« Cette politique aboutit inéluctablement à une standardisation de l’offre commerciale, en permettant aux grandes enseignes nationales d’évincer les commerces indépendants et de proximité », s’insurge Geourjon, qui regrette de voir « malheureusement trop régulièrement, des boutiques baisser définitivement leur rideau et être remplacées par des agences bancaires, des assurances ou des commerces standardisés que l’on retrouve n’importe où ailleurs. » Ce processus de désertification du centre-ville au profit des grands pôles commerciaux extériorisés est symptomatique d’un projet : celui de l’OL Land. « Ce sont en effet 40 000m2 d’espace commercial qui sont prévus dès l’ouverture. Ceci équivaut à la surface d’environ 400 commerces de centre ville ! Sans aucun doute, J. M. Aulas accroîtra rapidement cette surface, pour améliorer la rentabilité de son investissement (..) Ce projet ne sert tout simplement pas l’intérêt général », termine Geourjon.
Geourjon le ralliement au plus offrant
Signaler Répondrec'est toujours émouvant de recouvrer la vue quand on a été atteint de cécité
Signaler Répondreil était temps. Pendant les municipales de 2008, il semblait ne pas avoir d'avis sur le sujet, comme Mercier. Aujourd'hui, tou estbon pour se démarquer de Collomb. Porca miseria
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