Mardi dernier, trois surveillants ont été frappés ou bousculés par des jeunes de 14 à 16 ans. L’UFAP déclare que le manque d’effectif pénitentiaire est la cause de ces débordements. L’établissement compte 33 jeunes incarcérés.
Le syndicat pénitentiaire pointe du doigt la dizaine d’agressions perpétuées cette année dans l’établissement pour mineurs de Meyzieu.
Mardi dernier, trois surveillants ont été frappés ou bousculés par des jeunes de 14 à 16 ans. L’UFAP déclare que le manque d’effectif pénitentiaire est la cause de ces débordements. L’établissement compte 33 jeunes incarcérés.