Un homme arrêté à la descente de son avion à St-Exupéry
Cet homme qui arrivait d'Algérie vendredi soir est soupçonné d'avoir participé au meurtre d'un jeune de 24 ans en pleine rue à Grenoble en septembre dernier.
L’incompréhension et la colère des policiers grenoblois
Le second braqueur présumé du casino d'Uriage a été remis en liberté jeudi soir à l’issue de sa garde à vue. Il a été mis en examen pour "vol à main armée" et "tentative d'homicides volontaires sur agent de la force publique" et placé sous contrôle judiciaire.
La famille du braqueur lance un appel au calme à Grenoble
Depuis la mort de ce jeune homme de 27 ans vendredi, le quartier de la Villeneuve est sous haute tension.
"Il faut rétablir l'ordre immédiatement à Grenoble"
Brice Hortefeux était samedi à Grenoble suite aux violents incidents qui ont embrasé la ville après la mort d’un jeune homme au cours d’un braquage.
Un procès de la violence dans le foot à Grenoble
Deux hommes sont poursuivis pour avoir tiré avec un fusil de chasse sur un supporter, c’était en avril 2004. Alors qu’un groupe de Stéphanois se rendait au stade avant le derby entre les deux clubs, il avait été pris en chasse par une bande de la cité grenobloise du Mistral. Olivier, alors âgé de 20 ans, avait reçu une balle en pleine tête. Aujourd’hui, il ne peut plus travailler et souffre d’une incapacité de 50%. Il n’a aucun souvenir de cette dramatique soirée. Le tireur présumé âgé de 25 ans s’était rendu un mois et demi après les faits. Il parle d’un coup parti accidentellement et risque jusqu’à 15 ans de prison. L'autre prévenu comparaît pour complicité.
Un jeune homme de 23 ans mis en examen à Grenoble pour
Il a agressé son avocate après l'avoir brièvement séquestrée, mardi, quelques heures après avoir été condamné. L'homme conteste les faits.
L’enquête avance à Grenoble après la mort d’un sexagénaire
Il a été tué d’une balle dans la tête, vendredi soir. Le jeune homme de 19 ans, placé en garde à vue peu après le meurtre, a été mis hors de cause lundi. Il niait les faits. En revanche, il a reconnu une tentative de meurtre sur le fils de la victime il y a quelques mois. Les policiers grenoblois penchent pour une affaire de vengeance.
Un jeune de 19 ans en garde à vue à Grenoble
Il a été interpellé après la mort d'un sexagénaire, tué d'une balle dans la tête vendredi soir dans la capitale iséroise. Connu des services de police, il nie les faits mais devrait être déféré au parquet lundi matin. Selon la police, il pourrait s’agir d’une affaire de vengeances : le fils de la victime avait été visé par une tentative d'homicide en septembre dernier et en juin 2008, un homme avait été abattu dans le hall d'un immeuble de Grenoble.
Le suspect de l'agression de Grenoble devant le parquet
Ce jeune homme de 20 ans s’est rendu à la police mardi soir. Il est soupçonné d’être l’auteur des coups de couteau. Mais le scénario reste encore assez flou puisqu’il explique que la victime est tombée accidentellement sur son couteau lors de la bagarre.
Le principal suspect du lynchage à Grenoble s'est rendu
C’est une information du Dauphiné Libéré mercredi matin. Mais ce suspect nierait son implication malgré les témoignages et l’étude de la vidéo-surveillance.
Lyon - Grenoble : L'OL saisit le CNOSF
L’OL saisit le Comité National Olympique et Sportif Français après la confirmation de Ligue de fixer Lyon – Grenoble à samedi 17h.
Un couple de sans domicile fixe retrouvé mort dimanche à Grenoble
Le couple a été retrouvé par un promeneur dans une bâtisse en ruine au-dessus de la capitale iséroise. La femme serait semble-t-il décédée à la suite d'une chute du premier étage provoquée par l'effondrement du plancher. L'homme a lui été retrouvé dans son lit de fortune, sans doute mort de froid. Des autopsies seront effectuées lundi pour déterminer les causes exactes de ces deux décès.
Le schizophrène qui avait poignardé un étudiant à Grenoble déclaré irresponsable
Les faits remontent au 12 novembre 2008. Un homme, déjà auteur de plusieurs agressions à l'arme blanche pour lesquelles il avait été déclaré pénalement irresponsable, avait poignardé en pleine rue un étudiant de 26 ans, après s'être échappé d'un hôpital psychiatrique. Nicolas Sarkozy avait immédiatement annoncé une réforme de l'hospitalisation psychiatrique. Dans leur rapport remis aux juges d'instruction, trois experts lyonnais ont établi que la pathologie du meurtrier présumé, atteint d'une "schizophrénie paranoïde", "particulièrement réfractaire et résistante à de nombreux traitements", avait "aboli son discernement".
