Pour les élections métropolitaines, Gérard Collomb reste en tête des intentions de vote, comme il l'a toujours été dans tous les sondages réalisés. Avec 23%, contre 27% dans le sondage OpinionWay pour LyonMag fin janvier, il voit toutefois son avance sur Bruno Bernard, le candidat EELV, se rétrécir. Ce dernier est à 20%, talonné par les 18% de David Kimelfeld, président sortant de la Métropole.
François-Noël Buffet, candidat LR à la campagne chaotique, n'obtient que 14% d'intentions de vote, juste devant Andrea Kotarac (RN) et ses 12%.
Comme dans le sondage de LyonMag, Renaud Payre (Gauche Unie) est à 9%, tandis qu'Olivier Minoux pour Lutte Ouvrière obtient 2,5%.
A la Ville de Lyon, c'est Yann Cucherat (LREM) qui arriverait en tête avec 22% des voix annoncées. Grosse remontée du candidat choisi par Gérard Collomb par rapport à ses 15% dans LyonMag il y a deux semaines. Pour la première fois, Grégory Doucet l'écologiste chute de son trône et obtient 19% d'intentions de vote. Quant à Etienne Blanc (LR), il est à 18%. L'institut BVA a testé un éventuel second tour entre les trois candidats. Et c'est bien Grégory Doucet qui l'emporterait (36%), suivi par Yann Cucherat et Etienne Blanc (32%).
Suivent pour le premier tour Nathalie Perrin-Gilbert (LFI) avec 9%, Agnès Marion (RN) avec 9%, Georges Képénékian (dissident LREM) avec 8%, Sandrine Runel (PS) avec 7%, une autre liste (4%), Denis Broliquier (Centre) avec 3% et Eric Lafond (100% Citoyens) avec 1%.
On notera le choix étonnant de tester Georges Képénékian comme dissident et pas David Kimelfeld. Mais aussi de confier la seule étiquette PS à Sandrine Runel alors qu'elle a le droit de se revendiquer, comme Renaud Payre, de la Gauche Unie. Enfin, Denis Broliquier et Eric Lafond ont, depuis, fusionné leurs listes.
Étude métropolitaines réalisée par BVA auprès d'un échantillon interrogé par téléphone du 20 au 25 janvier 2020. Échantillon de 1008 personnes inscrites sur les listes électorales, issues d'un échantillon, représentatif de 1563 habitants de la Métropole de Lyon âgés de 18 ans et plus. La représentativité de l'échantillon a été assurée par la méthode des quotas.
Étude municipale réalisée par BVA auprès d'un échantillon interrogé par téléphone du 27 janvier au 3 février 2020. Échantillon de 800 personnes inscrites sur les listes électorales, issues d'un échantillon, représentatif de 1121 habitants de la ville de Lyon âgés de 18 ans et plus. La représentativité de l'échantillon a été assurée par la méthode des quotas.
Nous wouhaitons tous que la verite soit dites. une commission de controle a mis en evidence une fraude averee liee a l'embauche d'une dame liee au maire actuel pendant 10 ans sans qu'elle ne fasse rien. Ma question est simple: Allez vous rendre l'argent ?
Signaler RépondreLuigi, désolé / Lyon n'est pas un ville jacobine. D'ailleurs en 1793, la terreur révolutionnaire a fait 3000 victimes et détruit les immeubles place Bellecour ! Relisez votre histoire.
Signaler RépondreAprès le cocus de la Hollandise, viendront ceux de la Macronie
Signaler RépondreOn est d'accord !
Signaler RépondreLuigi
Signaler RépondreNormal des l instant ou on a l argent plein les pooches eet lyon étant une ville jacobine ceci explique cela
Eh oui ne vous en déplaise il y en a encore...et pas mal d'ailleurs...
Signaler Répondreil y a encore des gens pour voter la REM ? C'est vrai que Lyon est l'épicentre de cette peste.
Signaler RépondreLe Centre est l'ADN politique et historique de Lyon. Il n'a pas su ou eu l'intelligence de se regrouper en faisant taire l' ego de leurs leaders politiquement fragiles.
Signaler RépondreAujourd'hui, et dans ces conditions, sur la scène lyonnaise, presque tous les partis ont ajouté "le Centre" comme un plus à leurs propres arguments.
- Collomb revendique traditionnellement le Centre gauche mais aussi le Centre droit par le biais de l'UDI
-Kimelfeld.et Képénékian..idem, en tant que cousin germain de la ligne Collomb
- Blanc se réclame de la droite et du centre ( centre droit)
- Doucet prétend rassembler également les centristes écolo
- Broliquier (parti " Les Centristes") est un peu le dindon de la Farce, mais il l'a bien cherché, en ne suivant pas les conseils qui lui étaient prodigués par des amis analystes centristes qu'il a reniés.Ce n'est pas son alliance avec l'utopiste Lafond qui changera l'ordre des choses.
Comme l'élection se fera en grande partie au Centre, on a l'impression d'être dans le fameux " dîner de cons".