Législatives à Lyon: Marc Chinal veut "bâtir une nouvelle civilisation"

Législatives à Lyon: Marc Chinal veut "bâtir une nouvelle civilisation"
Marc Chinal LyonMag.com

Candidat du mouvement Voter Après-Monnaie aux législatives dans la 3e circonscription de Lyon, Marc Chinal n’a qu’un seul mot d’ordre: il faut en finir avec la monnaie. L’homme a fait le tour des rédactions lyonnaise pour présenter son projet en brûlant à chaque fois un billet avant de s’en aller.

Candidat atypique, mais sur de lui, Marc Chinal veut proposer un monde meilleur, qui ne se limite pas à la région rhodanienne, ni à la France, mais au monde entier. Pour le candidat, le seul moyen de s’en sortir, est de créer une nouvelle civilisation, sans monnaie. "La même civilisation, sans le stress, un monde beaucoup plus simple mais pas simpliste". Son programme se décompose en deux phases. Commencer par promouvoir le savoir, comprendre le système économique, privilégier la philosophie, et la psychologie. "Faire un monde meilleur sans connaître l’humain, c’est marcher sur la tête", tempête-t-il. Le bruleur de devises (photo) veut ensuite en finir avec la monnaie qui  "fout le bazar". "Tant qu’on usera de la monnaie on est coincé, c’est mathématique", explique-t-il.  Concernant son mouvement Voter A-M, il est assez disparate, et ne présente qu’une dizaine de candidats sur toute la France.
 

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c'est comme ça ? le 15/07/2019 à 11:37

Pourquoi vous n'avez pas validé mon commentaire d'hier ?

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schtroumpf Savant le 08/07/2019 à 08:42
Coma a écrit le 07/07/2019 à 15h48

Pourtant, l'idée maîtresse de Survisme est de faire ce qui est bon pour la survie...

Peut-être bien que pour le survisme, le mieux pour sa survie est l'oubli.

Imaginez un peu le bazar si le CNRS se décide à analyser le survisme et à l'invalider ?
Ça serait sa mort officielle !

Tandis que l'oubli, c'est pas tout à fait la mort.
C'est une forme de survie dans le coma.

Sauf que l'approche globale du Survisme a été soumise au CNRS et.... que celui ci ne l'a pas invalidée !

ça vous embête mais c'est comme ça... o:)

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Coma le 07/07/2019 à 15:48
Voilà voilà a écrit le 07/07/2019 à 14h02

Des idées survivent et d autres tomberont dans l oubli .....
RIP Survisme :)

Pourtant, l'idée maîtresse de Survisme est de faire ce qui est bon pour la survie...

Peut-être bien que pour le survisme, le mieux pour sa survie est l'oubli.

Imaginez un peu le bazar si le CNRS se décide à analyser le survisme et à l'invalider ?
Ça serait sa mort officielle !

Tandis que l'oubli, c'est pas tout à fait la mort.
C'est une forme de survie dans le coma.

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Voilà voilà le 07/07/2019 à 14:02
Musique insupportable à certaines oreilles a écrit le 07/07/2019 à 12h53

Des idées survivent à une époque, à leurs auteurs, et plein de choses immatérielles survivent. Of course avec un support mais un bouquin qui n'est pas vivant fait survivre des idées a travers le temps.

Des idées survivent et d autres tomberont dans l oubli .....
RIP Survisme :)

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Musique insupportable à certaines oreilles le 07/07/2019 à 12:53
Rapsodie a écrit le 07/07/2019 à 11h08

Je ne comprends pas ce que vous dites,

un bâtiment peut bien survivre à un tremblement de terre ou ne pas y survivre ? On l'a vu avec les derniers tremblement de terre à Los Angeles.

Pourquoi vous ne voulez pas l'admettre ?

Des idées survivent à une époque, à leurs auteurs, et plein de choses immatérielles survivent. Of course avec un support mais un bouquin qui n'est pas vivant fait survivre des idées a travers le temps.

