Lors de cette audience, le rapporteur public a demandé la confirmation de l’obligation de quitter le territoire français délivrée par la préfecture, malgré les nouvelles pièces apportées au dossier par l'avocat de Guiherme. Guilherme Azanga avait passé plusieurs semaines au centre de rétention administrative de St Exupéry, et avait refusé d’embarquer dans un avion à destination de l’Angola en avril dernier. La préfecture avait alors renoncé à l’expulser. Cette affaire avait déclenché une vague de solidarité à l’école Gilbert Dru, où sont scolarisés ses enfants. Une cinquantaine de personnes s’est rassemblée devant le tribunal avant le début de l’audience, pour lui apporter son soutien.
Il ne s'agit pas de sans papiers mais de clandestins qui se sont installés illégalement en France. Leur vie peut être poursuivie dans leur pays d'origine que je sache...
Signaler RépondreL'histoire de Guiherme est symptomatique. Ses attaches sont en France, ou il a reconstruit sa famille. il fait partie de nos vies, ne nous l'arrachez pas !!!!
Signaler RépondreNe rien lâcher, jamais !
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