« Si j'avais la moindre chose à me reprocher, je n'aurais pas accepté ce poste » a déclaré à l’AFP Michel Mercier. En cause : l’attribution du marché de Rhônexpress au groupe Vinci, qui a fait l’objet d’une enquête de la section économique et financière de la PJ de Lyon, et dont Michel Mercier a été partie prenante au titre de président du Conseil général du Rhône. Cette dernière n’ayant rien décelé, le parquet de Lyon a classé sans suite le dossier, qui ne fera pas l’objet d’une instruction judiciaire. Un classement intervenu la semaine dernière, quelques jours avant la nomination de Michel Mercier . Un « hasard du calendrier » selon le nouvel occupant de la Place Vendôme. « J'ai cinq enfants, je veux pouvoir les regarder tous les jours, ce sont mes juges » a terminé Mercier.
arrêtons de chercher des poux au moindre politique sur ce dossier, on n'a pas a reprocher grand chose à Mercier et maintenant c'est au tour de Nora Bera !!!! quand il y a vraiment des choses à charge, qu'on y aille !!! Mais chercher à destabiliser à toux prix, c'est minable et c'est un militant de gauche qui vous dit ça !
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