Huit mois de prison avec sursis pour des tags racistes
Ce sont trois lycéens, proches de la mouvance néo-nazie, qui ont été condamnés mardi par le tribunal correctionnel de Saint-Etienne. Les inscriptions avaient été découvertes sur les murs de la future grande mosquée de la ville début février.
Le père de famille angolais sans-papier retrouve finalement la liberté
Jeudi, il a quitté la maison d’arrêt de Lyon-Corbas pour être embarqué dans un avion en vue de son expulsion vers son pays d’origine. Mais lors de l’escale à Francfort en Allemagne, le pilote a refusé de transporter ce passager menotté, il a donc été renvoyé au centre de rétention de Saint-Exupéry. Guilherme Azanga a finalement été remis en liberté samedi soir à l’issue de son passage devant le juge de la liberté et de la détention… RESF demande maintenant sa régularisation. Les profs et les parents d’élèves de l’école de ses enfants dans le 7e arrondissement s’étaient fortement mobilisés ces dernières semaines.
Une cellule anti-suicide vide depuis son inauguration
Une cellule anti-suicide est vide depuis son inauguration à la prison de St Quentin Fallavier en Isère… C’est en tout cas ce qu’affirme l’Ufap-Unsa. Selon le syndicat, cette cellule est vide alors que plusieurs tentatives de suicide ont eu lieu dans l'établissement et que celui-ci est en surpopulation. L'administration pénitentiaire, qui aurait consacré 70 000 euros pour la construction de cette celllule, n'a pas souhaité communiquer à ce sujet.
Toni Musulin reste en prison jusqu’à son procès
Le juge d’instruction a rendu mardi soir son ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel. L’ex-convoyeur de fond devrait être jugé en mai prochain pour le vol de 11,6 millions d’euros. Toni Musulin restera donc en prison jusqu’à son procès, alors que sa détention provisoire devait prendre fin mercredi. La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Lyon a par ailleurs confirmé la légalité de son extradition de Monaco à Lyon en novembre dernier. Enfin, selon Le Progrès, le juge a ouvert une 2e instruction pour « recel et complicité ». Elle a pour objet les 2,5 millions d'euros du butin qui n’ont pas été retrouvés. Toni Musulin nie toujours les avoir cachés et avance une erreur dans le comptage des billets.
Toni Musulin renvoyé en correctionnelle
Le juge d’instruction a rendu mardi soir son ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel. L’ex-convoyeur de fond devrait être jugé en mai prochain pour le vol de 11,6 millions d’euros. Toni Musulin restera donc en prison jusqu’à son procès, alors que sa détention provisoire devait prendre fin mercredi.
Toni Musulin reste en prison
La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Lyon confirme la légalité de son extradition de Monaco à Lyon en novembre dernier
15 mois de prison pour avoir voulu écraser son frère
L’affaire s’est déroulée samedi dernier à Genay. Le coupable, déjà condamné précédemment, a tenté d’écraser son frère avec sa voiture alors que celui-ci se dirigeait vers un arrêt de bus. Le jeune homme a été écroué.
Toni Musulin sera-t-il remis en liberté ?
C’est mardi que la période de détention provisoire de l’ex convoyeur de fonds arrive à échéance.
Un interdit de stade condamné à deux mois de prison avec sursis
Ce jeune homme de 22 ans a été condamné hier par le tribunal correctionnel à deux mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve et à une amende de 200 euros. Samedi dernier à 19 heures, il s’était rendu à la brigade de Vaugneray pour prouver qu’il ne s’était pas rendu à Boulogne où évoluait l’OL. Les gendarmes lui ont demandé de revenir à la 25e minute du match comme le prévoit la loi mais le jeune homme a refusé, expliquant qu’il lui était impossible de se rendre dans le Nord alors que le match avait commencé. Le ton était alors monté et les insultes avaient fusé.
15 ans de prison requis pour la tentative d'assassinat dans la prison Saint-Paul
En mai 2007, un détenu martiniquais avait fracassé le crâne de son jeune codétenu de la prison lyonnaise. Celui-ci avait repoussé ses avances et demandé à changer de cellule. Le prévenu avait déjà condamné pour violences et agressions sexuelles. Le verdict est attendu mercredi après-midi devant la cour d’assises du Rhône.
