L'évadé retourne en prison
Un jeune homme de 21 ans n'avait pas réintégré la prison de Villefranche depuis un mois après une permission de sortie, quand il a été arrêté le 29 mai dernier.Pendant plus de 20 kilomètres depuis St-Didier-au-mont-d'or jusqu'à Lyon, il avait tenté de semer les policiers alors qu'il conduisait sans permis et en état d'ivresse. Il a écopé jeudi devant le tribunal correctionnel de 16 mois de prison ferme : 10 pour la course poursuite et 6 pour l'évasion.
Le médecin de Décines sera fixé le 16 septembre
Il était jugé jeudi devant le tribunal correctionnel de Lyon pour escroquerie.La Caisse primaire d'assurance-maladie lui reproche d'avoir touché 230 000 euros de prestations fantômes : il facturait jusqu'à 3 fois plus de consultations que ses collègues. Il a ainsi avancé 112 consultations pour une seule journée d'octobre 2007 alors que la limite autorisée est de 40 consultations quotidiennes. Mais ce médecin de 58 ans réfute les accusations et a expliqué qu'il intervenait auprès d'associations et d'organismes sociaux. Le procureur a tout de même requis 3 ans de prison dont 18 mois ferme, 75 000 euros d'amende et l'interdiction définitive d'exercer.
Verdict connu au procès du restaurateur d'Amplepuis
La cour d'Assises du Rhône a prononcé 19 ans de prison à l'encontre d'un jeune de 23 ans.Il était jugé pour avoir mis le feu à son établissement en 2009, dans le but de toucher l'assurance, et ainsi pouvoir rembourser ses dettes. Mais l'incendie avait coûté la vie à deux personnes, une mère et sa fille, qui résidaient au-dessus du restaurant.
Les réquisitions au procès du restaurateur d'Amplepuis
Entre 18 et 20 ans ont été requis à l'encontre d'un jeune de 23 ans, jugé pour avoir mis le feu à son établissement, dans le but de toucher l'assurance, et ainsi pouvoir rembourser ses dettes.Mais l'incendie avait coûté la vie à deux personnes, une mère et sa fille, qui résidait au-dessus du restaurant. Le verdict de la cour d'Assises du Rhône est attendu jeudi après-midi.
Des lingots d'or enterrés dans un jardin de Pusignan
Ce sont 3 hommes qui comparaissaient mercredi devant le tribunal correctionnel de Lyon pour une affaire de vol d'un stock de métaux précieux, en janvier 2009, dans une fonderie de Rillieux-la-Pape.Le montant du butin s'élevait à 6 millions d'euros. Les trois prévenus n'étaient pas soupçonnés du vol mais plutôt du recel de certains lingots. Ils avaient notamment enterrés neuf barres dans un jardin de Pusignan. Sept ans de prison ont été requis. Le jugement a été mis en délibéré.
Un père de famille condamné à un an de prison ferme pour avoir frappé ses enfants
Cet homme de 40 ans était jugé par le tribunal de Roanne pour des faits qui s'étaient déroulé fin mai au domicile familial de Riorges.Il avait donné des coups de poing à sa fille car elle avait été collée puis s'était acharné sur l'adolescent à coups de pied, de poing et de ceinture car il venait de se faire exclure de son collège. Ce dernier avait sauté du premier étage pour échapper à son père et s'était réfugié chez sa voisine.
Le gérant d'une société condamné à 3 ans de prison ferme
Il a été reconnu coupable d'agression sexuelle sur l'un de ses salariés.Les faits s'étaient déroulés en juin 2008 dans une entreprise de travaux publics du sud-lyonnais. En plus de la condamnation à cinq ans de prison au total, ainsi que 3 ans de mise à l'épreuve, le patron devra dédommager sa victime à hauteur de 5 000 euros.
Un restaurateur d'Amplepuis devant la justice
Cet homme est jugé devant les Assises du Rhône à partir de mardi pour avoir mis le feu à son établissement en septembre 2009.Il espérait toucher l'assurance et pouvoir rembourser ses dettes mais le sinistre avait provoqué la mort de deux personnes, une mère et sa fille, qui résidaient au-dessus du restaurant. Le restaurateur, aujourd'hui âgé de 23 ans, encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Le verdict est attendu vendredi après-midi.
Début mardi du procès d'un restaurateur d'Amplepuis
Un restaurateur d'Amplepuis est jugé à partir de mardi devant les Assises du Rhône pour avoir mis le feu à son établissement en septembre 2009.Il espérait ainsi toucher l'assurance et pouvoir rembourser ses dettes. Le sinistre avait provoqué la mort de deux personnes, une mère et sa fille, qui résidaient au-dessus du restaurant.Le restaurateur, aujourd'hui âgé de 23 ans, encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Un homme de 48 ans incarcéré après son procès
Il a été condamné à deux ans de prison dont un an avec sursis et mise à l'épreuve avec obligation de soins et de travail.Mercredi soir dernier, il a injurié sa mère chez qui il vivait dans un appartement du 6e arrondissement. Il l'a ensuite menacé avec des couteaux de cuisine. Sa soeur a tenté de s'interposer a été blessée au dos. L'homme avait déjà été condamné à 5 ans de prison pour des faits similaires.
