Alors qu’elle s’apprête à fêter dès 180 ans en décembre, la SPA, qui compte 817 salariés et plus de 6000 bénévoles répartis sur un total de 64 refuges en France, récupère environ 45 000 animaux chaque année.
À Lyon, son nouveau dispensaire a ouvert en septembre dans le 3e arrondissement de Lyon vient d’être inauguré en ce lundi 17 novembre. Une réception a été organisée et plusieurs discours ont eu lieu.
Un nouveau dispensaire “absolument essentiel”
Jean-Charles Fombonne, président de la SPA depuis 2018, a d’abord rappelé que l’association vivait d’abord grâce à la “générosité du public et de la participation des collectivités territoriales”. En effet, la Région Auvergne-Rhône-Alpes a investi 200 000 euros sur les 767 000 euros dépensés pour la création de nouveau dispensaire.
L’an dernier, ce furent 8955 animaux qui ont été traités et soignés à Lyon. Un nouveau dispensaire était donc “absolument essentiel” pour Fabrice Pannekoucke, président de la Région.
Le nouvel établissement de la SPA, enfin opérationnel, résulte “de dix années d’attente, de patience, et de frustration”, déclare Stéphanie Arlenson, responsable du dispensaire. Jean-Charles Fombonne ajoute que ces nouveaux locaux symbolisent “ce qu'on a de mieux pour le moment à la SPA”.

Avec 190 m² de superficie, très moderne et composée de deux salles de consultation, une salle préopératoire, une salle d’isolement, une salle de chirurgie et deux salles de réveil. Marion Sessiecq, maire du 3e arrondissement, venue représenter la Ville de Lyon qui a également œuvré à l’ouverture de ce dispensaire, annonce que le site “est deux fois plus grand que l’ancien site”.
Équipée d’une climatisation, d’un espace dédié au salarié et d’un bureau de la responsable, l’établissement est bien plus fonctionnel. Un nouveau vétérinaire et un auxiliaire spécialisé vétérinaire devraient être prochainement recrutés.
Si le dispensaire traite trois fois plus de chats que de chiens à Lyon, le seul animal présent sur le site au moment de l’inauguration était un rat, souffrant.
Oui,les chats ne font pas des chiens,mais les politiques,des siennes...
Signaler RépondrePourquoi les pastèques tuent les ragondins ? Quelle méthode utilise-t-ils ?
Signaler RépondreHeureusement que la région est présente pour nos amis les bêtes, les pastèques ne pensent qu'à tuer les ragondins à Confluence et à laisser proliférer les blattes, cafards et rats avec les poubelles à compost...
Signaler RépondreLa com de la région espère retour sur investissement avec les sous des contribuables,ce sont les contribuables qu'il faut remercier,et pas la marionette à wauquiez fafa dit fabrice de moutiers....Mr Fombonne est
Signaler Répondreprésident bénévole de la spa tient-il à le préciser dans ses correspondances,les correspndances d'avec les loups et les louves de wauquiez c'est un tout autre sujet....Fond de commerce électoral,la politique ce sont des membres qui ont en elles et en eux un problème de vouloir faire trimer...euh marner,regardez en hte marne et en marne,les pingouins sur la banque-hisse les couleurs de la sarkonnection...j'en connais qui vont à colombey comme d'autres vont à lourdes,qui croira ça? st gobain....
1.6 Millions d'Euros pour l'horreur place Bellecour, et seulement 200 000 Euros pour nos fragiles amis. Le refuge de Gerbey à Chonas-l'Amballan, en Isère, est complet et ne peut plus accueillir de nouveaux animaux, chiens ou chats, en raison d'un afflux important ces derniers jours. La collectivité devrait s'occuper en priorité gens pour qu'ils ne dorment plus dans la rue, et aussi protéger tous les animaux.
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