Zeus, le cheval métallique des Jeux Olympiques de Paris 2024, est arrivé à Lyon (PHOTOS)

en a realisé une gravure impressionnante dans les annees 1500 hautement symbolique et sophistiquée qui interroge encore les exegetes

Il est curieux de souligner, en écho aux remarques précédentes, que le cheval métallique des Jeux olympiques doit son existence au financement de Sanofi, un géant pharmaceutique français bien connu pour sa production de vaccins. Cette implication prend une tournure intrigante lorsque l’on considère que certains interprètent ce cheval comme une représentation du Cavalier pâle de l’Apocalypse, une figure biblique associée aux fléaux, aux épidémies et à la mort. Dans ce contexte, des observateurs n’ont pas manqué de faire un parallèle avec des événements récents comme la pandémie de Covid, voyant dans ce symbole une coïncidence troublante, voire une allusion implicite aux maladies qui marquent notre époque.

Sur le plan de sa conception, ce cheval a été imaginé et réalisé par l’atelier Blam, un studio basé à Nantes. Fondé par Aurélien Meyer, cet atelier porte la marque d’une collaboration étroite avec François Delarozière, avec qui Meyer a créé la compagnie de théâtre de rue La Machine. Cette dernière s’est forgée une renommée internationale grâce aux impressionnantes « Machines de l’Île », ces créations mécaniques monumentales qui animent le paysage nantais.

Mais l’histoire ne s’arrête pas là. La compagnie La Machine, au-delà de ses réalisations nantaises, est également à l’origine des spectaculaires machines qui ont défilé à Toulouse lors du festival de rue « Le Gardien du Temple – La Porte des Ténèbres », tenu à l’automne 2024. Ce spectacle mettait en scène trois figures imposantes : Lilith, la Gardienne des Ténèbres, Astérion le Minotaure et Ariane l’Araignée.

Pourtant, cette performance n’a pas été accueillie sans controverse. L’archevêque de Toulouse y a vu une provocation, dénonçant ces machines comme des symboles sataniques susceptibles d’offenser la sensibilité des croyants. Face à ce qu’il a perçu comme une célébration du mal, il a organisé une messe spéciale pour consacrer la ville, espérant contrer ce qu’il considérait comme une animation de mauvais goût.

Le cheval métallique mis en avant lors des Jeux olympiques n’est pas un simple ornement : il évoque le Cavalier pâle, tiré du Livre de l’Apocalypse dans le Nouveau Testament. Ce personnage, l’un des plus insaisissables et fascinants de l’eschatologie chrétienne, porte en lui une aura sinistre, incarnant à la fois la mort, les ravages des épidémies et la destruction à grande échelle. Son apparition dans les écritures sacrées ne laisse aucun doute sur son rôle, celui d’un messager de catastrophes implacables, annonçant un destin funeste pour une partie de l’humanité.

La citation biblique le décrit avec précision : « Et je regardai, et je vis paraître un cheval de couleur pâle ; et celui qui était monté dessus se nommait la Mort, et l’Enfer le suivait ; et le pouvoir leur fut donné sur le quart de la Terre, pour faire mourir les hommes par l’épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre. » — Apocalypse, chapitre 6, 1-8. Pour ceux qui restent sceptiques face à cette interprétation, un retour aux images de la cérémonie d’ouverture s’impose. On y voit le cheval blanc progresser majestueusement devant la tribune présidentielle, suivi par les porteurs de drapeaux des nations participantes. Cette mise en scène semble suggérer que le Cavalier apocalyptique guide les peuples dans son sillage, les entraînant vers un horizon de guerre et de désolation, une célébration implicite du mondialisme et de ses dérives.

Élément phare de cette inauguration, ce cheval n’est pas qu’une figure décorative : il s’inscrit dans une symbolique sombre, voire satanique, associée au chaos et à la fin des temps. Le choix de l’exposer à Lyon, une ville profondément marquée par son histoire catholique et sa spiritualité, ajoute une couche de provocation à cette démarche. Loin d’être fortuite, cette décision interroge les intentions derrière un tel symbole, plaçant une image de mort et de désordre au cœur d’un lieu chargé de foi et de tradition.

hughhh....grand sachem penser cheval de fer etre locomotive ,hugghhh.....grand sachem dire petits blancs escrocs!!huughhh

frequentation touristique à paris avec et pendant effet JO:plus 2 (deux!) pour cent....

