A Lyon, Michaël Jouteux se bat pour que les logements vacants soient réquisitionnés. Cette disposition est prévue dans la loi depuis 1949. Or, il y a 53 000 logements vacants selon l'Insee, et 14 000 personnes sans-abri dans le Rhône. Le militant rappelle que "prendre un arrêté de réquisition, c'est encadré avec une durée déterminée et des conditions précises. Il ne s'agit pas de voler, il y a une indemnisation".
Cela permettrait de dire que "le droit d'une personne d'avoir un toit au-dessus de la tête prime sur celui de disposer d'un logement vide".
Ce levier est aujourd'hui actionnable par les préfectures, mais aussi les mairies. Or, Michaël Jouteux regrette qu'à Lyon, Villeurbanne ou la Métropole, les politiques exercées en matière d'hébergement d'urgence "peuvent apparaître contradictoires et pas à la hauteur".
"Que les maires renoncent à ce droit de réquisition, c'est un grave problème", poursuit-il.
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00:00 Réquisition des logements vacants
05:48 Position de la Ville de Lyon
07:25 Parlementaires
10:11 Relations avec la mairie de Lyon
12:23 Collectifs créés à Lyon
moi j en ai encore
Signaler Répondrebin non:y a plus de pognon
Signaler Répondreen friches...la tete aussi
Signaler RépondreL’Insee n’a aucune connaissance des propriétaire de logements vacants.
Signaler RépondreCe sont des statistiques. Ceux qui peuvent identifier sont les services fiscaux. Les données LOVAC en zone tendues sont loin d’être fiables. Il y a des logements vacants et des résidences secondaires, non occupées. Les leviers sont loin d’être simple à activer.
des barbus hirsutes au menton façon thomas dossus
Signaler Répondresur sa tete
Signaler RépondreAvoir un toit ne doit pas être un droit, c"est soit le résultat d'un travail personnel, soit le cadeau d'une société de partage .
Signaler RépondreEntièrement d accord mais que les bénéficiaires aient des obligations
Signaler RépondreC est toujours les mêmes
Le droit de propriété c'est un problème pour ce type...? Les staliniens n'ont pas disparus...
Signaler Répondrec'est pas deux conneries en même temps, mais elles se suivent de près
Signaler RépondreMais si c'est ça la France!
Signaler RépondreLes clandestins qui arrivent ont déjà plus de droits que les français qui bossent, cotisent et paient des impôts!
Propos clair, dictatorial, expropriateur et immigrationniste !
Signaler RépondrePropos clair, précis, argumenté, humaniste.
Signaler RépondreS'il veut instaurer le collectivisme, qu'il aille le vivre en Corée du nord!
Signaler RépondreOn ne va pas réquisitionner un logement vide qu’un propriétaire a financé grâce à son travail pour le donner à des migrants illégaux…/
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Signaler Répondrevivement le grand soir
Signaler Répondrecrise du logements , suite entre autres aux destructions d 'immeuble ..;
Signaler RépondreLa possibilité de réquisitionner des logements vacants naît le 11 octobre 1945 et non 1949. Un an après la parution de l'ordonnance, le 31 décembre 1946 (la majorité des réquisitions ont
Signaler Répondreprincipalement été exécutées entre 46 et 48).
L’ordonnance de 1945 prévoit deux régimes possibles de réquisition pour les pouvoirs publics. Le premier stipule que tout maire (sauf celui de Paris, qui était à l’époque administrée par un préfet) a le droit de prononcer la réquisition de locaux vacants nécessaires au logement de familles sans abri, " en cas d'urgence et à titre exceptionnel lorsque le défaut de logement de la famille dont il s'agit est de nature à apporter un trouble grave à l'ordre public".
Sont concernés tout d’abord les locaux d’habitation, puis à partir de 1956 ceux à caractère commercial ou professionnel.
La réquisition, c'est une loi qui oblige les propriétaires de logements vides à les mettre temporairement à disposition pour des personnes qui en ont besoin (personnes sans logis, mal-logées, en difficulté financière) tout en étant indemnisés. On ne confisque pas le logement à son propriétaire (expropriation), ni son titre de propriété, on ne lui achète pas non plus :
l'usage d'un logement c'est de loger des gens, et c'est à ça qu'on contraint le propriétaire temporairement et en le dédommageant.
