Depuis plusieurs mois, coiffeurs et coiffeuses dénoncent des pratiques jugées illégales : ouvertures le dimanche, voire la nuit, tarifs cassés et non-respect du droit du travail. En juin dernier, ils avaient répondu à l’appel de leur syndicat, l’Union nationale des entreprises de coiffure (UNEC),sous le mot d'ordre : "Un même métier, des mêmes règles !". De nombreux coiffeurs avaient ainsi manifesté à Paris contre ce qu’ils qualifient de "concurrence déloyale" au sein même de leur profession.
Dans le viseur, certains "barbershops", ces salons de coiffure pour hommes qui se multiplient depuis 2023, année où la réglementation a été assouplie : il est désormais possible d’ouvrir un salon sans Brevet Professionnel, à condition de justifier d’un CAP coiffure et de trois années d’expérience en Europe. Des conditions perçues par une partie du secteur comme une porte ouverte aux dérives.
Quatre mois plus tard, la réponse institutionnelle se concrétise dans la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Selon le cabinet de la préfète de région, Fabienne Buccio, "la DREETS (Direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités) et les URSSAF d’Auvergne et Rhône-Alpes, aux côtés de l’Union Nationale des entreprises de Coiffure (UNEC), s’unissent pour lutter contre le travail illégal dans le secteur de la coiffure, en conformité avec les orientations fixées par le plan national de lutte contre le travail illégal."
La convention, signée le 17 octobre, vise à "mener des actions partenariales d’information et de sensibilisation." Elle s’applique à un secteur régional représentant "13 156 établissements qui emploient au total 11 977 salariés", dont "27,6 % sont des microentreprises," précise la préfecture.
Les services de l’État rappellent que "le travail illégal porte atteinte à l’ensemble de la collectivité, provoquant d’importantes pertes de recettes fiscales et sociales" et "fausse également la concurrence au détriment des entreprises respectueuses de la réglementation."
Les autorités soulignent enfin que les services de contrôle "s’engagent à étudier avec attention chacun des signalements qui leur sera communiqué, tout en continuant leurs contrôles spontanés."
L’objectif est clair : "protéger tant les acteurs de la profession du secteur de la coiffure, employeurs et salariés, que notre modèle social", conclut la préfecture.
Seulement avec les billets de 50 € !
Signaler RépondreEt le Louvre Ducon
Signaler Répondreblanchiment d'argent ni plus ni moins.
Signaler Répondreet même les banques parfois.
Signaler Répondreautant commander des tee shirt chez temu ou shein a 2 E fabriqués au Bangladesh par des femmes et des gamins de 15 ans qui bossent 60h par semaine pour 100 $ par mois ...
Signaler RépondreEntre celui qui propose un tarif à 20€ coupe + barbe et celui qui est à 45-50€ et qui ne sait pas mieux coiffer, faudrait peut-être commencer par là.
Signaler RépondreLes coiffeurs "traditionnels" ne se sont jamais adaptés ils n'ont rien changé depuis plus de 20-30 ans je le vois car dans mon quartier certaines enseignes était déjà là quand j'étais en primaire et c'est toujours la même devanture, toujours la même coiffeuse, toujours la même façon de coiffer ...
En plus de ça ils se plaignent des plages horaires mais pardon, ce pays est un pays de fainéant c'est déjà inconcevable que tout soit fermé un dimanche et à partir de 19h en semaine c'est rideau aussi donc celui qui veut coiffer la nuit qu'il le fasse.
Après le "black", le blanchiment d'argent c'est un autre sujet bien sûr mais dans les faits, c'est aux coiffeurs "traditionnels" d'adapter son offre à la demande point barre.
On est d'accord que la France se "tiermondise" c'est acté par tous.
Signaler RépondreDonc il faut accepter les "codes" d'autres sociétés d'ailleurs. Et parmi ses "codes" il y a par exemple l'absence de "règles légales" donc énormément de "dérives" qu'on voit apparaitre de nos jours en France ne sont pas surprenante (on a l'anarchie tant voulue par certains). L'Etat étant faible il laisse faire.
Vous aurez aussi ce qui gangrène les pays d'origine à savoir la corruption (elle est en partie déjà là sans le dire clairement)... des politiques, des syndicats, des médias etc etc.
"Régression sociétale" accélérée... faut dire un "grand bravo" aux génies au pouvoir depuis 50 ans car c'est une évolution qui même sans être omnipotent se comprend assez rapidement.
Autant la coupe a 9€ est clairement faite au black (sans jeu de mot raciste), autant la coupe à 30€ est totalement abusive et ne sert qu'à enrichir le gars qui vend la licence Jean-Louis David (le nom, les produits, le décor, le site internet etc) au pauvre franchisé.
Signaler RépondreJe suis un cadre et je paye plus en 30 min chez un coiffeur à 30€ que ce que je coûte à mon employeur en 1h. Avec tout le respect que j'ai pour les CAP coiffure, ça me gène.
Enfin l'auto-entrepreneur ou le régime micro qui travaille seul peut faire payer 12 ou 15€ sans frauder. Il a moins de charges, pas d'employé, pas de licence à la con à payer, une fiscalité souvent réduite. Il ne faut pas voir le mal partout.
Et pour les arguments blanchiment, c'est un autre sujet. Par ailleurs il y a clairement trop de kebab et de barber pour le blanchiment. Il y a aussi de vrai commerces. C'est justement parce qu'il faut peu investissement et de formation qu'il y en a tant.
Il n'y a pas que les cheveux qui blanchissent.
Signaler RépondreSalon de coiffure, ongleries, laveries... Beaucoup de commerces pour tout nettoyer !