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Rapsodie le 07/07/2019 à 11:08
RIP a écrit le 07/07/2019 à 08h35

QYESTION:
"Est-ce que le créateur du survisme peut survivre après l'instant T de l'analyse "le survisme est faux"?

Telle est la question ?"

REPONSE:

On meurt tous un jour, alors plutôt que de " suicider" leur ego en reconnaissant leurs erreurs, certains choisissent de mourir dans l'oubli.

Je ne comprends pas ce que vous dites,

un bâtiment peut bien survivre à un tremblement de terre ou ne pas y survivre ? On l'a vu avec les derniers tremblement de terre à Los Angeles.

Pourquoi vous ne voulez pas l'admettre ?

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RIP le 07/07/2019 à 08:35
Zig a écrit le 22/06/2019 à 09h33

Vous le faites exprès ou non ?
Mis à part le fait que, comme vous le dites vous même, parfois vous jouez au con, la question ci dessus reste d'actualité.

Il y a DE TOUTE ÉVIDENCE un gros bricolage mal ficelé dans votre théorie, mais vous bataillez comme un démon pour ne pas le reconnaître.

En survisme cela s'appelle "faire ce qui est bon pour votre survie".
Dans les autres branches de la psychologie cela s'appelle "denier l'évidence pour protéger son image".

Jusque là c'est cohérent, vous ne pouvez reconnaître avoir tort car c'est suicidaire, cela detruiré votre statut de "sauveur de l'humanité" sans lequel vous n'êtes pas grand chose.

Une de vos incohérence assez proche de ce que vous avez employé pour vous (la connerie):

JE VOUS CITE:
"(mais le bâtiment, qu'il s'écoule ou pas, n'a pas de capacité d'analyse, donc le survisme ne lui ait d'aucune utilité ! (comme à ceux qui n'utilisent pas de cerveau)"

Bien sûr, il faut lire "s'écroule" et non "s'écoule".

La survie est une réalité et non une théorie.

Le Survisme est une théorie, rappelons le encore une fois, non démontrée et très loin de coller avec la realité.

La survie peut se passer du survisme, mais difficilement l'inverse.

La théorie du survisme ne concerne que l'humain, car comme vous le précisez, il faut une capacité d'analyse pour appliquer le survisme.

Donc si survisme pense survie, ce n'est que pour l'humain.
Et théorie devient philosophie de vie (faire ce qui est bon pour sa survie).

Si un humain qui croit au survisme survit au fameux instant T c'est parce qu'il a appliqué la philosophie du survisme ET que cela a marché pour lui (ça peut ne pas marcher ni pour lui ni pour d'autres) .

Mais si un surviste dit, dans le cadre du survisme, un bâtiment peut survivre à l'instant T, c'est une connerie monumental car par définition (la définition que le maître du survisme a créé) le survisme ne s'applique que aux humain.

Tergiverser des millier de lignes sur ce point de detail:
- le bâtiment n'a pas de cerveau donc il ne pense pas, mais la théorie du survisme (faire ce qui est bon pour sa survie) etablit qu'il survit dans le cadre de cette théorie-

Et de la part du créateur du survisme, insister lourdement (toujours dans le cadre de la théorie du survisme) sur la survie des cailloux, glaçons, bâtiments, c'est effectivement de la connerie.

Mais c'est logique, reconnaître que c'est faux de la part de son créateur, c'est reconnaître que le survisme est faux donc le condamner à mort.

Est-ce que le créateur du survisme peut survivre après l'instant T de l'analyse "le survisme est faux"?

Telle est la question ?

QYESTION:
"Est-ce que le créateur du survisme peut survivre après l'instant T de l'analyse "le survisme est faux"?

Telle est la question ?"

