L'élu lyonnais est notamment revenu sur la réforme des rythmes scolaires, dont la grande consultation a débouché sur deux scénarii présentés mardi dernier par la Ville de Lyon. "On s'était déjà largement exprimés sur la réforme. Globalement on était contre ce principe et sa mise en place à Lyon, où, en pratique, on augmentait le nombre d'heures de présence des enfants à l'école. On augmentait leur fatigue sans vraiment apporter une valeur ajoutée éducative. Depuis, il y a une concertation qui a été lancée à l'initiative du groupe UDI et de Denis Broliquier. (…) Il y aura un vote qui sera tranché dans les conseils d'école. Je pense que c'est une bonne chose qu'ils puissent s'exprimer de manière démocratique et transparente", a expliqué Christophe Geourjon.
Par ailleurs, sur le système éducatif lui-même, l'élu centriste "croi[t] que pour l'éducation, on a besoin d'une continuité trans-partisane. C’est-à-dire que, aujourd'hui les enfants qui entrent à l'école vont subir trois ou quatre ministres et à chaque fois on a une réforme. (…) Il ne faut pas que les enfants aient des programmes et des méthodes d'enseignement qui varient au gré du ministre. Il faut aussi remettre le paquet sur le primaire. Tout le monde est d'accord sur ce point-là, c'est un vrai enjeu. C'est à ce moment-là qu'on rentre dans l'envie d'apprendre et de progresser, et également que l'on acquiert les fondamentaux. Et ça n'a pas forcément était fait dans les années précédentes", a assuré Christophe Geourjon. Et d'ajouter qu'"il faut donner plus de libertés aux enseignants et aux directeurs d'établissement".
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1/ S'exprimer en français courant.
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