"Via sa division Agro, BASF, leader de l'industrie chimique, empoisonne les sols, l'eau et notre alimentation. Halloween ou pas, les agissements de l'agrobusiness ont de quoi faire peur", justifient les activistes écologistes qui ont déversé de la peinture verte sur le parking, installé de faux cercueils et déployé des banderoles.
🔴Action en cours au siège de @BASF_Agro_FR à Écully, proche de #Lyon
— Extinction Rebellion France 🐝🌺 (@xrFrance) October 31, 2025
Via sa division Agro, #BASF, leader de l’industrie chimique, empoisonne les sols, l'eau et notre alimentation ☠️#Halloween ou pas, les agissements de l’agrobusiness ont de quoi faire peur ☣️#PotionToxique pic.twitter.com/PnozwCCs6r
Outre son happening, Extinction Rebellion a publié une série d'exigences, comme la mise en demeure de BASF de "respecter ses obligations légales concernant la fabrication, le stockage et l’exportation des produits contenant des substances interdites par la loi" ou que "l’eau potable soit considérée comme une priorité nationale absolue et que tous les moyens humains et financiers nécessaires soient immédiatement mis en œuvre pour garantir à toute la population une eau potable au robinet sans substances toxiques".
Merci de démontrer que vous ne comprenez rien.
Signaler RépondreMonsieur défend sa paroisse, d autres défendent l humain , la faune , la flore....
Signaler RépondreJe vais me permettre d'insister lourdement:
Signaler RépondreLe coeur du sujet est réglementaire.
Le responsable est donc celui qui décide.
Et celui qui décide c'est le politique.
Il ne peut pas ignorer qu'un industriel défend son business et fait du lobbying : tout le monde le fait, les associations aussi, les minorités, les groupes cultuels, culturels etc. Dès que quelqu'un s'approche d'un élu pour plaider sa cause c'est du lobbying.
S'agissant des "études scientifiques biaisées" c'est un argument qui ne veut rien dire (c'est le scientifique qui parle ici). Soit l'étude est truquée, auquel cas on la combat sur le terrain de la science. Soit les résultats sont sujets à multiples interprétations, auquel cas on les combat sur... le terrain de la science. Soit les résultats ne plaisent pas aux opposants de BASF, auquel cas ils ont tort (puisque la science les contredit) ou ils doivent convaincre les autorités de mener des études contradictoires.
Mais celui qui décide de les croire ou pas c'est bien alors le politique.
On est pas sur un commerce libre et dérégulé : tout produit y est soumis à autorisation de commercialisation. C'est donc celui qui autorise qui est responsable.
Et s'il a triché c'est la justice qu'il faut aller voir, ou son élu pour qu'il agisse. Dans les autres cas on se trompe de cible.
Penser que je soutiens BASF en ayant tenu ce propos est idiot. Je suis par exemple opposé à la commercialisation de produits cultivés à l'aide de glyphosate. Mais je ne me trompe pas de cible.
Je n'insisterai pas plus face aux militantisme qui se complait dans la réalisation d'actions d'éclat inefficaces et masturbatoires... Pensez ce que vous voulez
c'est Bayer pour le glyphosate
Signaler RépondreTant de prose pour ça, . Le fabricant mise tout sur sa technologie, paye beaucoup pour le lobbying malhonnête , et triche avec les études scientifiques biaisées... Même si certains politiques ont leur part de responsabilité, On ne se trompe pas de combat sur BASF
Signaler RépondreSait on pourquoi ce genre d'associations d'extrême gauche est "protégé" par le Conseil d'Etat ? Est ce parce que ce Conseil d'Etat est dirigé par des gens du PS (ce qui expliquerait pourquoi ils ont refusé la transparence sur les notes de frais de leur "amie" Anne Hidalgo).
Signaler RépondreJe pose innocemment la question.
Et bien bravo, c'est un point Godwin directement atteint sans aucune provocation.
Signaler RépondreBASF = zyklon et agent orange au vietnam.
Merci, c'était super constructif.
Quand aux autres, comme ces activistes vous réfléchissez avec vos pieds, qui sont d'ailleurs carrés.