REPONSE:

On meurt tous un jour, alors plutôt que de " suicider" leur ego en reconnaissant leurs erreurs, certains choisissent de mourir dans l'oubli.

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Brondillante le 23/06/2019 à 19:46
Education nationale a écrit le 21/06/2019 à 21h04

Qui vous dit qu'il n'est pas discrètement tenu à l'oeil par la justice depuis l'échec de sa tentative d'entrisme dans un lycée lyonnais du 2eme arrondissement en mai dernier, et du tweet vengeur qui en a découlé où il citait ce lycée et la personne qui avait refusé de lui "obeir", en refusant de lire un de ses livres aux élèves de ce lycée.

Vous faites référence à ce tweet? (qui a été supprimé depuis):

@MarcChinal
·
4h
Au lycée Ampere à #Lyon 2ème, la responsable du CDI (bibliothèque) n'a pas voulu lire la BD -Le déradicaliseur...
Il serait peut être bon que les #professeurs de lycées et collèges soient un peu plus curieux et poussent leurs élèves à raisonner sur ces sujets...
:)
#education

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Zig seulement le 23/06/2019 à 19:34
Zig pas net a écrit le 23/06/2019 à 19h15

tu ne sais plus ce que tu écris ?

on n'a pas rêvé, tu as bien écrit :
la survie des cailloux, glaçons, bâtiments, c'est effectivement de la connerie.


t'es pris en défaut, tu t'acharnes à ne pas savoir ce qu'est la survie au sens large et non étroit comme ta tête alors retourne jouer au bac à sable.

Selon moi, comme je l'ai dis déjà:
Vu à la manière surviste, la survie d'un cailloux (qui analyse à l'instant T) reste une connerie.

C'est mon point de vue.

OK ?

Mais merci pour ta remarque Chinal.
Si je change de point de vue, je t'en ferais part.

Zig

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Zig pas net le 23/06/2019 à 19:15
Zig a écrit le 22/06/2019 à 19h25

Et hop, il continu de mélanger les définitions, dans la même phrase il met survie et survit qui sont 2 choses différentes avec DEUX definitions DIFFERENTES.

""est-ce qu'un bâtiment qui survit à un tremblement de terre", c'est une phrase correcte, qui ne remet pas en cause votre définit de survie uniquement liée à un être vivant ?"

SURVIE
https://www.cnrtl.fr/definition/survie

SURVIT de survivre
https://www.cnrtl.fr/definition/survivre

j'ai deja donné ces liens mais je ne crois pas que vous lisiez ce qui provient du CNRS, vous en êtes resté à votre LAROUSSE 79.

Pour la "petite" histoire, votre question "est-ce qu'un bâtiment qui survit à un tremblement de terre", c'est une phrase correcte, qui ne remet pas en cause votre définit de survie uniquement liée à un être vivant ?" me dérange car comme il fallait s'y attendre vous mentez.

Je n'ai pas de "definit" de survie uniquement lié à un être vivant, c'est vous qui le prétendez.

J'ai écris très précisement:
"Mais si un surviste dit, dans le cadre du survisme, un bâtiment peut survivre à l'instant T, c'est une connerie monumental car par définition (la définition que le maître du survisme a créé) le survisme ne s'applique que aux humain. "

C'est pourtant clair, vous avez
VOTRE DÉFINITION DU SURVISME
dans cette définition, vous avez
VOTRE DÉFINITION DE SURVIT
et toujours dans la définition du survisme
VOUS AVEZ VOTRE DÉFINITION DE SURVIT
Le tout selon la théorie du survisme QUI NE S'APPLIQUE QUE AUX HUMAINS. (ou à ce qui a un cerveau).

Moi ce que je vous fait remarquer, c'est juste que dans le cadre de VOTRE THÉORIE, un bâtiment n'est pas concerné par VOS DÉFINITIONS, CAR IL N'A PAS DE CERVEAU.

