Le tribunal a dénoncé des "irrégularités" et a invité le géant lyonnais de l'industrie pharmaceutique à revoir sa copie. Tout le plan de restructuration doit donc être revu, mais le départ volontaire de 900 personnes d'ici à 2014 (sur plus de 3800 salariés en France) ne devrait pas être remis en cause. Cette restructuration fait suite à une décision des dirigeants d'orienter la branche chimie vers les biotechnologies. Ainsi, en 2014, le site de Neuville-sur-Saône (700 salariés) devra arrêter la chimie pour se consacrer à la production de vaccins.