Sept personnes ont été présentées ce jeudi 4 septembre à la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Lyon dans l’enquête sur l’enlèvement d’un ressortissant suisse, séquestré fin août dans la Drôme avec une demande de rançon en cryptomonnaies, rapporte le Dauphiné Libéré.
Selon le parquet de Lyon, "la gendarmerie nationale est avisée le 30 août qu’un ressortissant suisse a été enlevé et séquestré en France et que les ravisseurs exigent qu’une rançon leur soit versée en cryptomonnaie pour sa libération." L’homme, âgé d’une vingtaine d’années, a été libéré dimanche près de Valence, ligoté dans une habitation proche de la gare TGV.
L’opération a mobilisé près de 150 militaires issus de la section de recherches de Grenoble, du groupement de gendarmerie de la Drôme, de l’Unité nationale de police judiciaire et du GIGN.
"Le 31 août, une opération est déclenchée sous l’autorité du parquet de la JIRS de Lyon, amenant à l’interpellation du principal suspect ainsi que de deux autres individus. Les éléments découverts par les enquêteurs permettent de localiser et de libérer la victime dans le département de la Drôme, tout en procédant à l’interpellation de quatre autres suspects", précise le parquet de Lyon.
Les chefs retenus sont lourds : enlèvement, séquestration ou détention arbitraire d’otage commis en bande organisée, extorsion en bande organisée avec arme et association de malfaiteurs. Le parquet de la JIRS a formulé des réquisitions de placement en détention provisoire.
On veut les noms des 7 prévenus svp!!!
Signaler RépondreLiban plutôt car souvenez vous quelles étaient dans les années 80 l'origine de la guerre civile dans ce pays... puis faite un parallèle avec la situation actuelle française. Il ne faut pas oublier que le Liban garde toujours une classe politique assez largement "corrompue" et que plusieurs hauts responsables prennent les ordres d'autres pays (Iran, Quatar etc etc).
Signaler RépondreJe me suis toujours posé la question du pourquoi on avait aussi beaucoup de politiques français très très proches d'hommes politiques libanais (j'ai en tête un ancien président maintenant décédé). Le fait qu'ils soient tous très proches du Quatar n'est plus trop un mystère (je vous laisse lire les articles concernant le parlement européen et les "enveloppes" )
On a beaucoup de chances à Lyon.
Signaler RépondreÇa finira comme un mélange d'Haïti et d'Iran, en pire.
Signaler RépondreEnlèvement, rançon... donc pouvoir aux gang et aux mafias... voir même si on dit le contraire corruption à tous les étages.
Signaler RépondreLa France un néo-mélange entre un peu de Mexique et un peu de Liban mais cela finira comme à Haïti.