Michel Mercier présent lors de la réunion de sécurité en France
Le garde des Sceaux avait été convoqué avec le premier ministre et les responsables policiers par Nicolas Sarkozy samedi matin. Ils donc fait le point après les drames de Toulouse et Montauban. Cette réunion intervient alors que l'efficacité de la police dans cette enquête a été mise en cause par certains détracteurs. Jeudi, après la mort de Mohamed Merah, le président de la République avait annoncé le renforcement de l'arsenal pénal de lutte contre le terrorisme.
Des trafiquants de chiots devant la justice lyonnaise
Plusieurs ressortissants des pays de l'Est et un éleveur lyonnais comparaissaient mardi pour des faits qui remontent à 2007. Quatre personnes importent illégalement des chiots en provenance d'Ukraine. Sur place, ils les achètent 300 euros. Et en demanderont le double arrivés en France. Un animalier préviendra la SPA lorsque ces trafiquants le démarcheront. L'enquête impliquera un éleveur de chiens qui avoue avoir acquis 36 chiots. Au final, ce dernier et les trafiquants ont été condamné à des amendes allant de 2000 à 4000 euros.
Des trafiquants de chiots devant la justice lyonnaise
Plusieurs ressortissants des pays de l'Est et un éleveur lyonnais comparaissaient mardi pour des faits qui remontent à 2007. Quatre personnes importent illégalement des chiots en provenance d'Ukraine. Sur place, ils les achètent 300 euros. Et en demanderont le double arrivés en France. Un animalier préviendra la SPA lorsque ces trafiquants le démarcheront. L'enquête impliquera un éleveur de chiens qui avoue avoir acquis 36 chiots. Au final, ce dernier et les trafiquants ont été condamné à des amendes allant de 2000 à 4000 euros.
Eboueurs : les grévistes lyonnais ont bien entravé la liberté du travail
Saisi en référé par le Grand Lyon, le tribunal de grande instance a rendu sa décision jeudi en fin d'après-midi. Les sept représentants syndicaux ont été reconnus coupables d'entrave à la liberté du travail. Les grévistes devront désormais tenir leurs piquets hors des dépôts, pour ne pas empêcher les non-grévistes d'assurer les tournées. Si la disposition n'est pas respectée, le Grand Lyon pourra alors faire intervenir la force publique. Le TGI de Lyon n'a pas accédé à la requête des éboueurs de nommer un médiateur pour sortir du conflit qui les oppose à leur direction. Le Grand Lyon avait saisi la justice vendredi après le blocage des dépôt de Gerland et de Villeurbanne, où les pneus de 29 camions de ramassage avaient été dégonflés pour empêcher le départ des tournées.
Eboueurs : les grévistes lyonnais ont bien entravé la liberté du travail
Saisi en référé par le Grand Lyon, le tribunal de grande instance a rendu sa décision jeudi en fin d’après-midi. Les sept représentants syndicaux ont été reconnus coupables d’entrave à la liberté du travail. Les grévistes devront désormais tenir leurs piquets hors des dépôts, pour ne pas empêcher les non-grévistes d’assurer les tournées. Si la disposition n’est pas respectée, le Grand Lyon pourra alors faire intervenir la force publique. Le TGI de Lyon n’a pas accédé à la requête des éboueurs de nommer un médiateur pour sortir du conflit qui les oppose à leur direction. Le Grand Lyon avait saisi la justice vendredi après le blocage des dépôt de Gerland et de Villeurbanne, où les pneus de 29 camions de ramassage avaient été dégonflés pour empêcher le départ des tournées.
Nouveau scandale chez les huissiers de justice lyonnais
Les deux associés du cabinet Charlet & Develay ont été mis en examen la semaine dernière, pour abus de confiance aggravé selon Lyonmag.com.C'est la perception d'honoraires indus qui aurait motivée l'ouverture d'une enquête. Les deux hommes ont été laissés libres et placés sous contrôle judiciaire. Il s'agit de la deuxième affaire qui touche la profession à Lyon, après la mise en examen de Gilbert Bénichou, le président de la chambre des huissiers de justice du Rhône.