Pour les définitions plus terre à terre et moins divines, oui un bâtiment à une survie et survit, je vous renvoies aux def que je vous ai donné plus haut (si vous savez les lire).

Permettez que je contredise vos âneries concernant votre théorie.

(et remarquez que cela ne vous heurte plus quand j'écris que c'est VOTRE THEORIE...)

tu ne sais plus ce que tu écris ?

on n'a pas rêvé, tu as bien écrit :
la survie des cailloux, glaçons, bâtiments, c'est effectivement de la connerie.


t'es pris en défaut, tu t'acharnes à ne pas savoir ce qu'est la survie au sens large et non étroit comme ta tête alors retourne jouer au bac à sable.

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Bordel ! le 23/06/2019 à 02:00
Post monétaire a écrit le 22/06/2019 à 18h01

".....................Je suis désolé, mais l'instant T de l'analyse n'est pas une cause probable de destruction d'un bâtiment................."

sans blague ?

:D

"....................Si on survit après l'instant T d'analyse (c'est la def du survisme), .................."

non, ce n'est pas la définition du survisme, mais comme vous en avez rien à faire de la réelle définition... :o)


"...................même s'il n'y a pas eut de tremblement de terre, le bâtiment à survécut, pourquoi dites vous alors qu'il n'a pas survécut?...............".

Ha oui, je dis ça ?
Oh ?
Où ?

:D

Qui ici a écrit cela ?
"L'instant T est juste le moment d'analyse pris en considération."

Et à la remarque suivante
" Si on survit après l'instant T d'analyse (c'est la def du survisme).."

Rétorque
"non, ce n'est pas la définition du survisme, mais comme vous en avez rien à faire de la réelle définition... :o)"

Faudrait savoir!

On survit ou on ne survit pas APRÈS L'INSTANT T D'ANALYSE ?

Parce qu'effectivement un bâtiment n'analyse pas grand chose ni avant, ni pendant, ni après le tremblement de terre... Ni jamais d'ailleurs, ni à quoi que se soit d'ailleurs.

Donc, et vous le dites vous même, le survisme n'a aucune influence sur la survie du bâtiment ou la survie de "quelque chose" et ne concerne que la survie de "quelqu'un"

Pourquoi alors mélangez vous "quelqu'un" avec "quelque chose"?

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Zig le 22/06/2019 à 19:25
Post monétaire a écrit le 22/06/2019 à 17h48

La question c'était surtout pour vous, de répondre à :

"est-ce qu'un bâtiment qui survit à un tremblement de terre", c'est une phrase correcte, qui ne remet pas en cause votre définit de survie uniquement liée à un être vivant ?

Pour le reste de vos phrases, comme d'hab vous mélangez tout exprès, ne citez jamais ce que je dis précisément, et réinventez mes phrases.

Et dire que c'est vous qui parlez de manipulation....
Continuez bien à vous planquer pour raconter des saloperies, on sait pourquoi vous le faites :o)

Et hop, il continu de mélanger les définitions, dans la même phrase il met survie et survit qui sont 2 choses différentes avec DEUX definitions DIFFERENTES.

""est-ce qu'un bâtiment qui survit à un tremblement de terre", c'est une phrase correcte, qui ne remet pas en cause votre définit de survie uniquement liée à un être vivant ?"

SURVIE
https://www.cnrtl.fr/definition/survie

SURVIT de survivre
https://www.cnrtl.fr/definition/survivre

j'ai deja donné ces liens mais je ne crois pas que vous lisiez ce qui provient du CNRS, vous en êtes resté à votre LAROUSSE 79.

Pour la "petite" histoire, votre question "est-ce qu'un bâtiment qui survit à un tremblement de terre", c'est une phrase correcte, qui ne remet pas en cause votre définit de survie uniquement liée à un être vivant ?" me dérange car comme il fallait s'y attendre vous mentez.

Je n'ai pas de "definit" de survie uniquement lié à un être vivant, c'est vous qui le prétendez.

