Activistes membres d'Extinction Rébellion et Youth for Climate, ils s'étaient introduits sur le site d'Arkema à Pierre-Bénite le 2 mars 2024 pour dénoncer la pollution aux PFAS générée par les industriels.
En première instance en juin, ces huit militants, arrêtés à la fois sur le site où ils déployaient une banderole "Habitants intoxiqués, Arkema doit payer", et en dehors, avaient été relaxés par les juges du tribunal judiciaire de Lyon.
La présidente Brigitte Vernay, qui avait déjà prononcé quelques semaines plus tôt la relaxe des activistes de Riposte Alimentaire qui avaient jeté de la soupe au musée des Beaux-Arts, avait estimé que les prévenus avaient exercé leur liberté d'expression et avait même salué "une action politique pour alerter sur les dangers de cette pollution" aux PFAS.
Le parquet, qui avait requis entre 3 et 6 mois de prison avec sursis, avait fait appel de ce jugement. Tout comme Arkema.
Pour soutenir les huit personnes à nouveau jugées, un rassemblement est organisé en amont de l'audience devant le palais des 24 colonnes dans le Vieux-Lyon. Des prises de parole d'élus et de parlementaires NFP sont prévues, ainsi que du théâtre, de la musique, une buvette et une cantine.
@inculte notoire
Signaler RépondreJ'adore 🤝 vous m'avez régalée 😁😜
Les solutions vont bientot sortir des labos d'horribles hippies anti-progrès : https://www.techno-science.net/actualite/ces-bacteries-eliminent-polluants-eternels-N26487.html
Signaler Répondre@Guilbert, vous devez donc les fréquenter régulièrement pour savoir que ce sont majoritairement des incultes notoires ?
Signaler RépondreCurieux de connaitre votre source d'information :).
D'ailleurs, si vous vous interessez d'un peu plus aux prevenu.es dans ce procès du jour, vous verrez qu'ils et elles sont tous très bien diplomés, et notamment certains dans le domaine de la science. (en partant du postulat qu'un diplôme serait nécéssaire pour comprendre la problématique des pfas, ce qui n'est pas le cas)
Qui consomme ...
Signaler RépondreQui détruit le nucléaire
Qui le droit a la paresse .
Qui met la campagne en boîte en ville
Mais qui ...
Si vous viviez à côté d'une industrie polluante, vous auriez probablement envie de faire évoluer la règle pour aspirer à une meilleure qualité de vie non ? Jusqu'à preuve du contraire, ce groupe, demande aux industriels de respecter la réglementation ou de ne pas empoisonner les habitants subissant leurs rejets. Ce sont les industriels qui eux-mêmes préfèrent fermer ou délocaliser les usines dans des pays moins regardant sur les normes environnementales.
Signaler RépondreC'est quand même fou de porter de tels accusations et de tenir ces mouvements pour responsables de tous les maux...
C'est justement grâce aux actions de tous les collectifs que la substitutions des pfas dans différentes industries est en cours, mais j’aimerai bien que vous me donniez un exemple d'entreprise française liée aux pfas qui soit en train de délocaliser à l’étranger pour polluer tranquille.
Pour qu'ils puissent trouver des solutions techniques, encore faudrait-il qu'ils fassent de solides études scientifiques. Ce n'est majoritairement pas le cas, ce sont des incultes notoires
Signaler Répondreau niveau de leurs députés
La contamination aux Pfas des eaux et maintenant de l'air également est une catastrophe sanitaire et écologique terrifiante. Tous les rapports, études, relevés sont alarmants, que ça soit pour les 20 Pfas déjà surveillés (rappelons qu'il en existe des milliers dont on ignore encore à ce jour l'impact d'une immense majorité, donc potentiellement néfaste) ou d'autres Pfas encore plus tenaces comme le TFA, non-surveillé mais pourtant reconnu en partie cancérigène et perturbateur endocrinien, et qui est présent dans des quantité astronomique (par rapport aux normes sanitaires françaises) dans toute les eaux de France
Signaler RépondreMais Veolia nous envoie des mails pour nous dire qu'"il ne faut pas avoir peur", que l'eau du robinet est tout à fait propre à la consommation, Les responsables dorment sur leurs deux oreilles et on pointe du doigt et attaque une fois de plus les lanceurs d'alertes.
Qui paiera pour nos chimios?
je soupçonne ce groupe de prendre ce prétexte pour faire avancer leur idéologie anti-industrielle, anticapitaliste, fermeture des usines.
Signaler RépondreAu lieu d’aider a trouver des solutions techniques pour améliorer les processus industriels.
ils préfèrent leur faire fermer leurs usines et tolérer qu’ils aillent polluer en Sibérie ou en Amazonie ( sans contrôle , sans surveillance)
par contre ces industriels pollueurs aucun procès aucune sanction.
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