Tous demandent des dommages et intérêts pour avoir été exposés à l'amiante entre 1963 et 1993, mais aussi un complément de salaire. Les ouvriers ont quitté l'entreprise selon le dispositif de cessation anticipée d'activité, qui leur permet de conserver 65% de leur salaire. Ils réclament les 35% restants. Un rassemblement des salariés est prévu devant le tribunal avant l'audience.