J'ai écris très précisement:
"Mais si un surviste dit, dans le cadre du survisme, un bâtiment peut survivre à l'instant T, c'est une connerie monumental car par définition (la définition que le maître du survisme a créé) le survisme ne s'applique que aux humain. "

C'est pourtant clair, vous avez
VOTRE DÉFINITION DU SURVISME
dans cette définition, vous avez
VOTRE DÉFINITION DE SURVIT
et toujours dans la définition du survisme
VOUS AVEZ VOTRE DÉFINITION DE SURVIT
Le tout selon la théorie du survisme QUI NE S'APPLIQUE QUE AUX HUMAINS. (ou à ce qui a un cerveau).

Moi ce que je vous fait remarquer, c'est juste que dans le cadre de VOTRE THÉORIE, un bâtiment n'est pas concerné par VOS DÉFINITIONS, CAR IL N'A PAS DE CERVEAU.

Pour les définitions plus terre à terre et moins divines, oui un bâtiment à une survie et survit, je vous renvoies aux def que je vous ai donné plus haut (si vous savez les lire).

Permettez que je contredise vos âneries concernant votre théorie.

(et remarquez que cela ne vous heurte plus quand j'écris que c'est VOTRE THEORIE...)

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Ben alors ! le 22/06/2019 à 18:52
Post monétaire a écrit le 22/06/2019 à 18h01

".....................Je suis désolé, mais l'instant T de l'analyse n'est pas une cause probable de destruction d'un bâtiment................."

sans blague ?

:D

"....................Si on survit après l'instant T d'analyse (c'est la def du survisme), .................."

non, ce n'est pas la définition du survisme, mais comme vous en avez rien à faire de la réelle définition... :o)


"...................même s'il n'y a pas eut de tremblement de terre, le bâtiment à survécut, pourquoi dites vous alors qu'il n'a pas survécut?...............".

Ha oui, je dis ça ?
Oh ?
Où ?

:D

Alors PM, à cours d'arguments ?

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Zig le 22/06/2019 à 18:45
Quelle lucidité ! a écrit le 22/06/2019 à 18h08

""Pour le reste de vos phrases, comme d'hab vous mélangez tout exprès, ne citez jamais ce que je dis précisément, et réinventez mes phrases.

Et dire que c'est vous qui parlez de manipulation.... ""

C est curieux ça colle parfaitement à vous :)

Ça colle toujours à lui, il aime faire son auto-portrait.

Moi, c'est Zig,

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Quelle lucidité ! le 22/06/2019 à 18:08
Post monétaire a écrit le 22/06/2019 à 17h48

La question c'était surtout pour vous, de répondre à :

"est-ce qu'un bâtiment qui survit à un tremblement de terre", c'est une phrase correcte, qui ne remet pas en cause votre définit de survie uniquement liée à un être vivant ?

Pour le reste de vos phrases, comme d'hab vous mélangez tout exprès, ne citez jamais ce que je dis précisément, et réinventez mes phrases.

Et dire que c'est vous qui parlez de manipulation....
Continuez bien à vous planquer pour raconter des saloperies, on sait pourquoi vous le faites :o)

""Pour le reste de vos phrases, comme d'hab vous mélangez tout exprès, ne citez jamais ce que je dis précisément, et réinventez mes phrases.

Et dire que c'est vous qui parlez de manipulation.... ""

C est curieux ça colle parfaitement à vous :)

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Post monétaire le 22/06/2019 à 18:01
SensDessusDessous a écrit le 21/06/2019 à 17h14

C'est joli ça "comme un con" personne sauf vous n'avait avancé l’hypothèse, vous nous avez devancé.

Par contre on peut se poser la question de savoir qui a atteint le fond de l'illogisme?

Le votre d'illogisme, pour un logicien, n'est pas mal aussi!

