Enfin un évènement étiqueté "Ville de Lyon", porté par les écologistes, et qui risquait de rencontrer un certain succès populaire !
Il n'en fut rien. Car l'édition 2025 (17-20 juillet) du festival jusqu'alors organisé au Grand Parc de Miribel-Jonage n'a pas répondu aux objectifs fixés. Et cela a de grandes chances de compromettre la poursuite des réjouissances pour l'évènement créé il y a 25 ans.
Face à un déficit colossal - 600 000 euros cumulés ces deux dernières années -, le directeur général du festival Maxime Noly avait accepté la main tendue de la mairie de Lyon pour déménager Woodstower au parc de Gerland.
Sur le papier, c'était la promesse d'avoir moins de coûts (scènes moins grandes, moins de personnel de sécurité car site plus petit à couvrir, branchement électrique sur le réseau de la Ville plutôt qu'à des groupes électrogènes...), et une accessibilité aux petits oignons, avec un métro à côté quand il fallait compter uniquement sur des bus pour le Grand-Parc. Cette année et pour la première fois, la Ville de Lyon a maintenu sa subvention de 10 000 euros et avait donc apporté en complément un ensemble d’aides en nature et mises à disposition d’espaces, estimé à 80 000 euro supplémentaires.
Mais la réalité étant tenace, elle a pris le périphérique et a poursuivi Woodstower de Miribel-Jonage à Gerland.
Car la fréquentation de cet été n'a pas été à la hauteur. Avec 24 000 festivaliers, on est encore à des années-lumière des 43 000 spectateurs de 2022 ou même des 28 000 déjà catastrophiques de 2023. Les chiffres n'ont pas été assez haut, Woodstower n'est pas rentré dans ses frais et des fournisseurs attendent toujours d'être payés.
La faute selon Maxime Noly à la grêle et au vent qui ont fait fuir le public l'après-midi durant le week-end du 19-20 juillet, le privant de précieuses recettes de ventes de bière. D'autres pointeront plutôt du doigt le choix d'organiser Woodstower fin juillet plutôt que fin août, ou encore une programmation moins clinquante, avec même quelques prestations a minima comme celle de SCH.
Ce que le public ignore généralement, c’est que les artistes sont payés pour participer à ces festivals. Et beaucoup fonctionnent avec des forfaits : plus le festival paye, plus l’artiste jouera ses titres emblématiques. Et le rappeur n’a visiblement pas touché un gros chèque puisqu’il a endormi les festivaliers qui n’ont eu droit à aucune chanson emblématique à Gerland.
Les écologistes à la rescousse ?
La rentrée risque donc d'être politique pour Woodstower. Car une audience au tribunal judiciaire de Lyon doit avoir lieu ce mardi. Et il pourrait être décidé de débrancher l'évènement et d'y mettre fin, le festival faisant déjà l'objet depuis 2024 d'un plan de sauvegarde sur 8 ans.
Puisque la Région Auvergne-Rhône-Alpes a fermé son robinet en 2023, il faudrait donc que les écologistes remettent la main à la poche s'ils veulent sauver Woodstower. "Sans l’aide des collectivités, on ne pourra pas enchaîner une nouvelle édition", reconnaissait Maxime Noly auprès du Progrès. "Il faut que le festival dégage du résultat. Sans ça, le tribunal ne suivra pas une activité qui reste déficitaire", ajoutait-il sur l'antenne de France 3.
Sauf que la Métropole de Lyon a déjà versé une subvention exceptionnelle de 100 000 euros à l'association Woodstower début 2024, pour éponger les créances vis-à-vis des fournisseurs. Sans oublier l'enveloppe annuelle de fonctionnement.
De plus, ni Bruno Bernard, ni Grégory Doucet n'ont finalement fait la promotion active de l'évènement sur les réseaux sociaux cet été, et leur absence a été remarquée lors de la soirée inaugurale le 17 juillet. Le maire de Lyon était toutefois au cocktail des partenaires le 18 juillet.
Quant à Laurent Wauquiez, il n'y a guère de chance qu'il revienne sur sa décision de supprimer la subvention régionale de 40 000 euros.
