La justice lyonnaise a tranché ce mardi. Deux militantes de Riposte alimentaire, un collectif écologiste, ont été reconnues coupables par la cour d’appel de Lyon pour avoir aspergé de soupe Le Printemps, un tableau de Claude Monet, au Musée des Beaux-Arts de Lyon en février 2024.
Les faits, initialement jugés comme des "dégradations volontaires de biens culturels", avaient été requalifiés en "dégradation de bien léger", une infraction moins grave. Les deux militantes ont ainsi écopé d’une amende de 300 euros, dont l'une avec sursis.
En première instance, elles avaient été relaxées, le tribunal estimant que la toile, protégée par une vitre, n'avait subi aucun dommage. Toutefois, le parquet avait fait appel, pointant les frais de restauration du cadre du tableau. Le montant initialement réclamé par le parquet était de 2000 euros au titre de la dégradation et 200 euros pour avoir refusé de se soumettre au prélèvement ADN dans le cadre de leur garde à vue. La cour d’appel a finalement relaxé les militantes sur ce dernier point.
Ces deux jeunes filles ont-elles seulement compris en quoi ce type d'action était politiquement erroné ? Pas la cause défendue (on ne peut plus mal défendue du coup), mais l'action elle-même ? Ou bien pensent-elles que les gens qui les critiquent sont tous d'horribles fascistes ? En tout cas, à la base de ces initiatives, il y a un sérieux manque de sensibilité au social, une absence de culture et de réflexion politiques.
Signaler RépondreC'est celui qui dit qui est
Signaler RépondreTiens, un écolo qui se sent visé ? Ces gamines qui s'attaquent a la culture pour faire passer leurs messages n'est en aucun cas une bonne réflexion. Donc, j'ai bien plus de matière grise que toi et t'es compères.
Signaler RépondreToi tu condamnes sans savoir pourquoi, c'est un manque sévère de matière grise.
Signaler RépondreUne peine de 300€?
Signaler RépondreTout ce tapage pour ça?
Mais quelle belle justice en France!
ça dois même pas payer les frais du procès et d'électricité!
Par contre toutes les 2, elles doivent pas avoir l'électricité a tout les étages!
Donc 300€ en tout pour ces deux filles de riches, ça va vraiment les dissuader de recommencer...
Signaler RépondreVa savoir, être écolo est synonyme de manque sévère de matière grise. Faut pas leurs demander d'avoir de la réflexion à leurs actions.
Signaler RépondreEt en prime une bonne paire de claque à chacune en plus des 300 euros dont le montant est ridicule. Et si le tableau n avait pas été protégé, je n ose même pas imaginé la punition....
Signaler RépondreC'est papa qui viendra régler pour fifille.
Signaler RépondreEn Grande-Bretagne, ceux ou celles qui ont fait ça ont pris 3 ans fermes.
Signaler RépondreUne bonne nouvelle. Bravo aux camarades.
Signaler RépondreElles n'ont pas été condamnées à des obligations de soins psychiatriques et c'est bien dommage.
Signaler RépondrePourquoi ont-elles fait ça ?
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