"Il faut que chacun soit à la hauteur, les chicaillats ne doivent pas nous faire reculer" a tempéré Jean-Jack Queyranne, qui a souligné la rudesse de la mission attendant l'union de la gauche et des verts au conseil régional, et laisse entendre qu'il demeure quelques dissonances. "On est obligé de réussir ensemble, les rhônalpins ne nous le pardonneraient pas" s'est même inquiété le leader de la liste d'union. Peu de joie donc du côté des vainqueurs mais un certain sens de la responsabilité. Les premiers mots de Jean-Jack Queyranne sont très mesurés.