Cela n’a toutefois pas perturbé l’archevêque de Lyon qui a donc célébré une messe devant les fidèles, comme chaque vendredi.
Un jour auparavant, il avait pourtant connu l’une des pires journées depuis qu’il est arrivé en mission à Lyon, en 2002 : condamnation à 6 mois de prison avec sursis pour ne pas avoir dénoncé aux autorités le père Preynat, soupçonné de pédophilie. Et annonce d’un rendez-vous avec le pape François au cours duquel il lui remettra sa démission comme Primat des Gaules.
Plusieurs journalistes ont suivi la messe. Mais à aucun moment Mgr Barbarin n’a fait allusion à ses déboires. Il a évoqué le jeûne du Carême, annoncé qu’un prêtre d’un diocèse voisin sera invité vendredi prochain mais n’a pas souhaité s’expliquer sur sa décision, ni s’apitoyer sur son sort ou demander de prier pour lui.
Dans les rangs des fidèles venus assister à la messe, rares sont ceux qui soutiennent directement l’homme. C’est davantage l’Eglise qu’ils sentent attaquée et qu’ils veulent défendre. Selon nos informations, le cardinal Barbarin est de moins en moins apprécié, y compris au sein du diocèse de Lyon.
Article idiot.
Signaler RépondreÉcrit par un pseudo journaliste, non catholique, qui ne va jamais à la messe, qui ne connaît pas l'Église, qui n'a aucune culture religieuse...
Comme la plupart des individus qui commentent cette chasse à l'homme alors qu'ils ne connaissent pas le dossier.
Pauvre France...