Recours d'Étienne Tête : le juge se prononce ce mercredi
Le juge des expropriations doit se décider ce mercredi sur le recours déposé par l'élu et avocat Étienne Tête. Il défend plusieurs agriculteurs de Décines et Chassieu, dont les terrains se situent sur le tracé des accès au futur Stade des lumières. Le juge dira s'il transmet cette demande à la cour de cassation.
Un spécialiste présumé du car-jacking présenté au parquet ce mercredi
L'homme de 35 ans est soupçonné d'avoir agressé deux femmes samedi puis lundi dernier sur le parking d'un centre commercial à Vénissieux. Armé, il les a menacées pour leur voler leurs clés de voiture. L'individu originaire de Vienne en Isère, devrait être poursuivi pour vols avec violence. Les enquêteurs cherchent maintenant à savoir s'il a fait d'autres victimes.
L'arrière petit-fils de Geoffroy Guichard réclame 200 000 euros à huit joueurs de l'OL
Xavier Kemlin s'élève contre leur attitude le 29 avril dernier, lors de la présentation de la Coupe de France depuis l'hôtel de ville de Lyon.
Le fuyard qui a renversé deux policiers vendredi dernier à Lyon écroué
Son procès devrait avoir lieu début juin. Le jeune conducteur de 25 ans, connu pour de nombreux délits routiers, a déjà effectué en cumulé 4 ans de prison ferme selon le Progrès. Il roulait d'ailleurs sans permis lorsqu'il a voulu échapper à ce contrôle de police. Il a alors renversé un agent des forces de l'ordre, avant d'en trainer un autre sur 300 mètres, et de prendre la fuite à pied. Les policiers s'en sortent avec des commotions.
La sanction de l'ancien inspecteur d'académie du Rhône annulée
Le conseil d'Etat a annulé le décret du président de la République qui, en 2009, évinçait Jacques Aubry de son poste. L'homme avait été la cible d'un dossier à charge monté par le recteur de l'académie Roland Debbasch. Selon le Progrès, Jacques Aubry avait immédiatement contesté la mesure. Le tribunal administratif de Lyon puis le conseil d'Etat ont donc rétabli l'honneur de Jacques Aubry. A la retraite depuis l'année dernière, il ne redevient cependant pas inspecteur à la place de Jean-Louis Baglan. Il a également obtenu 3000 euros de l'Etat pour couvrir ses frais de justice.
Harcèlement sexuel : la condamnation d'un ancien député du Rhône suspendue
Gérard Ducray, ancien élu du Beaujolais condamné pour harcèlement sexuel, a obtenu vendredi l'abrogation de la loi par le Conseil constitutionnel.
Michel Neyret sera fixé sur son sort vendredi prochain
C'est ce jour là que la cour d'appel de Paris examinera une demande de remise en liberté de l'ex numéro 2 de la PJ de Lyon. A trois reprises, ces demandes ont été rejetées. Toutefois mercredi à l'issue d'une audition de Michel Neyret, le parquet a indiqué qu'il ne s'opposait pas à une remise en liberté sous contrôle judiciaire. Le policier lyonnais est incarcéré depuis le 3 octobre dernier à la prison de la Santé à Paris. Il est mis examen notamment pour corruption et trafic de stupéfiants.
Le parquet ne s'oppose pas à la remise en liberté de Michel Neyret
L'ex numéro 2 de la PJ de Lyon a été entendu mercredi à Paris par les juges d'instruction chargés de l'affaire. Pour la première fois, le parquet a indiqué qu'il ne s'opposait pas à sa remise en liberté sous contrôle judiciaire. Selon le Progrès, pour les avocats de Michel Neyret c'est « un signe d'ouverture encourageant ». A l'issue de cette audition, ils devaient déposer une nouvelle demande de remise en liberté.
La justice suspend les arrêtés interdisant les expulsions locatives dans 5 communes de l'agglomération
Les maires de Vénissieux, Pierre-Bénite, Grigny, Vaulx-en-Velin et Givors avaient interdit les expulsions locatives, les coupures d'eau, d'électricité et de gaz sur leurs territoires. La préfecture avait alors saisi le tribunal administratif de Lyon, qui vient donc de suspendre ces arrêtés.
L'absence de logement est une atteinte à une liberté fondamentale
L'absence de solution d'hébergement d'urgence constitue « une atteinte grave et manifestement illégale à une liberté fondamentale ». C'est ce qu'a indiqué le tribunal administratif de Lyon, qui a donné raison à un couple kosovar vivant dans la rue avec ses cinq enfants. Cette famille en situation régulière avait déposé un recours depuis la fermeture des centres d'hébergement d'urgence du dispositif hivernal. Le préfet du Rhône doit maintenant trouver un lieu d'hébergement pour cette famille, sous peine d'une astreinte de 70 euros par jour de retard.
Lyon : l'agresseur de la policière placé en détention provisoire
Agé de 39 ans, cet homme est poursuivi pour avoir lourdement frappé la policière de 56 ans qui n'était pas en service vendredi soir.