Loi depuis quand ? 1949 ? Au sortir de la guerre ? Ne serait ce pas une loi de spoliation de biens vacants suite aux déportations ?
Signaler Répondreles réquisitions ont toujours existé.
Signaler RépondreCela été les biens ecclésiastiques , que les bourgeois enrichis par leur commerce , ont racheté au détriments des paysans pauvres qui n 'avaient que leur bras ...
Ensuite ce sont les terres de la mafia des nobles émigrés , enrichis de leur rapines et du travail à nouveau des paysans , ce coup pour les citoyens pauvres des communes , en priorité les méritants qui formaient les soldats de l an 2 , chanté par Victor Hugo dans 1793.
Relisons Jaurès.
c 'est plus tendance et plus efficace...
Signaler Répondrene vous en déplaise
en dansant la javanaise
"prendre un arrêté de réquisition, c'est encadré avec une durée déterminée et des conditions précises. Il ne s'agit pas de voler, il y a une indemnisation".
Signaler Répondrej’imagine que dans les faits , en admettant que l'on applique cette réglementation , il faudrait encore embaucher des milliers de fonctionnaires pour mettre en œuvre des procédures kafkaïennes , sans parler des recours en justice par milliers ...
La loi interdit de réquisitionner, sauf dans des cas spécifiques de logements ou maisons à l'abandon depuis de nombreuses années.
Signaler RépondreEn plus pour voir arriver une famille qui va tout détruire gratuitement votre habitation...
quand on connait le métier (enseignant) et son parti politique (extrême gauche), on peut légitimement s'inquiéter pour l'éducation de nos enfants
Signaler Répondrec'est vraiment la semaine des clowns en tout genre
Signaler RépondreAprès l'ahuri animaliste d'hier qui veut fermer le parc de le Tête d'Or, aujourd'hui, c'est le crypto communiste qui veut nous la refaire collectivisme à tout crin des grandes années de l'URSS
Messieurs, il y a de la place en Corée du Nord
"Le militant rappelle que "prendre un arrêté de réquisition, c'est encadré avec une durée déterminée et des conditions précises. Il ne s'agit pas de voler, il y a une indemnisation"."
Signaler RépondrePour en être spammé sans aucune raison par google actu périodiquement, à Toulouse les orgas de gauche se permettent justement de voler les logements, c'est assez courant que des retraités à l'occasion de vacances ou d'un séjour à l'hôpital retrouvent leurs maisons squattés.
Donc qu'est-ce qui se passe après ? Bah les propriétaires qui représentent quand même presque 60% des français, ont l'impression qu'il y'a vol et donc t'auras beau dire que c'est une loi avec indemns mais à côté tes copains ils cassent la loi.
Après c'est pas parce qu'un logement est vacant qu'il est vacant ou habitable, il peut être vacant en attendant qu'un enfant le prenne, soit revendu ou en attendant des travaux.
Pourquoi donner la parole à un fasciste ?
Signaler RépondrePar contre il aura le soutien des suppôts des verdâtres : Touzot, les clowns Forza et électeur EELV et autres affiliés
Signaler RépondreAu fait qui a des nouvelles de Cendrine Rousso absente du forum depuis quelques temps ?
Mais c'est ça la France! On fais payer des impôts a des propriétaires qui ont un logement vacant!
Signaler RépondreMais on a bosser toute notre vie!
Arrêter de nous prendre pour des cons
Cet inconnu n'a qu'à les loger, s'il n'est pas content
Signaler RépondreJ'ai le pressentiment que dans les commentaires Jouteux va se faire tailler un costume
Signaler Répondreet Colette fais tu lorsque ton locataire s est barré sans payé et que tu retrouve to appartement saccagé alors que tu l à refait complètement 3 ans auparavant.
Signaler Répondrec est tellement facile d avoir la main sur le cœur lorsqu on est pas dans la mouise
Comment peut-on réquisitionner un logement "vacant" privé? Si je suis propriétaire d'un logement, et que le laisser vide c'est mon choix, comment peut-on me le réquisitionner!!!??
Signaler RépondreLes villes, notamment la ville de Lyon à de nombreux locaux vides, pourquoi la ville ne mets pas à disposition ces locaux?