Sophie Gourmelen, en poste au Parisien depuis 2016, prendra ses fonctions le 1er septembre prochain.
Ancienne membre du Comex du groupe Les Echos, elle remplacera Philippe Carli. L'ex-directeur général de l'éditeur de presse quotidienne régionale (PQR) avait démissionné en janvier après la découverte de ses "likes" de publications liées à l'extrême-droite, notamment celles de Sarah Knafo (Reconquête!).
Sophie Gourmelen sera à la tête des neuf rédactions du groupe (Le Dauphiné libéré, Le Progrès, L’Est républicain, Les Dernières Nouvelles d’Alsace, etc.) et leurs 1400 journalistes. Le groupe Ebra fait face à Lyon comme ailleurs à d'importants remous en interne. Dernier en date : la démission du rédacteur en chef du Républicain Lorrain Sébastien Georges, accusé de "management brutal" par ses équipes.
Ah??!!! Poussé à la démission pour un "délit" d'opinion??!! Au pays des Droits de l'homme ??!! Ça existe, ça ??!! C'est drôle, ça me rappelle un certain univers, du temps où un mur nous séparait de ce genre d'horreur...
Signaler Répondreêtre liké par l'estrèèème droite, c'est l'horreur absolue !!! je comprends ce Monsieur.
Signaler RépondreLFI invite des islamistes dans l’hémicycle, like des propos antisémites, soutien des terroristes silence total de la presse soumise et collabo. Il y’a un réel problème avec les médias français, qui font de l’activisme sur le dos du contribuable. Ça devient trop trop gros, ça devient insupportable et surtout ça crée un climat de défiance et une rupture de confiance envers les journalistes.
Signaler RépondrePlutôt à l’extrême gauche comme la plupart de la presse locale !
Signaler RépondreEn effet, Le Progrès a viré à gauche toute, je vais me désabonner...
Signaler RépondreLe Progrès, journal de gauche ?
Signaler RépondreVous devriez arrêter la fumette et rester à l’alcool comme vos congénères, vous seriez plus lucide
tout a fait.
Signaler Répondre… on s’en fout
Signaler RépondreUne dictature de la pensée unique d'ultra-gauche.
Signaler RépondreOn a le droit d'être d'accord avec des gens qui ne pensent pas comme nous sur certains sujets. Donc Mr Carli s'est juste incliné face à une presse dominante de gauche et maintenant d'extrême gauche.
Il faudra sérieusement ouvrir d'autres écoles de journalisme car c'est actuellement des fabriques d'idéologues déconnectés. Moi qui étant jeune voulait faire ce type d'études je n'ose imaginer le mal être que j'aurais actuellement dans ses rédactions.
Je suis aussi pour la privatisation des médias publics car je vomis l'utilisation de mes impôts pour ses "bobos" mais j'étais déjà pour cette privatisation quand il y a 2 décennies on dénonçait les animateurs-producteurs millionnaires sur argent public.
Ce journal se réfugie toujours plus dans une posture et une vision idéologiques de la réalité qu'il prétend décrire (cette hystérie pour des like de son ancien dirigeant en est un symptôme), et en tout cas les gens ne peuvent même plus simplement commenter sous leurs articles, pour renvoyer un peu de la réalité de leurs vies, et pas les réalités que les journalistes de cette rédaction voudraient plaquer dessus...
Signaler RépondreElle pourra liker les posts de melanchion et autres LFI sans être inquiété, c'est beau la liberté en France de nos jours.....
Signaler RépondreMarre de tous ces plumitifs subventionnés qui ont des mentalités de fonctionnaires !
Signaler RépondreQuand il s'agit de parler des vrais sujets, comme par exemple, "qui sont vraiment les Macron ?", il n'y a plus personne !!
Heureux les simples d'esprits le royaume des vieux leur ait en principe ouvert.
Signaler RépondreJe vous conseille de lire rue89 car vous trouverez sûrement l'information qui vous convient, structurée, impartiale, non politisée.
C'est de l'humour ça ?
Signaler RépondreLa PQR est tenue par une idéologie de gauche très a gauche .....
Y'a qu'a voir les reportages du Parisien surtout .....
Demission pour avoir line un post d'un politicien, franchement on marche sur la tete, la soit disant liberté de la presse la bonne blague.
Signaler RépondreSi il avait liké Melenchon ou Faura on sait tous qu'il serait encore en place.
On en est au point où des gens doivent démissionner pour avoir liké et tout le monde trouve ça normal?
Signaler RépondreSon départ signe un immense respect de la liberté d'opinion dans la presse....
Signaler RépondrePeut-être n'avait ol pas sa carte de prêche....
En fait, dans ces journaux locaux, à la diffusion de plus en plus confidentielle et grassement subventionnés par nos impôts, c'est plutôt recommandé d'être de droite voire d'extrême droite. Il faut simplement le faire discrètement, sans se faire prendre. Mais ces pauvres droitardés, avec la lèche permanente du pouvoir en place à l'extrême droite, en perdent leurs repères.
Signaler RépondreEBRA groupe des médias le Progrès entre autres
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