De la prison pour trafic de stupéfiants
Les policiers ont arrêté trois hommes de 19, 21 et 30 ans mercredi à Lyon dans une affaire de trafic de haschich.En tout plus de 4 300 euros et 900 grammes de résine de cannabis ont été retrouvés à leurs domicile. Vendredi ils ont été condamnés à des peines de prison constituées pour moitié de sursis.
Trois jeunes écroués pour des plants de cannabis
Les trois jeunes gens avaient été interpellés à la Confluence après la découverte d'une plantation de cannabis dans un appartement de la Confluence.Cette plantation a été découverte après l'incendie d'un immeuble de la rue Casimir Périer (2e ar.) dans la nuit de dimanche à lundi. Les 3 lyonnais ont été incarcérés en attente de leur jugement, prévu le 28 juin.
Le Printemps de Lyon devra régler ses arriérés de loyer
En conflit avec la société ANF Immobilier depuis cinq ans, le magasin Printemps de la rue de la République n’ pas obtenu gain de cause auprès du tribunal de Grande Instance de Lyon.
Une entreprise lyonnaise condamnée pour avoir exposé ses ouvriers à l'amiante
Le conseil de prud'hommes de Lyon a reconnu l'existence d'un préjudice d'anxiété pour les ex-salariés de la société JST.Jusqu'en 1989, l'usine du 8e arrondissement, qui s'appelait alors Jeumont-Schneider, utilisait des plaques et des cordons contenant de l'amiante pour fabriquer des transformateurs électriques destinés aux centrales nucléaires et aux locomotives TGV. L'entreprise a été condamnée à verser 10 000 euros de dommages et intérêts à 34 anciens ouvriers. Une centaine d'autres salariés ont également lancé une procédure d'indemnisation. L'audience est prévue l'année prochaine.
Un jeune de 21 ans condamné à trois mois de prison avec sursis
C'est un contrôle routier qui avait dégénéré le mois dernier à Vénissieux.Le jeune homme, qui n'avait pas ses papiers sur lui, s'était rebellé et avait pris la fuite alors que plusieurs personnes s'étaient rapprochées du véhicule de police et avaient lancé des objets dans leur direction. Les policiers avaient accusé le mis en cause d'avoir asséné un coup de tête à l'un d'eux. Une thèse qui était réfutée par le prévenu et les témoins des incidents. Le jeune homme, au casier judiciaire jusque-là vierge, a été relaxé pour 3 des 4 faits reprochés mais devra tout de même indemniser les policiers.
Un jeune de 19 ans condamné à un an de prison dont 6 mois ferme
Il avait été interpellé dimanche soir à St Fons, car il avait tenté de revendre une moto volée sur Internet.C'est le propriétaire de la moto qui avait alerté la police. Une perquisition menée à son domicile a permis aux enquêteurs de découvrir deux autres motos, probablement volée, ainsi que près de 2,5 kg de résine de cannabis.
L'employée de RTE mise à la retraite d'office peut retrouver son emploi
Cette femme, âgée aujourd'hui de 65 ans, avait été mise d'office à la retraite en début d'année.Elle avait été secrétaire sur le site RTE de la Part-Dieu pendant plus de 15 ans. Mardi, le conseil de prud'hommes de Lyon a rendu sa décision : le tribunal demande à RTE de réintégrer l'employée au même poste et sur le même site. L'entreprise devrait faire appel mais appliquera la décision en attendant une nouvelle audience.
Un chômeur lyonnais porte plainte pour discrimination
Les faits sont rapportés mercredi matin par Le Progrès.Cet homme d'origine maghrébine s'était vu refusé un entretien d'embauche dans une entreprise d'électricité de l'est lyonnais. La société avait expliqué que le recrutement était clos mais le demandeur d'emploi avait renvoyé son cv en modifiant son nom et ses coordonnées et avait cette fois-ci reçu un coup de téléphone intéressé. Il s'est alors tourné vers la Licra qui a appuyé le dossier auprès la Halde, la haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité qui a estimé justifié une action en justice. Le chômeur lyonnais souhaite des excuses et une réparation même symbolique.
Nicolas Caggiu sera rejugé
Le Parquet Général a décidé de faire appel de l'acquittement de cet homme de 28 ans jugé la semaine dernière devant les assises du Rhône.Il comparaissait pour le meurtre de son dealer en décembre 2007 et malgré les 15 ans de prison requis, il avait donc quitté libre le tribunal. Un nouveau procès devrait se dérouler aux assises de la Loire ou de l'Ain d'ici un an. Nicolas Caggiu restera en liberté d'ici là et devra se constituer prisonnier la veille de l'audience.
Trois mois de prison ferme pour un jeune homme de 22 ans
Il était jugé lundi devant le tribunal correctionnel pour s'en être pris à une automobiliste samedi à Brignais.Celle-ci avait usé de son klaxon contre lui et avait été prise en chasse pendant de longues minutes. Une fois bloquée par le prévenu, elle a été menacée, insulté, a reçu des crachats et des coups de poing. Elle a répondu en vidant une petite bombe de gaz lacrymogène sur l'agresseur. Le jeune homme a été condamné à un an de prison dont 3 mois ferme et a été incarcéré à l'issue du procès.



