Une histoire mouvementée
Woodstower, dont la première édition avait été organisée en 1999 par des amis épris de musique dans les bois de La-Tour-de-Salvagny, est désormais bien loin du concept initial world music et partage entre jeunes. Premier président de l'association organisatrice, Christophe Natale se souvient d'un succès populaire immédiat et exponentiel. A tel point que le maire José Mansot leur avait proposé de basculer l'évènement au parc de l'Hippodrome pour la 3e édition, qui accueillait des dizaines de milliers de personnes, venues notamment applaudir Le Peuple de l'Herbe. Mais les riverains, agacés par le bruit et la présence de festivaliers par milliers dans les rues, obligeaient l'édile à faire machine arrière. C'est à cette occasion que Woodstower, sur impulsion des élus lyonnais, déménageait à Miribel-Jonage.
Woodstower vit-il ses dernières heures ? Les écologistes auront-ils sa mort sur la conscience ? Une conférence de presse de Maxime Noly a d'ores et déjà été annoncée ce vendredi pour faire le point sur la situation critique du festival.
qu ils aillent se faire voir chez les grecs!
Signaler Répondremerci
Signaler RépondreTROP DE TRAVAUX INUTILE PAS DE SUBVENTION HALA LA VIVEMENT QU'ILS PARTENT.
Signaler RépondrePuisque l'on vous dit que c'est de la faute de la grêle et de la pluie !
Signaler RépondreJ'adore cette génération censée être écolo et féministe qui va écouter du rap bien sexiste et homophobe en défonçant la faune à coups de megawatts... Bande de clowns
Signaler Répondre"si l'on est démocrate et non validiste mais la mairie écolo a largement démontré qu'elle se foutait bien des handicapés, des neurodivergents, des vieux etc."
Signaler RépondreVous pouvez ajouter qu’ils se foutent bien des pauvres en général. Ils utilisent l’argent de tout le monde mais pour le bien être de leur club de privilégiés.
Ces gens qui se gargarisent d’humanisme et d’inclusion… Quelle imposture !!
Woodstower ne respecte ni la vie de la faune, ni le droit au repos des riverains (une nécessité physiologique). La métropole a quand-même essayé de le faire passer pour un festival « éco-responsable ». On est en pleine science fiction !
Woodstower aurait mieux fait de se ré-inventer réellement responsable : moins de décibels, autre format… Autre état d’esprit : plus respectueux, moins opportuniste.
n y a plus de sous!nada!plus un rond !plus un kopeck!plus un flouze!mais comment qu y faut-t-y donc t y dire?
Signaler RépondreA titre d'exemple voici le cahier des charges pour une subvention par le ministère de la culture ("Soutien aux festivals dans le champ de la création artistique (spectacle vivant et arts visuels)"), tout à fait applicable au niveau régional, départemental ou intercommunal:
Signaler Répondre"""
Cette aide vise à soutenir les festivals du spectacle vivant et des arts visuels faisant preuve d’exigence et de prise de risque artistiques, dans leurs besoins de développement et de structuration et dans leurs démarches de transition.
La décision de soutien est prise en considération de la manière dont un festival vient s’inscrire en complémentarité du maillage artistique et culturel déjà existant sur un territoire donné. Une attention privilégiée est accordée aux festivals qui développent des actions structurantes en milieu rural, ainsi qu’à ceux qui s’inscrivent dans des logiques de coopération, de partenariat et de mutualisation avec d’autres acteurs de leur territoire. Des critères de responsabilité environnementale et sociétale sont également pris en compte dans l’appréciation des demandes d’aides.
Disciplines concernées par ce dispositif : théâtre, arts de la rue, cirque, marionnette, danse, musique, arts visuels, design, mode, métiers d’art, photographie, création en environnement numérique, pluridisciplinaire (dans le champ du spectacle vivant et des arts visuels).
"""
En quoi un festival de rap et d'électro fait preuve d'une prise de risque artistique, développe une action structurante dans une logique de coopération avec d'autres acteurs du territoire (à part la barraque à frites) ou remplit des critères de responsabilité environnementale et sociétale (cf. les remarques pertinentes sur Miribel).
MERCI ! 🕊️
Signaler RépondreMerci de souligner tout ceci. Visiblement la pollution sonore n'est pas la préoccupation de nos édiles. C'est pourtant un sujet réel. A la Mulatière (haut de la colline), nous subissons tous les weekends et dès les beaux jours le boom boom des rooftops et autres concerts à Gerland ou confluence. Eh oui le son monte. Cela représente quand même beaucoup de riverains qui en souffrent. Parmi eux, des malades, des enfants petits qu'on n'arrive pas à endormir etc.