Un meurtre dans le huis-clos de la prison
Les jurés de la cour d’assises du Rhône se replongent, pendant 3 jours, sur un assassinat dont les motifs restent flous.
Dix ans de réclusion criminelle pour le grand-père violeur
Verdict prononcé mercredi soir par la cour d’assises du Rhône à l'issue de deux jours d'audience. Cet ancien garagiste de Tarare est reconnu coupable de viol et agressions sexuelles sur mineurs. Il était accusé d'avoir violé à plusieurs reprises, entre 2004 et 2006, ses deux petits-enfants, âgés au moment des faits de 5 et 11 ans. Ils avaient fini par se confier à leurs parents plusieurs mois après les faits.
Procès pour viol : 10 ans de prison ont été requis aux Assises du Rhône
10 ans de prison ont été requis à l’encontre d’un grand-père de 71 ans, jugé depuis mardi pour le viol de ses deux petits-enfants. Les faits se sont déroulés entre 2004 et 2006. Les deux enfants, âgés de 5 et 11 ans à l’époque des faits, avaient fini par dénoncer leur grand-père. Le verdict est attendu mercredi la soirée.
Un procès pour viol devant les Assises du Rhône
Un grand-père de 71 ans est jugé depuis mardi matin devant la Cour d'Assises du Rhône pour le viol de ses deux petits-enfants. Les faits se sont déroulés entre 2004 et 2006, à Tarare. Les deux enfants, âgés de 5 et 11 ans à l’époque des faits, avaient fini par tout raconter à leur parent, qui ont porté plainte. Le verdict est attendu mercredi.
2 ans de prison dont 4 mois ferme après un accident mortel de cyclomoteur
C’est un jeune homme de 20 ans qui a été condamné lundi par le tribunal correctionnel de Lyon. En juillet dernier, il conduisait son engin alors qu’il était sous l’emprise de l’alcool et de la drogue. Derrière lui, sa petite-amie de 19 ans avait trouvé la mort, projetée contre un poteau électrique, quand le jeune homme a perdu le contrôle du cyclo.
Suicide en prison : "Le problème vient de la déshumanisation et de la détention"
La prison de Corbas, pourtant à l'avant-garde de la technologie, a déploré son troisième suicide depuis son ouverture. Cette recurrence funeste pose la question du lien social dans les prisons. Une nécessité dont la technologie, via la vidéosurveillance, et les initiatives du ministre de la justice, à travers la mise en place de "kits anti-suicides", ne sont que d'inefficaces pis-aller. Le principe de claustration, châtiment du prisonnier, se double dorénavant d'une déshumanisation tout aussi cruelle et dangereuse. Pour Emmanuel Chambaud, délégué UNSA de la prison de Corbas, il manque essentiellement des personnels, seuls à même de tisser des liens avec le prisonnier, de favoriser sa confession. Car prévenir un suicide, c'est avant tout déceler les signes de faiblesse psychologique. Interview.
L’UFAP dénonce les agressions de surveillants par des détenus mineurs
Le syndicat pénitentiaire pointe du doigt la dizaine d’agressions perpétuées cette année dans l’établissement pour mineurs de Meyzieu.
Grande opération de transfèrement de détenus à Bourg-en-Bresse
67 détenus ont été transférés dimanche matin de la maison d’arrêt au nouveau centre pénitentiaire de la ville. 200 personnels de l'administration pénitentiaire ont été mobilisés pour cette opération, ainsi que 200 policiers et CRS. La nouvelle prison se remplira jusqu'à fin de l’année pour finalement accueillir 690 détenus.
Jugé pour détention de 5 kilos de cannabis
C’est un homme de 31 ans qui comparaissait mardi devant le tribunal correctionnel de Lyon. Il avait été arrêté vendredi dernier sur un parking de Vénissieux. Les policiers, alertés par le manège de guetteurs, ont trouvé 5 kilos de cannabis dans sa voiture. Le prévenu prétendait garder le chargement d’un ami contre une commission de 250 euros. Il a été condamné à un an de prison ferme.
Trente ans pour le père accusé d’avoir noyé ses 3 enfants
Le verdict a été rendu lundi soir par la cour d’assises de la Drôme. Une condamnation assortie d’une peine de sûreté de 20 ans. Les jurés n’ont toutefois pas retenu la thèse de la préméditation. Le drame s’était produit à Montélimar en juillet 2007 alors que les parents étaient en instance de divorce.