Le lieu d'intervention utile n'est pas chez BASF, mais chez ceux qui autorisent l'usage de ces produits. En effet:
1) Si les assemblées (nationale, européenne etc) autorisent l'usage de ces produits, alors le fabricant ne peut être mise en cause, il travaille légalement.
2) Si par ailleurs les produits sont légaux mais que leur usage impose des conditions particulières afin de ne pas polluer c'est l'utilisateur qui doit être mis en cause en cas de mésusage, pas le fabricant.
A titre d'exemple si vous êtes choqués par le nombre de morts liés aux attaques au couteau (dont le nombre de mort n'est pas sujet à débat, contrairement à celui, multifactoriel, de la consommation d'eau, d'air et de nourriture, ce qui en fait un combat dont les arguments ne sont pas contestables), vous n'obtiendrez rien en déversant des litres de faux sans chez un fabricant de lames. On pourra d'ailleurs s'interroger sur le fait que ce n'est pas l'arme qui est en question, mais plutôt son utilisateur.
Enfin, ce qui démontre que j'ai raison (et donc que ces activistes se trompent de cible): les fabricants et utilisateurs de glyphosate ont fait un lobbying très actif auprès des élus afin de lever les interdictions d'usage => ET ils ont gagné. Cci démontre bien que l'action doit se fait au niveau du décideur (ni du producteur, ni de l'utilisateur).
Alors pourquoi les activistes ne le font pas:
1) parce que s'attaquer à un industriel ça a un côté Robin de Bois: ça flatte l'égo et ça utilise l'image d'Epinal (même si elle peut être vraie) de l'actionnaire avide de richesse et sans morale.
2) parce que s'attaquer aux représentants du peuple, s'ils sont majoritairement d'un autre avis, c'est beaucoup plus difficile. ça nécessite d'affirmer qu'ils sont majoritairement à la solde des grands patrons, que ce sont des vendus. C'est probablement faux et c'est un combat plus après.
Bref, il s'agit du combat de lâches crétins contre des cibles inertes -qui ne répondent pas directement et font un lobbying discret pendant ce temps-. S'ils étaient moins lâches et moins crétins il feraient de la politique et de l'information au public via leur action politique... et forts du soutien de la majorité de la population ils agiraient concrètement. Mais ils ne supportent pas l'idée que le public ne leur apporte pas un soutien majoritaire, ce qui empêcherait alors toute action. Et ceux qui souhaitent que leurs idées soient appliquées en dépit de la volonté du plus grand nombre sont des ennemis de liberté (quand bien même ils agiraient de bonne foi).
Con-crètement les gars, ce que dénonce ces rigolos, ça ne vous interpelle pas ? On peut vous pourrir la santé (la nourriture, l'air, l'eau) tant qu'on veut, pour vous tout baigne. Bravo !
Signaler RépondreL'eau, c'est un bien commun, comme l'air. L'eau doit être préservée et gérée de manière responsable pour le bien commun. Il n'y a pas que la firme bavaroise qui pollue les eaux, on pourrait parler aussi des automobiles..
Signaler RépondreBASF , c est la culture industrielle des composés chimiques mortels comme le zyklon dans le passé et le glyphosate maintenant Après le rachat de Monsanto, avec son terrible ''agent orange'' . Que des multinationales qui ont oeuvré pour l environnement a leur manière.
Signaler RépondreVous allez voir il va bientôt avoir un drôle de goût votre pastis
Signaler RépondreCa existe encore, ça?
Signaler RépondreDommage que ce ne soit pas "extinction des cons" on en serait vite débarrassé.
Signaler RépondrePour une fois qu'ils ne s'en prennent pas à des tableaux de maitres ou de l'Art en général...
Signaler Répondre.
Ils ont vraiment un problème avec "la peinture" ces huluberlus décérébrés, je suis certain qu'ils ont les cartes Gold, Platine et Black dans les grandes enseignes type Chantemur, Casto etc... ;-)
La dictature est en marche…!
Signaler RépondreToute pensée différente de la leur sera supprimée !
tous ces activistes crétins commencent à nous emm...der il va falloir que l on réagissent très vigoureusement.
Signaler RépondreParti escrologiste avec la complicité de Greg et ses sbires
Signaler RépondreVia leur smartphone, trott, vélos, ils polluent la métropole !
Signaler Répondre