Signaler RépondreJeune, j'ai beaucoup été dans des concerts de rock. Ils étaient en salle, et c'était aussi bien.
Certes l'ambiance d'un festival est sans doute différente mais ce serait vraiment un aspect (la nuisance sonore) à prendre en compte si l'on est démocrate et non validiste mais la mairie écolo a largement démontré qu'elle se foutait bien des handicapés, des neurodivergents, des vieux etc.
Il n'y a plus de sous
Signaler RépondreLà aussi, y'en a de la magouille....
Signaler RépondreLe pognon n'est pas perdu pour tout le monde......
Idem,habitant à decines nous degustions beaucoup lorsque le festival avait lieu à Miribel.nous avons beaucoup apprécié lorsqu'il a quitté le parc en emportant malheureusement ses nuisances chez les autres.
Signaler Répondresurtout leurs dirigeants souvent autoproclamés
Signaler RépondreTout est bien résumé. Pourquoi autant d'argent public pour si peu d'intérêt et de plus mettre peut être en péril des petites entreprises (partenaires et fournisseurs) qui ne verront jamais leur facture payée. Ces pseudos festivals n'ont pas les pieds sur terre et c'est beaucoup plus simple quand on ne risque pas son propre argent. Qu'ils mettent en jeu leur Livret A et leur maison, vous verrez qu'ils feront un bien plus petit festival.
Signaler RépondreC'est Nicolas qui paie ...
Signaler Répondrechic bien autre chose a faire avec le pognon plutot que nuire a la tranquilite des riverains
Signaler Répondreet les associations bidons mais qui payent très bien leurs employés!!!!!! des assoc nocives
Signaler RépondreLe RAP est la musique numéro 1 en France, c'est à dire que ces artistes et le courant qu'ils représentent, sont ceux qui réalisent, à titre privé, les plus grosses recettes.
Signaler RépondreLes artistes français électro sont parmi ceux qui ont le plus de succès dans le monde (comprendre par là qu'un Dj Snake fait peut-être moins qu'un Jul en France, mais probablement plus tous pays confondus). C'est à dire que ces artistes et le courant qu'ils représentent réalisent à titre privé les plus grosses recettes.
Ces deux styles sont donc très à la mode et leurs artistes très connus.
Ces deux styles rapportent donc beaucoup d'argent sans intervention publique.
En quoi est-ce qu'une dépense d'argent public en faveur de tels artistes favorise-t-elle la promotion d'artistes méconnus (et dont l’œuvre présente toutefois un capital culturel à défendre) ? En quoi permet-elle au public d'accéder à des spectacles qu'ils ne pourraient pas voir autrement (puisqu'il s'agit des 2 styles les plus populaires en France) ? En quoi cela favorise-t-il le tissus économique et culturel local (à moins qu'il soit impossible d'accéder à du Rap ou de l'électro en région Lyonnaise) ?
Bref, soit il s'agit d'argent public mal dépensé, soit il s'agit de clientélisme électoral (je dépense de l'argent pour faire plaisir à mon électorat, présumé consommateur desdits médiats).
PS: je ne critique pas les genres, j'en suis consommateur, en revanche je ne pense pas que le rôle d'une collectivité locale est d'injecter de l'argent public à destination d'artistes qui n'en manquent pas.
va regarder la programmation et tu constateras que c'est déjà le cas.
Signaler Répondrewoodstower c'est une tête d'affiche et pour le reste une programmation plus modeste.
Que certains évènements "populaires" et ouverts au plus grand nombre soient subventionnés raisonnablement ne me choque pas ... Par contre un tel déficit signifie qu'il y a un gouffre entre l'intérêt des spectateurs et le format envisagé par l'équipe de ce Festival. Vu le remplissage ces gens n'ont pas les pieds sur terre et on voit que c'est au détriment de l'argent public déjà engagé et de fournisseurs qui risquent de ne pas être payés. Ces personnes n'ont pas leur place dans l'organisation de spectacle et surtout dans les subventionnés. Comment expliquer que des sociétés privées produisent des spectacles sans argent public (payent leur personnel, leurs fournisseurs et arrivent à dégager des bénéfices) alors que ce festival accuse un trou de plus de 600000e ? Tout simplement car ils jouent avec de l'argent qui ne leur appartient pas, qu'ils se prennent pour des pros en voyant trop grand et ne risquent rien concernant leur situation personnelle ! STOP, arrêtez les frais et à la limite que la municipalité paye les dettes auprès de leurs fournisseurs.
