Le groupe lyonnais de tourisme vient d’annoncer la finalisation de son 4e LBO (Rachat avec effet de levier), une opération financière permettant de renforcer la participation de ses salariés au capital, et notamment celle des 14 membres du comité exécutif.
"Cette nouvelle opération marque une étape importante, avec l'ouverture du capital à nos salariés. Plus que jamais, nous sommes motivés et enthousiastes à l'idée d'ouvrir ce nouveau chapitre, portés par une ambition très forte pour le futur de notre groupe", souligne Laurent Abitbol, président de Marietton Développement.
Ce LBO a été rendu possible grâce au soutien des partenaires historiques du groupe, parmi lesquels Certares, Bpifrance et AfricInvest Europe. Avec cette opération, Marietton Développement entend consolider son modèle et se préparer à de nouvelles acquisitions sur le marché du voyage.
Fondé en 1968 à Lyon, Marietton Développement s’est imposé au fil des années comme un acteur incontournable du tourisme, présent dans la distribution via ses agences Havas Voyages et Selectour, dans la production avec des marques comme Voyamar ou Héliades, mais aussi dans le voyage d’affaires, l’événementiel et le sport.
Sous la présidence de Laurent Abitbol, le groupe s’appuie sur une stratégie combinant enrichissement de l’offre et acquisitions ciblées. Depuis 2015, plus de trente rachats ont été réalisés, dont le dernier en date en juillet 2025 avec l’acquisition de SPVA (Simplement Pour Voyager Autrement), spécialiste reconnu des voyages de groupes.
de gaulle l avait dejà inventé :ils appelaient çà à l epoque l interessement....
Signaler Répondre" l'ouverture du capital à nos salariés." Ils ont tout compris ! C'est ce qu'il convient de faire afin que chacun s'implique complétement dans son entreprise.
Signaler RépondreIls bossent.....eux
Signaler RépondrePère de trois enfants, directeur d’un réseau d’agences immobilières, conseiller régional des pays de la Loire, proche des milieux conservateurs et notamment du ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, Laurent Caillaud ne correspondait ainsi pas au profil type du toxicomane. L’élu de 56 ans a pourtant été retrouvé mort ce lundi par les pompiers dans un appartement d’un quartier défavorisé de Tours, semble-t-il emporté par une overdose.
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