Affaire Neyret : le pénaliste David Metaxas maintenu en garde à vue
Le célèbre avocat lyonnais est entendu depuis mardi dans le cadre de l'affaire Neyret, pour recel de violation de secret professionnel.Il est soupçonné d'avoir fourni des renseignements à des personnes réputées proches du milieu lyonnais. L'ex numéro 2 de la PJ lyonnaise Michel Neyret, est lui toujours incarcéré à la prison de la Santé à Paris.
Six supporters de l'OL jugés mercredi à St Etienne
Ils sont accusés d'avoir dégradé des véhicules et le local d'ultras stéphanois, mais aussi d'être les auteurs de tags xénophobes. Les faits remontent à l'automne dernier.Les prévenus ont expliqué ne se souvenir de rien. Le procureur a requis de 800 à 2000 euros d'amende et 3 ans d'interdiction du stade Geoffroy-Guichard. Le jugement a été mis en délibéré au 16 mai. A noter que le car de supporters lyonnais qui avait fait le déplacement a été refoulé par un important service d'ordre.
Des supporters de l'OL devant la justice
Six supporters du groupe Mezza Lyon sont accusés d'avoir dégradé une trentaine de véhicules et le local d'ultras stéphanois, avec des inscriptions et des tags néonazis.Les faits remontent au 12 novembre dernier lors d'un match à St Etienne. Une audience devait avoir lieu le 24 février dernier, mais elle avait été reportée. La Licra s'est portée partie civile dans cette affaire.
3 et 5 ans de prison ferme pour avoir tabassé un homme qui ne respectait pas le Ramadan
Ce sont deux jeunes de 24 et 25 ans qui ont été condamnés hier par le tribunal correctionnel de Lyon. En aout 2010, dans le 7e arrondissement de Lyon, ils avaient passé à tabac un quadragénaire sénégalais qui fumait pendant le Ramadan. La victime était restée plusieurs semaines entre la vie et la mort, et souffre aujourd'hui de graves séquelles. Un troisième prévenu, mineur au moment des faits, sera jugé plus tard.
Trois frères bulgares avaient placé leurs compagnes sur le trottoir
Les trois hommes comparaissaient devant le tribunal correctionnel jeudi et vendredi. Ils étaient accusés d'avoir forcé leurs compagnes à se prostituer dans le quartier de Perrache puis d'avoir envoyé l'argent des passes en Bulgarie. Ce réseau avait été révélé par l'arrestation de deux frères en 2010 dans une résidence étudiante à Lyon. Le troisième proxénète avait lui été cueilli dans son pays natal. Le leader a écopé de cinq de prison. Ses frères ont eux été condamnés à trois ans et demi et 30 mois de prison. Des peines qu'ils purgeront en Bulgarie car ils sont interdits de séjour en France.
Etienne Tête condamné pour avoir calomnié l'OL
La décision de justice contre le conseiller régional lyonnais a été rendu vendredi par le tribunal correctionnel de Paris. Il avait en janvier 2010 adressé un courrier à l'Autorité des marchés financiers pour dénoncer le président de l'OL Jean-Michel Aulas. Il révélait alors sans preuve que JMA avait "sciemment sous-estimé les difficultés de réalisation (du Stade des Lumières) pour favoriser l'entrée en Bourse" du club. Etienne Tête a donc été condamné à 3000 euros d'amende pour dénonciation calomnieuse à l'encontre de l'Olympique lyonnais et de son président. La 11e chambre l'a également condamné à verser 1 euro de dommages et intérêts à l'OL et la même somme à M. Aulas.
Stéphane Moitoiret sera rejugé à Lyon
Le meurtrier du petit Valentin, en juillet 2008, à Lagnieu dans l'Ain, avait fait appel de sa condamnation à perpétuité. Il sera donc rejugé par la cour d'Assises d'appel du Rhône. On ne sait pas encore quand le procès aura lieu.
12 mois de prison pour le voleur de téléphone portable
Le jeune homme de 21 ans a été condamné à 12 mois de prison dont 8 avec sursis pour le vol d'un téléphone mobile, vendredi, dans le 5e arrondissement.Le prévenu a expliqué avoir agi pour pouvoir rembourser une dette liée à sa consommation de stupéfiants. Sa peine a été assortie d'une mise à l'épreuve pendant deux ans.
