Signaler Répondreles élections ayant lieu au printemps et l'année débutant le 1er janvier c'est bien la municipalité précédente qui va décider du budget
Signaler Répondre"sans gros chèque des écologistes". Nada, le fric c'est pour lzs voies lyonniases !
Signaler RépondreLes cocus du rap !
Signaler Répondreet rappelez vous un certain président qui affirmait il n'y a pas si longtemps : 'ca ne coutera rien aux Français , c'est l'état qui paie ...'
Signaler RépondreJuste pour rappeler que des gens habitent autour...Étant en hauteur à la Mulatière, j'ai sacrément dégusté.
Signaler RépondreLe festival, à sa décharge, avait mis en place un téléphone et une adresse mail pour signaler les nuisances.
La mairie de Lyon, elle, s'en fout. Elle organise des open air en se vantant du nombre de décibels...
Ce serait bien de faire la fête sans emm... les autres.
Festival de voyous
Signaler Répondreavec bernard qui casse ,comme anthony queen dans le role ,(pas anthony queeer!)les chaines enroulees sur sa cage thoracique par la seule force de son inspiration!
Signaler RépondreDifférence culturelle trop importante, pas de désir d'intégration, détestation de la France pour maintes raisons. Voilà trois motifs pour que ces gens restent chez eux. On a déjà les reliquats de ceux arrivés dans les années 80...qui sont les pires. Si on veut exterminer notre pays...continuons. Eu égard à la dualité de la situation contemporaine qui, en quête de sens , est à la recherche permanente de l'inclusif, on se doit de se remémorer la simultanéité des alternatives pertinentes, parce que la nature a horreur du vide.
Signaler RépondreIl ne faudrait pas confondre cette fin et les moyens pour y parvenir. Ces derniers peuvent être critiqués, rejetés ou améliorés. Mais l’enjeu essentiel de ce débat me semble la prise de conscience des stéréotypes sexistes qui façonnent notre univers langagier. De ce point de vue, l’écriture inclusive vaut bien une réflexion… sans exclusive pour pouvoir affirmer que c'est bien une lyonnaise. Elle est archi nulle et fait porter la faute aux autres !
Les nuisances sonores étaient insupportables pour les habitants de l'est lorsque ce festival avait lieu à Miribel. D'autre part le parc est une zone Natura 2000, mais nos politiques ne sont pas à une incohérence près, quel que soit leur parti ( PS ,ou ecolo ) ,ce sont les puissances d'argent qui gouvernent. Pas de chance, ce festival est un gouffre financier. Qui met la main à la poche? Encore les pouvoirs publics avec l'argent du contribuable. C'est scandaleux vu l'état des finances de notre pays. Pourquoi donc subventionner une activité qui crée des nuisances et est anti écologique surtout lorsqu'elle a lieu dans une zone Natura 2000.Quel est le besoin? Amuser le peuple? Faire rayonner Lyon? La Metropole a tjs utilisé des mots vides de sens pour nous endormir, cette fois elle semble réagir intelligemment, pas de subventions, bravo.
Signaler RépondreOn pourrait envisager un WoodstowerODON.
Signaler RépondreOrganisé au parc de la Tête d'Or avec :
Cascades à vélo avec Fabien Pignon et V. Lungencrasse
Jonglerie avec bassines (rappel Sainte Soline) avec Thomas Dossus
et en exclusivité, le seul numéro avec 2 clowns tristes, Grégory Pastèque et Bruno Bobard
Acrobaties en tout genre avec Lundy Grampré, le casting reste ouvert
Entrée 50 euros ( Réduction aux porteurs de drapeaux palestiniens)
Jus de lombric gratuit .......
Aucun festival ne doit être subventionné si l’organisation ne peut pas rentrer dans ses frais et bien on organise rien, ils entreprise c’est comme ça y a aucune raison que l’ensemble de la population paye avec l’argent public aucune raison
Signaler RépondreQuand les associations auront obligation de publication de leurs comptes, on fera un grand pas vers la transparence et la pertinence d'aider ou pas.
Signaler RépondreLes partis politiques le font dorénavant (enfin sauf quelques récalcitrants) et la lecture des montants des recettes/ et dettes est assez éclairante. Certains veulent gouverner et gérer le pays alors qu'ils ont des dettes sociales et fiscales qui en disent long sur leur capacité de gestion....