Vous reprenez votre interlocuteur sur ce point
"Vous n'avez pas compris que la survie touche aussi les bâtiments (comme dans l'exemple) mais que le survisme étant une théorie sur l'analyse des informations par le cerveau, il faut qu'il y ait un cerveau ?"

Ce qui veut dire que la survie touche aussi les bâtiments (1).

Mais le survisme non, un bâtiment ne dit pas "je fais (à l'instant T de l'analyse) ce qui semble assurer ma survie, je ne fais pas (à l'instant T de l'analyse) ce qui ne semble pas assurer ma survie".

Donc si l'humain fait, ou ne fait pas, le bâtiment lui ne fait rien car la théorie du survisme, faite pour l'humain seulement lui propose qu'il survit à l'instant T parce qu'il a analysé et fait ce qu'il croyait bon pour sa survie,

Si le bâtiment survit à l'instant T dit instant présent, ou même à l'instant T dit instant du Tremblement de terre, ce n'est en tout cas pas parce qu'il a analysé et fait ce qu'il croyait bon pour sa survie car lui le bâtiment n'a pas de cerveau pour analyser.

Le survisme n'y est pour rien pour la survie du bâtiment, à la rigueur, des ingénieurs du génie civil seraient plus efficaces pour cela

(1): je vous conseille fortement ce lien
- quelque chose survit à quelque chose: "Continuer d'exister en dépit de causes de disparition.".
Le tremblement de terre est une cause probable de disparition du bâtiment.
L'instant T de l'analyse n'est pas une cause probable de disparition du bâtiment.

- quelque chose survit à quelqu'un: "Continuer d'exister après la disparition de la personne qui est à l'origine de la chose dont il est question"
Un bouquin survit à la disparition de son auteur.
https://www.cnrtl.fr/definition/survivre

Tout cela n'a absolument rien à voir avec votre définition lu ici
https://www.survisme.info/accueil.htm
"tout élément survit, c'est a dire à une existence qui continue après l'instant T, tant que rien ne vient détruire cet élément"
avec instant T = instant de l'analyse.
Je suis désolé, mais l'instant T de l'analyse n'est pas une cause probable de destruction d'un bâtiment (sauf dans l'imaginaire).

Voila donc 2 définitions qui divergent.

Par contre, je veux bien une explication sur cette "chose sans sens":

"l'instant d'analyse (faite par un humain évidemment ! haha)
c'est ne pas oublier qu'un bâtiment ne peut pas avoir survécu à un tremblement de terre, si ce dernier n'a pas eu lieu.

donc... Cherchez bien le moment qu'il faut prendre en considération pour votre "analyse"..."

Si on survit après l'instant T d'analyse (c'est la def du survisme), même s'il n'y a pas eut de tremblement de terre, le bâtiment à survécut, pourquoi dites vous alors qu'il n'a pas survécut?

Un peu de logique SVP.

".....................Je suis désolé, mais l'instant T de l'analyse n'est pas une cause probable de destruction d'un bâtiment................."

sans blague ?

:D

"....................Si on survit après l'instant T d'analyse (c'est la def du survisme), .................."

non, ce n'est pas la définition du survisme, mais comme vous en avez rien à faire de la réelle définition... :o)


"...................même s'il n'y a pas eut de tremblement de terre, le bâtiment à survécut, pourquoi dites vous alors qu'il n'a pas survécut?...............".

Ha oui, je dis ça ?
Oh ?
Où ?

:D

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Post monétaire le 22/06/2019 à 17:48
Zig a écrit le 22/06/2019 à 09h33

Vous le faites exprès ou non ?
Mis à part le fait que, comme vous le dites vous même, parfois vous jouez au con, la question ci dessus reste d'actualité.

Il y a DE TOUTE ÉVIDENCE un gros bricolage mal ficelé dans votre théorie, mais vous bataillez comme un démon pour ne pas le reconnaître.

