Une assistante maternelle condamnée à 15 ans de prison
La cour d'Assises du Rhône a condamné mercredi après-midi une assistante maternelle à 15 ans de réclusion criminelle.
13 à 15 ans de réclusion requis à l’encontre de l’assistante maternelle
Cette femme de 39 ans est jugée depuis lundi devant les assises du Rhône après la mort d’un nourrisson de 3 mois dont elle avait la garde en janvier 2008. Déjà suivie psychologiquement avant les faits, elle est soupçonnée d’avoir jeté le petit Yannis au sol, ce qui aurait entrainé son décès. Les experts ont conclu devant la cour, que son discernement n’était pas altéré le jour du drame. Le verdict est attendu mercredi en fin après-midi.
Dernier jour du procès de l’assistante maternelle devant les Assises du Rhône
Elle est jugée depuis le début de la semaine après la mort d’un nourrisson de 3 mois dont elle avait la garde. Elle est soupçonnée de l'avoir jeté au sol un jour de janvier 2008. Mardi, c’est le dossier professionnel de cette assistante maternelle qui a été étudié devant la Cour. Un an avant le drame, elle avait frôlé le retrait de son agrément car des parents s’étaient plaints de son comportement envers les enfants. A la suite d’un suivi psychologique, elle avait pu conserver l’agrément et n’avait été que sanctionnée d’un avertissement de la part de la Protection Maternelle infantile. Les experts ont conclu que le discernement d’Isabelle Morizot n’était pas altéré au moment de violenter le petit Yannis. Le verdict est attendu mercredi dans la soirée.
Lourdes réquisitions après la découverte de près de 600 kilos de cannabis dans une fourgonnette
La prise avait été réalisée par la brigade des stupéfiants de Lyon en septembre 2007 près de Montpellier. Trois hommes comparaissaient mardi devant le tribunal correctionnel. De 18 mois à 8 ans de prison ont été requis à leur encontre. Le jugement est attendu vendredi.
Vénissieux fait appel de l’annulation du permis de construire de la mosquée
Ce permis avait été délivré en 2006 mais annulé récemment par le tribunal administratif de Lyon.
Une assistante maternelle jugée devant les Assises du Rhône
Son procès s’ouvre lundi. Cette Lyonnaise de 39 ans est poursuivie pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Le 19 janvier 2008, excédée par les cris du petit Yannis dont elle a la charge, elle le secoue violement avant de le jeter au sol. La tête du petit garçon heurte une porte d’armoire. L'assistante maternelle n’a pas prévenu les secours et n’a rien dit à la mère de l’enfant quand elle est venue le récupérer. Celle-ci a alerté le Samu inquiète du comportement de l’enfant. Yannis est décédé quatre jours plus tard. Le verdict est attendu mercredi.
Dix ans de prison ferme pour la mère infanticide
Verdict rendu par la cour d’assises du Rhône à l’encontre de cette femme de 38 ans jugée pour le meurtre de son fils et tentative de meurtre sur ses deux filles.
Les réquisitions au procès de la mère infanticide
De 15 à 18 ans de prison ont été requis à l’encontre de cette mère de famille de 38 ans. Elle est jugée depuis lundi devant les assises du Rhône pour avoir tué son fils de 2 ans et tenté de tuer ses deux filles, en juin 2007 à Givors. Elle avait ensuite tenté de se suicider. Elle explique son geste par un désespoir amoureux. Le verdict est attendu mercredi soir.
Des salariés lyonnais de Téléperformance portent plainte contre leur direction
Ces salariés du centre d'appel de Lyon se sont vus contraints de se soumettre à une fouille par des membres de la direction. Les faits remontent à jeudi. Deux membres de la direction ont décidé de fouiller les salariés pour retrouver une clef de connexion, nécessaire au bon fonctionnement du centre d’appel. Les sept salariés qui n’ont pas accepté cette fouille ont été retenus pendant une heure dans les locaux de l’entreprise, nécessitant l’intervention de la police. Trois d’entre eux ont porté plainte pour séquestration. D'autres salariés, qui se sont soumis à la fouille, préparent quant à eux une action devant les prud'hommes pour atteinte aux droits individuels.
Gaëlle voulait trouver une solution à ses problèmes de couple
C’est ce que cette mère de famille de 38 ans a déclaré lundi lors de l’ouverture de son procès devant les assises du Rhône. Elle est accusée d'avoir tué son fils de deux ans et tenté de tuer ses deux filles en juin 2007 à Givors, avant de se défenestrer. Elle explique avoir agi par désespoir amoureux et afin de "partir tous ensemble pour ne plus avoir de problèmes". Le discernement de Gaëlle "n'était pas aboli, bien que fortement altéré au moment des faits", ont conclu les experts. L'accusée encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Le verdict est attendu mercredi.
