La juridiction lyonnaise l’aura donc pas retenu les argument d’Agnès Dahan-Lévy. Sur l’ensemble de la somme faramineuse réclamée par l’agent immobilier, le tribunal de commerce n’a donné raison qu’à Dahan-Lévy sur le dossier Crillon. L’immeuble confié, dans un premier temps à l’agent, lui avait été retiré pour être vendu aux enchères. Ne trouvant pas preneur, le bien était alors confié à nouveau à l’intermédiaire, mais à moindre valeur. Un préjudice estimé à 750 000 €, que la SACVL se voit condamnée à verser à cette dernière. Jointe jeudi soir par le Progrès, Agnès Dahan-Lévy confiait vouloir « évidemment faire appel. » De son côté, Michel Le Faou ne cachait pas sa satisfaction. « Mme Dahan-Lévy ne pourra pas crier victoire » a déclaré le président de la SACVL.