Le projet défendu jeudi dernier en comité interministériel rentrerait en vigueur dès septembre. Alors si la plupart des manifestants ne voulaient pas entendre parler de compromis, certains étaient plus partagés. C’est le cas de Fabrice Mabru, membre de l’Association française des fournisseurs et utilisateurs de technologie d’aide à la conduite. Pour lui, ces appareils ne doivent pas disparaître même s’ils perdent leur fonction d’avertisseur radar.
« Ça devient vraiment un outil d’aide à la conduite, juge-t-il. Nous en avons tous besoin. Aujourd’hui, à titre personnel, ces avertisseurs m’aident à être un meilleur conducteur. Et je fait 50 000 kms par an, précise-t-il Outre l’aspect sécuritaire, le produit peut évoluer. Il pourrait avertir sur les accidents graves ou d’autres incidents qui peuvent intervenir sur la route. Ne pensons pas qu’aux radars sur ce type de produits. »
Le ministre de l’Intérieur Claude Guéant a déclaré cet après midi qu’il n’était pas question de renoncer à l’interdiction des avertisseurs de radars.
Commentaires 2
Déposé le 19/05/2011 à 18h56
Par Yvan, de Lyon. Citer
Déposé le 18/05/2011 à 18h21
Par Bgl Citer