« En aucune façon, je n’accepterai que mes éléphantes, que j’ai confié en bonne santé à la ville de Lyon, soit euthanasiées », tempête Gilbert Edelstein. Le PDG de Pinder continue, catégorique : « il est du devoir de la ville de Lyon de me les rendre en bonne santé. » D’autant que, selon ce dernier, l’extrême précaution de la municipalité n’est pas une nécessité. Il rappelle ainsi que « les tests sur la tuberculose ne sont pas obligatoires (...) et peu fiables », assurant également que « ces germes (de la tuberculose), peu violents, sont sans aucun risque pour les populations. » Gilbert Edelstein souhaite donc, « par humanité », récupérer ses deux éléphantes, mais « lorsqu’elles seront soignées. » Dénonçant dans l’objet de sa missive la convention de mise en pension des deux animaux au parc de la Tête d’Or, le PDG de Pinder regrette le peu de reconnaissance de la ville de Lyon « envers des animaux qui ont fait depuis plus d’une décade (...) la joie des Lyonnaises, Lyonnais et de leurs enfants. »
Dans le grand cirque (Pinder ou pas), de la politique, il semble bien que les éléphants(e)s, du PS en particulier, soient malades... On les savait déjà sérieusement atteints par un virus électoral féroce. Mais le même grand cirque (PS ou pas) se refuse à toute responsabilité, comme d'habitude ! L'autre est toujours responsable ! Conclusion : soignez-vous les uns et les autres !
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