Ce lundi 20 octobre, se déroulait dans toute la France la première épreuve du concours d’internat. Cette dernière se passe sur des tablettes tactiles et concernait cette année plus de 11 000 étudiants en sixième année de médecine. L’objectif est de déterminer la future spécialité de chacun en fonction du rang obtenu mais surtout le lieu de leur internat.
Mais tout ne s’est pas passé comme prévu, notamment à la faculté de Lyon Sud. "Ça a buggé de fou. C’était devenu n’importe quoi. Une tablette sur deux marchait. Il y a des gens qui ont pleuré", raconte notamment un étudiant lyonnais dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux. Ce dernier parle d’un "carnage" pour les étudiants présents.
Présidente de l’Association nationale des étudiants en médecine de France (Anemf), Marion Da Ros Poli a pris la parole sur ces dysfonctionnements. "Malheureusement dans la faculté de Lyon Sud, il y a eu des soucis. Les étudiants répondaient à deux questions, étaient déconnectés, se reconnectaient, re-répondaient à deux questions avant d’être déconnectés de nouveau", explique-t-elle mettant en avant une "rupture de l’égalité des chances".
L’épreuve a donc été annulée et reprogrammée à vendredi. "Tous les ans, il y a des problèmes. C’est un très gros dispositif, avec 11 000 personnes connectées simultanément" mais "un souci de force majeure à ce point-là, c’est heureusement rare", a précisé Marion Da Ros Poli.
J'ai entendu dire que la cause du bug était un groupe d'étudiants extérieurs au concours qui avaient organisé une partie de crêpes qui a fait disjoncter tout le bordel !
Signaler Répondrebordelissimes et ruineuses à l œuvre
Signaler RépondreJe préfère le manque de wifi que les erreurs chirurgicales
Signaler RépondreA la lecture de votre propos on peut en conclure que vous avez vous même pleuré en fin de 5eme et donc décidé d'arrêter vos études .
Signaler RépondreCeci explique beaucoup de choses ! :-)
Commentaire stupide et méchant. Vous n'avez aucune idée du travail qui est fourni pendant cinq ans pour accéder à cette étape ultime dont toute une vie professionnelle dépend et de la frustration générée par un incident qui en un instant annihile vos chances .
Signaler RépondreAvez-vous un jour passé un concours de haut niveau ?
Une pensée charitable et de commisération pour tous ceux qui vont devoir repasser cette épreuve nationale .
Il faut vivre avec son temps, vivement un gros BUG
Signaler Répondrede griot?
Signaler RépondreHeureusement qu'il y a le smiley, comme ça on peut bien rire avec vous des étudiants sur toute la France qui ont passé 5 ans dans leurs bouquins pour une épreuve annulée parce que la fac de Lyon Sud n'a pas su faire fonctionner son wifi le jour de son événement phare de l'année.
Signaler RépondreVotre commentaire est insupportable : vous avez idée de la tension nerveuse pour un examen aussi important ? Un tel cynisme est lamentable.
Signaler RépondreUn commentaire assassin sur le fait que cette situation se reproduit chaque année (!) aurait été bienvenu et plus utile.
Haaaaa, cet État magnifique, performant, efficace, toujours prêt à aider les citoyens, et qui ne nous coute presque rien.
Signaler RépondreSi nous ne l'avions pas, on en rêverai !
S'il y en a qui ont pleuré c'est qu'ils n'ont pas le mental pour devenir médecin, ils peuvent arrêter de suite leurs études ;-)
Signaler Répondrec'est grave docteur
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