Une semaine après, la préfecture du Rhône missionnait la DREAL pour un contrôle qui permettait de confirmer la présence sur le site Séveso de plusieurs tonnes de produits phytopharmaceutiques formulés à partir d'alpha-cyperméthrines et de chlorfénapyr.
Une nouvelle opération de contrôle, cette fois de la Brigade nationale d'enquêtes vétérinaires et phytosanitaires du ministère de l'Agriculture, suivait le 20 août.
Ce jeudi, les services de l'Etat annoncent qu'une réunion exceptionnelle de la Commission de suivi de site de BASF Agri Production de Genay s'est tenue le jour-même.
L'industriel a ainsi confirmé avoir procédé à l'élimination du stock de produits concernés. Une partie a été détruite en incinérateur de déchets dangereux, tandis que le chlorfénapy a été réutilisé en tant que biocides.
L'Etat considérait que les produits étaient interdits en application de l'article 83 de la loi Egalim. Le motif invoqué était le retrait ou le non-renouvellement de l'approbation de ces substances actives pour des motifs liés à la protection de la santé humaine ou de l'environnement.
Article tellement mal écrit que l’on peine à comprendre
Signaler RépondreQuelques procès retentissants en Action groupe, à l'américaine, avec à la clef des millions d'Euros de dédommagements, c'est cela qu'attendent ces entreprises, pour enfin avoir une volonté bienveillante de protection des populations.
Signaler RépondrePour une chose aussi grave,il n’y a point de commentaire ! Pour un scooter volé,t’en a 250….voila l’état de ce pays !
Signaler RépondreOK on met les produits sous le tapis et pas d'amende tout en continuant à ramasser le pognon des aides publics et les défiscalisations, champagne ce soir chez les dirigeants et gros actionnaires !
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