L'entarteur de Jean-Pierre Raffarin a plaidé non coupable
Cet étudiant de 24 ans a refusé vendredi l'arrangement du parquet qui avait opté pour une audience de comparution avec reconnaissance préalable de culpabilité. Le tribunal correctionnel jugera donc le jeune Drômois le 30 mai prochain. Il est accusé de violence avec arme. L'arme étant une assiette en carton remplie de chantilly. A Lyon depuis 5 ans, l'étudiant en anthropologie se revendique du mouvement Al-Qaïtarte et promet de nouvelles actions. Le 24 février dernier, il avait entarté l'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin alors que ce dernier venait signer à Lyon son dernier livre.
Lyon : expertise de la douille retrouvée près du corps de la gendarme
Les résultats seront connus la semaine prochaine. Si l'expertise arrive si tard, c'est parce que la douille a été retrouvée par la famille de la victime, dans les affaires de Myriam Sakhri. L'avocat de la famille David Metaxas a d'ailleurs taclé la police dans une déclaration à l'AFP : "Si c'est cette thèse (d'une douille oubliée par un technicien) qui est confirmée, c'est pour le moins une faute professionnelle, auquel cas je me constituerai partie civile". La douille, retrouvée sous le divan, pourrait également provenir d'un tir réalisé lors de l'enquête, pour vérifier l'acoustique de l'appartement. En septembre 2011, la gendarme Myriam Sakhri était retrouvée morte dans sa caserne de Lyon. Sa famille n'a jamais cru au suicide par balle et elle met en exergue la discrimination subie par la jeune femme.
Le procès du sniper présumé de Varces a été renvoyé à une date ultérieure
Le principal accusé s'est suicidé dans la nuit de jeudi à vendredi à la prison de Corbas. L'homme, âgé de 61 ans, était accusé d'avoir abattu en 2008 un Grenoblois dans la cour de la prison de Varces en Isère et devait comparaitre aux coté des trois commanditaires de cet assassinat lié à la guerre des gangs de Grenoble.
Le sniper de la prison de Varces s'est suicidé à la prison de Lyon Corbas
Son procès devait s'ouvrir ce vendredi devant les assises du Rhône. L'homme de 61 ans est accusé d'avoir abattu en 2008 un Grenoblois dans la cour de promenade de la prison de Varces en Isère. Il devait comparaitre aux coté des trois commanditaires de cet assassinat lié à la guerre des clans de Grenoble. Le sniper présumé s'est pendu cette nuit dans sa cellule de la prison de Lyon-Corbas.Le procès a été repoussé à une session ultérieure.
Lyon : un jeune homme jugé pour insultes
Deux ans de prison dont un avec sursis, et l'obligation de se soigner et d'indemniser les victimes. Ce sont les réquisitions du procureur jeudi à l'encontre d'un jeune de 18 ans. Le 9 février dernier, alors qu'il se disputait avec sa copine dans un bus à Laurent Bonnevay, il avait copieusement insulté les agents TCL, avant de leur donner des coups de poing. Il était déjà connu par les services de police. L'expertise psychiatrique a montré qu'il souffrait de troubles addictifs importants et d'une altération du discernement selon le Progrès. La peine à laquelle il est condamné devrait être annoncée ce vendredi.
Lyon : l'entarteur de Jean-Pierre Raffarin devant la justice
En février dernier à Lyon, ce jeune de 25 ans qui se revendique du collectif anarchiste lyonnais « Al Qaïtarte » avait entarté l'ancien premier ministre lors de sa venue à la librairie Decitre place Bellecour. Il comparait ce vendredi devant le tribunal de grande instance de Lyon pour « violences avec arme ».
Rhône : ouverture d'un procès pour meurtre
C'est un procès long et très attendu qui s'ouvre ce vendredi devant la Cour d'assises du Rhône. Quatre hommes comparaissent pour avoir commandité en 2008 le meurtre d'un Grenoblois. Il avait été abattu dans la cour de promenade de la prison de Varces, en Isère, par une personne postée à l'extérieur du bâtiment carcéral. Un règlement de compte directement à la guerre des clans qui opposaient les quartiers de Grenoble. Les accusés encourent la réclusion criminelle à perpétuité. Le verdict est attendu le 16 mai.
Assises du Rhône : 10 ans de prison pour avoir caché le corps de son compagnon dans un congélateur
La quinquagénaire accusée d'avoir provoqué la mort de son concubin en 2008 a été reconnue coupable. L'avocat général avait requis 12 ans de prison mais les jurés de la cours d'Assises du Rhône ont été plus cléments en la condamnant à 10 années de réclusion criminelle. Elle a donc été reconnue coupable de la mort de son mari en novembre 2008 et d'avoir dissimulé son cadavre dans un congélateur jusqu'en aout 2010.On ne sait pas encore si elle fera appel de ce verdict.
Elle avait caché le corps de son compagnon dans un congélateur : 12 ans de prison requis
Le parquet a requis 12 ans de prison à l'encontre de la quinquagénaire jugée pour avoir provoqué la mort de son compagnon lors d'une violente querelle, en novembre 2008 à Lyon. Elle avait ensuite caché son corps dans un congélateur. Le cadavre avait été retrouvé en août 2010. Le verdict est attendu dans la soirée.













