Depuis plusieurs mois, la brigade de gendarmerie d’Ampuis mène une série de contrôles dans divers établissements du Rhône, en collaboration avec plusieurs autres services (impôts, douanes…). Objectif : lutter contre le travail illégal et protéger salariés et consommateurs.
Les résultats sont édifiants. Sur les sept établissements contrôlés – garages, salons de coiffure/barbier, restaurants – un seul était totalement en règle. Dans les six autres, pas moins de huit délits ont été relevés, notamment des infractions liées au travail dissimulé et au registre du personnel. En parallèle, 230 infractions environnementales ont été constatées.
Un établissement a fait l’objet d’une fermeture administrative, tandis que plusieurs gérants devront répondre de leurs actes devant la justice. Les gendarmes préviennent "d'autres contrôles seront effectués".
le maquis!!...
Signaler RépondreVous avez parfaitement raison, L'URSSAF, un puits sans fond
Signaler RépondreBen voyons ,les pôvres qui s’achètent des porches avec les heures sup non payées, ni aux employés ni à l’etat.
Signaler RépondreEn effet le seule ministère qui fonctionne parfaitement reste celui des finances.
Signaler RépondreEt pourquoi les employeurs viennent à ces solutions la raison est simple la première c'est qu'ils sont tellement ponctionnés de taxes en tout genre dont l'URSSAF et autres charges puis évidemment le côté profit sur les employés et même entente entre l'employé et l'employeur
Signaler RépondreVous avez raison Yes It mais malgré tout saluons certains services de l'état qui fonctionnent parfaitement bien afin de remettre de l'ordre , ces contrôles permettent de sanctionner et c'est très efficace.
Signaler RépondreTout le monde se fou de tout de nos jours, rien d'étonnant à constater le résultat
Signaler RépondreExactement !
Signaler RépondreNormal ! Les taxes , les charges , les impôts, les petites entreprises et artisans n y arrivent plus . Soit ils mettent clef sous la porte , sois ils contournent les lois . Qu ils commencent par les politiques, emplois fictifs et compagnie... laisser les petites entreprises s en sortirent comme elles peuvent
Signaler RépondreS'il fallait encore apporter la preuve, que ce sont les patrons qui poussent les pouvoirs publics à faire rentrer des immigrés, dans le but de développer leurs commerces pour faire toujours plus de profits en ne déclarant pas certains personnels, c'est chose faite. Georges Marchais PCF était contre l'immigration quand la droite patronale était pour.
Signaler RépondreLOL, plus on pond des lois dans ce pays, moins elles sont respectées.
Signaler RépondreOn va bien rigoler avec les ZFE, ZTL et autres délires technocratiques
On fait des lois de plus en plus compliquées pour éviter les "dérapages".
Signaler RépondreMais beaucoup ne les appliquent pas, sans aucune sanction la plupart du temps.
C'est même la normalité on dirait au ton de l'article.
Du coup, j'en arrive à la conclusion que la loi ne sert qu'à embêter les gens honnêtes, ceux qui la respecte.
Les autres se portent très bien, merci pour eux.
Donc soit on simplifie, soit on sanctionne, mais là, c'est pas bon.
Barbiers... des boutiques pour blanchir l argent de trafic escroquerie a l urssaf et assurance chomage. seules boutiques ou il y a 3 'employés' pour 1 client.
Signaler Répondreet encore ce ne sont que des contrôles sur place relatifs aux conditions d'hygiène etc etc
Signaler RépondreJ'imagine que si on poussait un peu plus ces contrôles sur un plan fiscal ,chiffre d'affaires nombre de clients ,achats des marchandises ,capital social on s'appercevrait du role de lessiveuse de ces commerces ,on appelle cela des blanchisserie (et non des pressing !!!)
est ce que un jour en attaquera a l'invasion fiscal des grosses boîtes les très riches qui paye autant d'impôts qu'un simple citoyen bref l'état de mafia sous tenu par l'extrême droite
Signaler RépondreIl ne faut pas généraliser, d'ailleurs si les établissements sont visés, c'est rarement par hasard.
Signaler RépondreMais puisque vous parlez de ceux qui cherchent un job, si on parlait de ceux qui ne veulent pas travailler. Encore aujourd'hui, dans Le Progrès, une coiffeuse qui a du mal à trouver, les jeunes sont plus qu'exigeants. Je me rappelle de mon départ en retraite, impossible de me trouver un remplaçant alors que le salaire était plus que correct et les horaires également.
Une moyenne de 1 établissement contrôlé par mois.
Signaler RépondreÇa vaut le coup te tenter, forte chance de passer entre les mailles du filet un bon moment !
Sinon le résultat ne m'étonne guère.
Ça n'étonne personne, d'ailleurs depuis 2017 tous ces établissements ne se plaignent jamais ils font ce qu'ils veulent...
Signaler RépondreAprès pour ceux qui cherchent un boulot en règle les candidatures refuseés maintenant on comprend pouruoi
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