En pleine contestation des étudiants, l'élu, qui lui-même a pris part à des mouvement à l'Unef dans les années 90, assure accepter l'idée d'une contestation. "Je ne suis pas contre le mouvement étudiant. Je trouve que c'est plutôt une bonne école de formation et ça permet d'apprendre à parler en public. (…) Les organisations étudiantes, qu'elles soient de droite, de gauche ou d'ailleurs, sont aussi un moyen de se former. Aujourd'hui, lorsque l'on voit le niveau moyen des élus locaux, on s'aperçoit que c'est quand même quelque chose qui manque chez certains d'entre eux. Il y a besoin d'une colonne vertébrale intellectuelle."
Romain Blachier tempère malgré tout : "Je ne suis pas du tout contre ce mouvement étudiant. C'est simplement que je trouve qu'il est peut-être un peu moins construit intellectuellement que d'autres. (…) Nous, nous ne nous opposions pas à tout. On portait des choses, comme l'allocation d'études et un certain nombre d'éléments. Aujourd'hui, ce que je vois, ce sont des slogans sans contenu. En soit, le mouvement étudiant, c'est bien. C'est un moment de contestation, de débats sur l'université. Par contre, ce que je conteste, c'est que les organisations syndicales étudiantes ne jouent plus leur rôle de formation."
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Détrompez vous M. Blachier les organisations syndicales jouent bien un rôle de formation...
Signaler RépondreRegardez justement l'UNEF avec sa secrétaire voilée qui distille insidieusement une idéologie religieuse archaïque et anti égalitaire
Car ne nous y trompons pas le voile (simple fichu ou longue burka, le symbole est le même) oblige la femme de se cacher des hommes, autres que son mari, son frère ou son père, pour ne pas susciter de regards concupiscents .
Le voile n'est pas simplement un symbole religieux il est une stigmatisation de la femme..aujourd'hui affiché par des porte paroles étudiants
Quelle régression !