T'as vérifié avant d'écrire ça ? L'Europe est la partie du monde avec les forfaits téléphone les moins chers (en dehors du Japon) et en Europe, la France est parmi les moins chères.
Signaler RépondrePS : à l'attention des 2-neurones, j'ai bien écrit "parmi les moins chères", PAS "la moins chère".
Oui enfin cet été dans le sud de la France les restaurants de bord de mer avaient bizarrement tous la machine à cb cassée.
Signaler RépondreOù est le problème à ouvrir la nuit si ça rend service au client ? En quoi c’est interdit de baisser ses tarifs ? Pourquoi est-ce qu’il faudrait un diplôme obligatoire pour couper les cheveux ? Les coiffeurs traditionnels sont malhonnêtes et se plaignent d’une concurrence juste !
Signaler RépondreTout est dit.....vite l’armée
Signaler RépondreComme les kebabs a 90%. Blanchiment de l argent du shit et de la coke. Et ça permet d affilier les dealers a la sécu.
Signaler RépondreLa république faiblissime laisse faire, ça l arrange...
Les horaires décalées tu connais le bobo gauch iasse urbain auto centré ?
Signaler RépondreOu alors les coiffeurs classiques sont tabassés par les charges et quand on propose une coupe à 12€ on ne déclare pas tout...
Signaler RépondreEt le consommateur peut-être qu'il préfère payez sa coupé 12, 13, 14 euros et pas 30 euros, ou quil préfère se coupé les cheveux le dimanche ou le soir après 21h car il travaille le reste du temps. C'est au coiffeur arnaqueur a 30 euro de s'adapter et pas l'inverse.
Signaler RépondreEt cacahuètisation 😄
Signaler RépondreC'est comme toi tu prends du papier cul pour d'essuyer le derrière
Signaler Répondreoui on veut des femmes chez les barber Shop 🤣🤣🤣
Signaler RépondreTiers mondisation, cartelisation....
Signaler Répondreavec un marché de 20 millions de personnes qui se coupe les cheveux en France on vient de ne parle d’une concurrence déloyale par contre les opérateurs téléphoniques qui arnaquent les consommateurs avec des prix de fou sans concurrence personne ne bouge les doigts MEDIAS et politiques
Signaler RépondreLa limite hebdomadaire normale en « période haute » ne pourra dépasser 42 heures de travail effectif dans la limite de 12 semaines. Toutefois, cette durée hebdomadaire de 42 heures pourra être portée à 44 heures dans la limite de 4 semaines dans l'année.
Signaler RépondreArticle 8.2.4 - Convention collective nationale de la coiffure et ...
On devrait baisser ton RSA aussi !
Signaler RépondreNe touchons pas ! Au business de la Guilliotiere !!!!
Signaler RépondreMon coiffeur ne prend que les espèces... Bizarre
Signaler RépondreC’est un maçon !!!
Signaler RépondreCette injonction vient de quelqu’un de gôôche lol
Signaler Répondre"c'est trop difficile de couper les cheveux à une personne de couleur"
Signaler RépondreVous avez vu ça où ?
Les coiffeurs n'ont qu'à baisser leur prix et surtout d'apprendre à vraiment couper les cheveux de tous le monde parce que apparemment c'est trop difficile de couper les cheveux à une personne de couleur
Signaler RépondreEt que la masse du phénomène n'est pas un hasard, comme il peut simplement y avoir des coiffeurs hommes par ailleurs...
Signaler RépondreC'est tellement ça ! Le mien prend 12 euros, je lui laisse 15, il te fait en plus les oreilles et les sourcils et te paye le café ! Et c'est une coupe au ciseaux, pas que de la tondeuse. Jamais je ne retournerai ailleurs !
Signaler RépondreSi je comprends bien, tu ne travailles pas. Tu comptes les clients du coiffeur, va bosser, feignasse !
Signaler RépondrePas grave sa fait joué la concurrence le gagnant c'est le client et quoi qu'il arrive les cheveux repousses
Signaler Répondreaucun rapport.
Signaler RépondreJe ne coiffe QUE les chauves et j’ai jamais de soucis 😂.,
Signaler RépondreComme dans beaucoup de domaines c'est devenu le vrai bordel !
Signaler RépondreCelui en bas de chez moi , 1200 euros de loyer pour le local ,ça tourne avec 2 clients par jour ^^ Mais comment font ils ?!
Signaler RépondreBaissez vos prix,au lieu de dire que c’est des lieux de blanchiment !!! Ils bosssent 15h par jour,eux !!
Signaler RépondreOuvert le dimanche c’est pratique. On te demande pas un e-mail et un tel pour prendre un RDV. Pour une coupe homme de 15 minutes le travail est beaucoup mieux fait chez le barber. Café offert pas uniquement aux copains du patron.
Signaler RépondreVous voulez les voir dealers…alors qu’ils bossent dur et paye leurs impôts et taxes !!
Signaler RépondreOn dirait C’est moi ,un cocu comme les autres mais qui l’ignore car se croyant au dessus du lot
Signaler RépondreCela s'est vérifie, notamment chez des "Barber shoop"....
Signaler Répondrehttps://www.lyonmag.com/article/145059/resine-cocaine-et-balance-saisie-inquietante-chez-un-coiffeur-de-villefranche-sur-saone
Certains avaient des clients chauves...
Les mêmes qui réclament moins de règles, moins de contrôles et de réglementations tatillons, expriment avec conviction qu'il faut libérer les énergies, arrêter d'emm*** ceux qui bossent se plaignent maintenant que des gens ouvrent les dimanches et n'ont pas les diplômes qui ne sont plus obligatoires. Trop drôle de voir tous ces "Nicolas qui paient" bien cocus !
Signaler RépondreDe là à penser qu'une partie de ces salons servent à blanchir de l'argent...
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