Greg l'altermondialiste pourfendeur de multinationales ne trouve rien à dire sur ce cheval financé par Sanofi
Suggestion il devrait diffuser en boucle du Aya Nakamura dans la cour de l'hôtel de Ville.....

La cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, qui s'est tenue le 26 juillet 2024, est devenue le programme le PLUS REGARDÉ de l'histoire de la télévision française grâce à son audience en replay.

Voici les points clés concernant cette audience :

Audience totale : La cérémonie a été suivie en direct par 23,2 millions de téléspectateurs sur France 2. En ajoutant 1,2 million de visionnages en replay, l'audience moyenne atteint un total historique de 24,4 millions de téléspectateurs.

Moments marquants :
La performance de Aya Nakamura a atteint un pic d'audience de 31,4 millions de téléspectateurs.
L'allumage de la vasque olympique a été regardé par 29,5 millions de personnes.
Céline Dion, chantant "L'hymne à l'amour", a captivé 29 millions de téléspectateurs.

Comparaison avec d'autres événements : Ce chiffre DÉPASSE l'audience de la finale de la Coupe du Monde de football de 2022, qui avait rassemblé 24,08 millions de téléspectateurs.

Impact sur les audiences : Durant la première semaine des JO, les chaînes de France Télévisions ont enregistré plus de 50% de part d'audience en moyenne, avec 90% des Français ayant regardé au moins un moment des Jeux.

Et pan, dans la gueule, les grincheux !!!

faut le garder jusqu'en 2026 on mettra Doucet dessus avec du goudron et des plumes il pourra rentrer par voie fluviale jusqu'à Paris afin de minimiser son impact carbone.

Et on aurait pas un peu rien à foutre ?

Et par l'état !! Sinon les camping intra muraux se développent bien

Tout le monde s'en tape complet de cette horreur. Bordel que de fric claqué pour cette cochonnerie ridicule.

dans tout cette histoire il est ou le cavalier ?

Notre cher maire refuse le passage de la flamme olympique et on lui accorde celui de Zeus !!!!!????

Cette œuvre aurait été davantage mise en valeur au centre de la Place des Terreaux . Mais il est vrai qu'avec le sentiment d'insécurité que l'on ressent dans ce quartier cela était risqué .

C'est bien ce qu'il y avait de plus féerique dans cette debauche de guignoleries en tous genres sur le parcours des équipes cloîtrée comme des sardines sur les bateaux mouche... quelle honte pour nous ! heureusement ce cheval et Céline pour relever le niveau. Bon maintenant, pour le climat, y avait-il besoin de promener ce quadrupède à roulettes dans toute la France ? Les jeux, c'est fini !

Merci au grand protecteur Sanofi pour cette initiative. Cette sculpture est le symbole d'une cérémonie vomie par plus de la moitié des pays de la Terre et c'est pas de la fake-news. Et pourquoi donc cette nausée vomitive ? Non, il n'y a rien à voir, rien à savoir, circulez !

Mamie aimerait bien le voir vu que ça a été payé par Sanofi et donc ses impôts avec les centaines de millions que Macron leur a donné, encore 500 M€ l'an dernier, mais on ne peut pas se garer et avec son déambulateur pas moyen de prendre les transports en commun... Et le taxi trop cher pour sa petite retraite.
Elle en veut à Macron et aux pastèques du coup ;-)

Qui paie la connerie ?

encore un truc dont on en a rien a foutre ! Argent public dilapidé en conneries par le maire qui vit dans son monde de bisounours !!

Grégory Pastèque a t'il prévu le cheval comme moyen de transport écologique pour retourner à Paris lorsque nous l'aurons viré de Lyon ??? 😂😂

En lisant le titre, j'ai cru que Macron était de passage à Lyon

Je te dis pas le budget de la tournée ...sinon serrez vous la ceinture

Après avoir snobé les jeux olympiques, la mairie cherche à améliorer son image à 1 an des élections. Il s'agit d'une basse récupération politique, les lyonnais ne sont pas dupes !

Nous n'oublierons jamais que le maire, par dogmatisme et idéologie, a refusé la constitution d'un village olympique et de permettre à Lyon de vibrer avec ferveur.

le cheval est venu en voiture