Soit une économie d'un milliard d'euros, qui empêchera la mission de verser des aides à l'innovation l'année prochaine.
De quoi provoquer la colère de son secrétaire général, l'ancien député macroniste du Rhône Bruno Bonnell.
L'ex-patron d'Infogrames a milité en amont pour que le Sénat ne lui sucre pas ce milliard nécessaire selon lui pour poursuivre le travail engagé pour la réindustrialisation, la recherche et l'innovation. "La stratégie de pause dans l'innovation va à rebours de l'histoire", dénonce-t-il dans le Figaro.
Bruno Bonnell peut d'ailleurs compter sur le soutien du sénateur écologiste du Rhône Thomas Dossus, qui estime que "la droite sénatoriale sacrifie l'avenir de la France" avec cette décision.
Une tentative de rabotage avait déjà eu lieu l'an dernier au Sénat, mais avait finalement capoté. Ce samedi, le vote a encore été serré, avec 185 voix pour et 155 contre.
C'est plus important de donner de l'argent à l'Algérie et à tous les pays qui vomissent la France
Signaler RépondreLe plus surprenant dans cet article c'est qu'un sénateur Écolo, qui marche droit dans les pas de LFI, ennemi juré des entreprises et de l'économie de marché, vienne au secours de la recherche. Le second point concerne Bruno Bonnel, chouchou d'Emmanuel Macron, qui tous les deux sont prêts à distribuer des milliards à qui en demande, sans examiner le fond des dossiers. Les deux compères ont la même "religion": distribuions l'argent que nous n'avons pas. Un exemple parmi cent: "Marseille en grand", lancé en septembre 2021, par lequel Emmanuel Macron a promis cinq milliards d'euros. La Cour des Comptes, pourtant de le même obédience que le Président de la République, annonce: caractère du plan inabouti, en raison de sa gestion trop rapide. Absence de formalisation et de cohérence de l'ensemble. Fin 2023, seulement 1.31 % du montant total annoncé a été versé. Dans ces conditions, arrêtons l'hémorragie jusqu'en 2027, en espérant (ou priant la Bonne mère) que les Français aient trouvé un sauveur du pays. Bruno Bonnel, âgé de 67 ans, a bien mérité de prendre sa retraite.
Signaler RépondreBonnel que j’apprécie n’a pas besoin de cet argent
Signaler Répondrela vache à lait ça suffit non ?
Signaler RépondreBB pas content,colère.....ah l'argent par tous les sentiments.....
Signaler RépondreEnfin, il faut fermer les robinets des subventions. Les caisses sont vides et les citoyens sont étranglés par les impôts !
Signaler RépondreEnfin un Macroniste qui n'est plus arrosé d'argent public, ils nous ont fait tant de mal.
"Un milliard d'euros retiré"... Quel titre trompeur ! Ce milliard a été retiré aux contribuables, à ceux qui bossent, à ceux qui triment et qui sont honnêtes. Comment l'état peut-il distraire de telles sommes dans des associations qui redistribue ensuite selon ses bons vouloirs à des pseudos "innovateurs" et ce sans aucune transparence ?
Signaler RépondreSi les innovateurs sont tellement bons et prometteurs, je suis surpris qu'ils ne trouvent pas de financement dans la sphère privée... Si ce monsieur qui crie être lésé (à tord, une nouvelle fois ! les vrais lésés actuellement, ce sont ceux qui croulent sous les taxes et les impôts sans pouvoir faire de l'évasion fiscale !) croit réellement à ce qu'il fait, il devrait depuis longtemps avoir des retours sur investissements. Que l'état donne un petit coup de pouce au départ, pourquoi pas. Mais ce ne devrait être qu'un prêt. Certainement un don à des personnes qui ont déjà du fric tout autour du ventre.
Enfin, ce n'est que l'arbre qui cache la forêt ! L'argent public fond à Paris comme neige au soleil. Les contribuables paient une fortune pour des services qui périclitent au fil des années : la santé, l'éducation, la sécurité, la défense, la justice, etc., tout va de plus en plus mal avec des délais abyssaux. Nous appelons encore "Urgences" un services qui met maintenant une demi journée à prendre en charge les "patients". Je ne vous fais pas un dessin de tout le reste ! Puis on apprend de manière fortuite que des milliards "régalent" des groupuscules inconnus et que, pire, ils crient au scandale quand on veut fermer le robinet. Monsieur ne va pas pouvoir partir dans son chalet à Megève cet hivers ???
En 2026 c'est Milan-Cortina mais c'est quoi le nom de la ville pour 2030 ? Le nom d'un massif ? On en est là en France ? Pourtant en 2024 ils nous ont bassiné avec le nom d'une ville pour le JO....
Signaler RépondreAvec la dette arrêtons le gaspillage.
Signaler RépondreQue quand il était député § de qui de quoi ?
Signaler RépondreO combien sage cette décision de la droite sénatoriale. France 2030, un "machin" doté depuis 2023 de 10 milliards d'euros, c'est beaucoup, vu les résultats actuels de l'industrie de ce Pays. Va va d'abord s'occuper des : Brandt, ACI et autres and Co. Quant "aux managers..." de France 2030. Attendons sagement, le rapport annuel de La Cour des Comptes en 2031...
Signaler RépondrePour une fois !
Signaler RépondreDe toute façon les 3/4 du milliard auraient été directement dans la poche des patrons et des actionnaires, comme d'habitude...
et d'avoir 2000 employés au pic.... et vous, vous avez fait quoi ?
Signaler RépondreOui, tout a fait, et être entrepreneur, c'est aussi d'après lui, acheter la licence exclusive des produits iRobot pour la France, en loose day bien sûr, et ensuite augmenter les prix de 50%, et ensuite planter les ventes de la marque en France ......
Signaler RépondreMais bon, j'imagine que son patrimoine perso n'a pas eu trop a s'en plaindre ....
Ça se voit que vous n'êtes pas entrepreneur!
Signaler Répondrebonnell dont le fait d'armes principal a été de couler Infogrammes - puis de vivre de l'argent public
Signaler Répondre1 milliard carrément, alors que nous recherchons 40 milliards d’économies pour cette année, c’est déjà ça !!!!
Signaler Répondreil etait moins revendicatif quand il a planté sa boite...
Signaler RépondreOn me dit que le programme dans son démarrage a été un peu lent, a peiné à dépenser, multiplie les comités d évaluation
Signaler RépondreA force de manque de dynamisme , on peur croire qu il n y a pas besoin de tant d argent .