Objectif : ne pas céder la part de capital laissé vacante par l’Etat à des groupes dont les objectifs ne seraient pas le développement local et le rayonnement national et international de a plateforme aéroportuaire lyonnaise. C’est le cas de l’entité aéroports de Paris (ADP), qui a plusieurs reprises s’est montrée intéressée par l’offre de rachat. « Si c’est ADP qui prend le contrôle, Saint-Exupéry risque de devenir un sous-traitant qui récupère les miettes des aéroports parisiens », confiait déjà en mars aux Echos le président de la chambre de commerce et d’industrie de Lyon, Philippe Grillot, qui détient 25% du capital de Saint-Exupéry.
Les 6 membres du GLEE (Gérard Collomb pour le Grand Lyon/ Bernard Fontanel pour le MEDEF/ Philippe Grillot pour la CCI de Lyon/ François Turcas pour la CGPME/ Alain Audouard pour la Chambre des Métiers et de l'Artisanat du Rhône/ Michel Lussault pour l'Université de Lyon) ont également évoqué le développement du futur pôle métropolitain, ainsi que le projet IDEX, orchestré par le PRES et visant à un développement universitaire ambitieux de la métropole.