Les médecins relaxés pour fautes non caractérisées après l’affaire de l’appendicite mortelle
Le jugement a été rendu lundi par le tribunal correctionnel de Lyon. Trois médecins étaient poursuivis pour homicide involontaire après le décès, en avril 2001, d’un enfant de 13 ans. Nizar avait été renvoyé chez lui alors que son médecin traitant avait demandé son hospitalisation. Le personnel de Lyon-Sud avait diagnostiqué une gastro-entérite. Hospitalisé de nouveau à Debrousse pour des douleurs persistantes, le même diagnostic était prononcé avant que des examens complémentaires ne révèlent une appendicite. Opéré en urgence, le garçon avait succombé à une péritonite. Les parents et le parquet, qui avait requis prison avec sursis et amendes, vont faire appel.
Un ex-agent des TCL condamné à verser 10 000 euros à Keolis
Jugement rendu lundi par le tribunal correctionnel de Lyon à l’encontre de cet ancien conducteur de tram de 45 ans. Le 15 juin dernier, il avait bloqué durant une matinée la circulation des T1, T2 et T4 en s’asseyant sur les voies à la sortie du dépôt de Saint-Priest. Lors de l’audience le mois dernier, l’homme avait avancé des conditions de travail pénibles, le non-paiement d’une prime pour fait de grève et des soucis familiaux. Outre les dommages et intérêts à verser à Keolis, gestionnaire du réseau TCL, l’ex-salarié a été condamné à 15 jours de prison avec sursis.
Une mère jugée pour infanticide
Le procès s’ouvre lundi devant les Assises du Rhône. Une aide-soignante de 38 ans comparaît pour le meurtre de son fils de 2 ans en juin 2007 à Givors. Elle est également accusée de "tentative d’homicide volontaire" sur ses deux filles de 9 et 13 ans. Des actes apparemment provoqués par une dépression. La mère a reconnu les faits lors de l’enquête. Le verdict est attendu mercredi.
Une évasion qui coûte cher
La Justice a condamné Julien Lorini à 18 mois de prison pour s'être évadé. En juin 2006 Julien Lorini, alors incarcéré en Saône et Loire, s’était évadé du cimetière de Guillotière où il assistait, escorté par des gendarmes, aux obsèques de son beau-père. Il avait bénéficié de l’aide du conducteur d’un scooter dont l’identité n’a pas été déterminée, avant d’être arrêté puis extradé depuis l’Algérie. Le tribunal correctionnel de Lyon l’a donc condamné samedi à 18 mois d’emprisonnement.
Une reconstitution macabre vendredi à Lyon
Celle du meurtre de Youssef Ameur, retrouvé assassiné par balle début novembre dans un parking souterrain du 8e arrondissement de Lyon. Cela s’est fait en présence de l’une des 2 personnes mises en examen dans cette affaire. Youssef Ameur a été tué d’une balle dans la tête. La reconstitution s’est tenue en présence de la juge d’instruction en charge de l’affaire.
L'affaire Musulin fait des petits en Savoie
Les deux affaires sont-elles liées ? Une adolescente de 18 ans prenommée Samantha, dont le convoyeur de fonds lyonnais nie être le père, a été agressée mardi matin dans une commune de Savoie. Selon ses dires, elle aurait été ceinturée et frappée par un homme qui lui aurait déclaré qu’il en voulait à l’argent de son père, Toni Musulin. Qu'en est-il de cette prétendue paternité, et surtout Toni Musulin est-il passé par la Savoie lors de sa fuite ? Les réponses de l'avocat de samantha pour Lyon Mag, Maître Lalliard.
Me Bambanaste : "Toni Musulin s'est expliqué"
Toni Musulin est sorti de son mutisme, ce que nous confirme son avocat, Me Bambanaste. Le convoyeur-voleur ne saurait pas où sont les 2,5 millions d'euros manquants. L'avocat confirme par ailleurs que Toni Musulin aurait agit en direction de la Loomis, pour dénoncer ses conditions de travail.
Nouvel élément après le casse présumé de Toni Musulin
Selon Le Progrès, une adolescente de 18 ans, dont le convoyeur de fonds lyonnais nie être le père, a été agressée mardi matin dans une commune de Savoie.
12 mois de prison dont 8 ferme pour avoir poignardé un ami
Un Givordin de 35 ans a été condamné mercredi par le tribunal correctionnel de Lyon lors de sa comparution immédiate, puis écroué. Mardi, pour des raisons qu’il n’explique pas, il a porté des coups de couteau au front, au coude et au thorax d’un ami âgé de 38 ans chez qui il venait de passer la soirée. La victime s’est vue prescrire 5 jours d’ITT. Le prévenu avait déjà été condamné en 1997 à 14 ans de réclusion pour "violence volontaire ayant entraîné la mort sans intention de la donner" par la cour d’assises du Rhône. Outre une condamnation à 12 mois de prison dont huit ferme, une mise à l’épreuve de deux ans avec obligation de soins a été prononcée.
L’affaire qui oppose un restaurateur aux rédacteurs du Petit Paumé de nouveau reportée
Mardi, la plainte a été jugée recevable par le tribunal correctionnel de Lyon mais ce n’est que le 2 février que l’on connaîtra la date choisie pour l’audience.