En survisme cela s'appelle "faire ce qui est bon pour votre survie".
Dans les autres branches de la psychologie cela s'appelle "denier l'évidence pour protéger son image".

Jusque là c'est cohérent, vous ne pouvez reconnaître avoir tort car c'est suicidaire, cela detruiré votre statut de "sauveur de l'humanité" sans lequel vous n'êtes pas grand chose.

Une de vos incohérence assez proche de ce que vous avez employé pour vous (la connerie):

JE VOUS CITE:
"(mais le bâtiment, qu'il s'écoule ou pas, n'a pas de capacité d'analyse, donc le survisme ne lui ait d'aucune utilité ! (comme à ceux qui n'utilisent pas de cerveau)"

Bien sûr, il faut lire "s'écroule" et non "s'écoule".

La survie est une réalité et non une théorie.

Le Survisme est une théorie, rappelons le encore une fois, non démontrée et très loin de coller avec la realité.

La survie peut se passer du survisme, mais difficilement l'inverse.

La théorie du survisme ne concerne que l'humain, car comme vous le précisez, il faut une capacité d'analyse pour appliquer le survisme.

Donc si survisme pense survie, ce n'est que pour l'humain.
Et théorie devient philosophie de vie (faire ce qui est bon pour sa survie).

Si un humain qui croit au survisme survit au fameux instant T c'est parce qu'il a appliqué la philosophie du survisme ET que cela a marché pour lui (ça peut ne pas marcher ni pour lui ni pour d'autres) .

Mais si un surviste dit, dans le cadre du survisme, un bâtiment peut survivre à l'instant T, c'est une connerie monumental car par définition (la définition que le maître du survisme a créé) le survisme ne s'applique que aux humain.

Tergiverser des millier de lignes sur ce point de detail:
- le bâtiment n'a pas de cerveau donc il ne pense pas, mais la théorie du survisme (faire ce qui est bon pour sa survie) etablit qu'il survit dans le cadre de cette théorie-

Et de la part du créateur du survisme, insister lourdement (toujours dans le cadre de la théorie du survisme) sur la survie des cailloux, glaçons, bâtiments, c'est effectivement de la connerie.

Mais c'est logique, reconnaître que c'est faux de la part de son créateur, c'est reconnaître que le survisme est faux donc le condamner à mort.

Est-ce que le créateur du survisme peut survivre après l'instant T de l'analyse "le survisme est faux"?

Telle est la question ?

La question c'était surtout pour vous, de répondre à :

"est-ce qu'un bâtiment qui survit à un tremblement de terre", c'est une phrase correcte, qui ne remet pas en cause votre définit de survie uniquement liée à un être vivant ?

Pour le reste de vos phrases, comme d'hab vous mélangez tout exprès, ne citez jamais ce que je dis précisément, et réinventez mes phrases.

Et dire que c'est vous qui parlez de manipulation....
Continuez bien à vous planquer pour raconter des saloperies, on sait pourquoi vous le faites :o)

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Zig le 22/06/2019 à 09:33

Vous le faites exprès ou non ?
Mis à part le fait que, comme vous le dites vous même, parfois vous jouez au con, la question ci dessus reste d'actualité.

Il y a DE TOUTE ÉVIDENCE un gros bricolage mal ficelé dans votre théorie, mais vous bataillez comme un démon pour ne pas le reconnaître.

En survisme cela s'appelle "faire ce qui est bon pour votre survie".
Dans les autres branches de la psychologie cela s'appelle "denier l'évidence pour protéger son image".

Jusque là c'est cohérent, vous ne pouvez reconnaître avoir tort car c'est suicidaire, cela detruiré votre statut de "sauveur de l'humanité" sans lequel vous n'êtes pas grand chose.