Le LOU freiné mais pas stoppé
Les rugbymen lyonnais ont fait match nul 9-9 samedi à Grenoble. Et il s'en est fallu de peu que les hommes de Raphaël Saint André ne l'emportent, ils peuvent donc nourrir quelques regrets bien qu'ils restent invaincus à l'extérieur. Il s'agit du quatrième résultat nul des lyonnais depuis le début de la saison mais Lionel Mallier, le 3e ligne du LOU, reconnaissait samedi qu'il y avait la place pour l'emporter. Ce 9-9 n'est pas catastrophique, les lyonnais gardent leur 2e place au classement après 12 journées de Pro D2.
Grenoble : une femme jugée pour avoir empoisonné son mari
Mardi, Marie-Rose Ginet, 67 ans, a comparu devant les assises de l’Isère pour avoir empoisonné son mari, Paul Ginet, 71 ans. Le 10 juillet 2005, elle avait donné une dose mortelle de somnifères à son époux, hémiplégique. Elle avait ensuite essayé de se suicider en prenant aussi des somnifères et en laissant ouvert le gaz dans leur maison de Saint-Michel-de-Saint-Geoirs. Sans succès. Pour sa défense, Marie-Rose Ginet a expliqué qu’elle voulait abréger les souffrances de son mari qui ne pouvait plus parler, ni respirer.
Grenoble : le schizophrène mis en examen
Le parquet de Grenoble a mis en examen, jeudi, pour "homicide volontaire" l’homme atteint de schizophrénie, Jean-Pierre Guillaud, qui a poignardé un étudiant le 12 novembre dernier, entraînant sa mort. Une expertise avait en effet conclu que son “état mental était compatible avec son audition et avec son éventuelle mise en examen". L'homme de 56 ans qui a avoué les faits a ensuite été placé en détention provisoire à l'hôpital psychiatrique de Saint-Egrève où toute sortie lui est désormais interdite. C'est en effet alors qu'il était hospitalisé dans cet établissement qu'il a échappé à la vigilance du personnel soignant pour aller tuer Luc Meunier. Il avait été interné en 2006 suite à une agression similaire, mais aussi en 1995. Deux délits pour lesquels il avait été déclaré pénalement irresponsable. Nicolas Sarkoy a immédiatement demandé des sanctions. Et notamment une enquête de l'inspection générale des affaires sociales. Ce qui a abouti à la suspension du directeur. Une mesure qui a déclenché une polémique puisque que les syndicats de psychiatres considèrent que ce fonctionnaire fait office de bouc-émissaire pour éviter d'évoquer le vrai problème : le manque de moyens des hôpitaux pour prendre en charge ce type de patients.
Football : Pierre Wantiez nommé président délégué du GF 38
Une semaine après s’être séparé de son président délégué Pierre Mazé, Grenoble a fait appel à Pierre Wantiez, jusqu’alors directeur administratif de Sochaux, pour le remplacer. Wantiez, 47 ans, prendra sa place à partir du 15 septembre.
Le corps d'un grenoblois retrouvé 4 ans après sa mort
Une brésilienne de 39 ans vient d’être mise en examen à Grenoble pour avoir assassiné son compagnon au cours de vacances au Brésil en 2004. Le corps de Sébastien Brun, un fleuriste grenoblois de 35 ans a en effet été découvert près de Salvador de Bahia après les aveux du frère de l’accusée, qui l’avait aidé à enfouir la victime. Le couple était parti au Brésil pour présenter leur nouveau-né à la famille de la jeune femme, mais elle était revenue seule à Grenoble, en prétextant que son compagnon avait préféré rester au Brésil. Déjà interpellée en 2006 et remise en liberté faute de preuve, cette mère de famille dément toujours les faits.
Un étudiant en médecine condamné pour antisémitisme
Un étudiant de 25 ans, en première année de médecine à la faculté de la Tronche en Isère, a été condamné par le tribunal correctionnel de Grenoble à 3 mois de prison avec sursis et 1 000 euros de dommages et intérêts pour avoir agressé un étudiant en pharmacie parce qu’il était juif. Il devra aussi verser 500 euros à la Licra, la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme, qui s’était portée partie civile. Poursuivi pour “violence volontaire motivée par l’appartenance à une race ou une religion”, le jeune homme a reconnu s’être laissé emporter par la colère après avoir tenté de discuter religion avec cet étudiant en pharmacie. Le ton est monté et l’agresseur a fait tomber son interlocuteur avant de lui mettre un coup de pied dans la tête, tout en l’insultant parce qu’il était juif.
Explosion d'une voiture à Grenoble
L'homme de 53 ans qui avait été placé mardi soir en garde à vue au commissariat de Grenoble suite à l’explosion d’une voiture dans une rue de St-Martin d’Hères en Isère, est passé aux aveux. Il a déclaré avoir déposé un engin explosif lundi soir sous la voiture suite à un différend d’ordre privé. L’homme devrait être déféré devant le parquet de Grenoble dans la journée. Cet attentat a fait un blessé grave, un homme de 63 ans qui attendait la conductrice du véhicule allée à la banque lorsque l’explosion s’est produite. Grièvement blessé aux membres inférieurs, la victime est actuellement hospitalisée au CHU de Grenoble où son pronostic vital est engagé.