Franchement il faut être réaliste. J'y suis allé cette année et la déception a été immense. Que du rap, pas de belle signature. Et je vous passe l'odeur de shit et la drogue de partout. Bref, le contribuable ne mérite pas de perdre de l'argent là dedans. Il y a mieux à faire! Rideau!
Signaler RépondreLe festival a bien changé au cours des années et s'est focalisé sur une formule qui attire un public qui ne veut pas payer le réel coût d'une place de spectacle. De plus, si on veut attirer du monde, il faut des artistes connus et reconnus. Il m'est arrivé d'aller écouter Peter Doherty ou Arno et il faut les payer de plus en plus cher.
Signaler RépondreIl faut rappeler que la majorité des festivals sont déficitaires sans les aides des collectivités ou de l'état. C'est un modèle qui ne fonctionne plus correctement.
Ces artistes quand ils ne touchent pas le million il n'ont pas envie de se produire...
Signaler RépondreIl faut prendre plein de petits groupes locaux de rock, hard rock, métal, jazz, sans étiquettes, etc... Il y en a plein qui seront ravis de se produire pour pas cher et l'ambiance sera beaucoup plus sympa.
Mais les j'eun's d'aujourd'hui ne veulent que ce qu'ils voient sur TikTok...
Comment se passe la gestion financière de la ville et la Métropole entre maintenant et les élections mars 26 ? Les actuels en poste peuvent ils engager des sommes d'argent public sur la prochaine mandature ? et si changement les prochains en charge pourraient ils annuler et revoir tout ces choix ?
Signaler Répondreje me souviens de propos surrealistes tenus par la directrice du cinema "le zola" il y a de celà plusieurs annees:le cinema ayant fait des pertes (environ 80 000 ou 100 000 euros de memoire) le journaliste lui demande alors comment elle va t elle faire... "le joint"?et celle ci de repondre benoitement et sans embages:c est la mairie qui comble les "lacunes"!!
Signaler Répondreveridique!
""""" "Sans l’aide des collectivités, on ne pourra pas enchaîner une nouvelle édition", reconnaissait Maxime Noly auprès du Progrès. "Il faut que le festival dégage du résultat. Sans ça, le tribunal ne suivra pas une activité qui reste déficitaire",
Signaler RépondreBasta les subventions !!!!!
Il peut toujours tenter une cagnotte en ligne (comme disait Coluche: "s'il trouve des c.ns pour payer "")
effectivement on a plus d’argent ! les loisirs après l’éducation, le logement, la sécurité … il faut prioriser et faire payer le vrai prix !!!
Signaler RépondreCe sont LES CONTRIBUABLES, les gueux les travailleurs qui se saignent qui versent les subventions qui profitent a une minorité.
Signaler Répondre« Sauf que la Métropole de Lyon a déjà versé une subvention exceptionnelle de 100 000 euros à l'association Woodstower début 2024, pour éponger les créances vis-à-vis des fournisseurs. Sans oublier l'enveloppe annuelle de fonctionnement. »
Il y a trop de festivals et d'évènements. Chacun veut le lien avec des subventions. Bien entendu. Alors que la fête est terminée pour les citoyens, on continue de subventionner des évènements déficitaires pour occuper le petit peuple. Celui-ci ne pense plus alors à la chute de la France qui tombera comme l'empire romain.
Signaler RépondreVa falloir faire des choix dans les subventions allouées aux évènements, festivals et autres... pas possible de tout payer tout le temps, surtout en ce moment
Signaler RépondreOfficiellement 600000€ de deficit malgré 100000€ de subvention et auparavant 40000€ par la région,,,,,,on est donc déjà a 740000€ minimum de deficit et le gars nous annonce que le mauvais temps a empêche la vente de bières,,,,,mais il habite dans quel monde ce gars , même Doucet et Bernard pas vraiment des références de gestion n y sont pas allés, c est dire a quelle hauteur plane ce directeur.
Signaler RépondreLes escrologistes ont vidé les caisses ,et oui ...Combien les dettes ???
Signaler RépondreFestival géré par un gars qui n a aucune idée de gestion. Organiser un Festival fin juillet alors que beaucoup sont en vacances, compter sur les subventions et la vente de bières,,,,,,,,manifestement le responsable est dans un autre monde .Le gars est en faillite mais il pense continuer
Signaler RépondreSi la formule n'attire plus le public, ça ne ne sert à rien d'injecter encore de l'argent en pure perte.
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