Une de vos incohérence assez proche de ce que vous avez employé pour vous (la connerie):

JE VOUS CITE:
"(mais le bâtiment, qu'il s'écoule ou pas, n'a pas de capacité d'analyse, donc le survisme ne lui ait d'aucune utilité ! (comme à ceux qui n'utilisent pas de cerveau)"

Bien sûr, il faut lire "s'écroule" et non "s'écoule".

La survie est une réalité et non une théorie.

Le Survisme est une théorie, rappelons le encore une fois, non démontrée et très loin de coller avec la realité.

La survie peut se passer du survisme, mais difficilement l'inverse.

La théorie du survisme ne concerne que l'humain, car comme vous le précisez, il faut une capacité d'analyse pour appliquer le survisme.

Donc si survisme pense survie, ce n'est que pour l'humain.
Et théorie devient philosophie de vie (faire ce qui est bon pour sa survie).

Si un humain qui croit au survisme survit au fameux instant T c'est parce qu'il a appliqué la philosophie du survisme ET que cela a marché pour lui (ça peut ne pas marcher ni pour lui ni pour d'autres) .

Mais si un surviste dit, dans le cadre du survisme, un bâtiment peut survivre à l'instant T, c'est une connerie monumental car par définition (la définition que le maître du survisme a créé) le survisme ne s'applique que aux humain.

Tergiverser des millier de lignes sur ce point de detail:
- le bâtiment n'a pas de cerveau donc il ne pense pas, mais la théorie du survisme (faire ce qui est bon pour sa survie) etablit qu'il survit dans le cadre de cette théorie-

Et de la part du créateur du survisme, insister lourdement (toujours dans le cadre de la théorie du survisme) sur la survie des cailloux, glaçons, bâtiments, c'est effectivement de la connerie.

Mais c'est logique, reconnaître que c'est faux de la part de son créateur, c'est reconnaître que le survisme est faux donc le condamner à mort.

Est-ce que le créateur du survisme peut survivre après l'instant T de l'analyse "le survisme est faux"?

Telle est la question ?

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Education nationale le 21/06/2019 à 21:04
pauvre Chinal a écrit le 13/06/2019 à 20h26

Marc, je voudrais te faire part de ce que j'ai déjà vu passé au tribunal :

A force de vouloir porter plainte pour diffamation, tu te fais connaître.
Que toi, tu aies pas conscience que ce que tu fais c'est du pur charlatanisme ça n'a aucune importance.
Y'a un moment si y'a un procureur moins cool, il va t'accorder ta plainte et te poursuivra ensuite pour constitution abusive de partie civile.

En un mot : t'es foutu si t'arrives à porter plainte.

En gros le procureur te protège de toi-même en ne donnant pas suite à tes plantes délirantes, le jour où vraiment t'arriveras au tribunal tu seras super mal barré.

Je te conseille, avec la petite expérience que j'ai, de rester zen avec tes procédures, ça risquerait de se retourner contre toi.
Toutes les affaires de charlatans que je connais (et des bien plus intelligents que toi ! Bien plus cultivés !) Ca s'est retourné contre eux.

Reste sur le net, keep cool, continue à parader sur ce site tant que tu veux y'a zéro souci.
Mais si tu t'aventures dans la vraie vie tu vas subir de vraies désillusions :/
Et peut-être même de la taule avec sursis.

C'est assez grave ce que tu fais, mais tu t'en rends pas compte...

C'est triste de se dire qu'il te faudra sans doute des garde à vue. mais même là tu justifiera ça en appelant à la persécution... Bref c'est sans fin.
Prend soin de toi, reste sur le net où t'es tranquille.

Eloigne toi des écoles.

Qui vous dit qu'il n'est pas discrètement tenu à l'oeil par la justice depuis l'échec de sa tentative d'entrisme dans un lycée lyonnais du 2eme arrondissement en mai dernier, et du tweet vengeur qui en a découlé où il citait ce lycée et la personne qui avait refusé de lui "obeir", en refusant de lire un de ses livres aux élèves de ce lycée.

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Foutoir le 21/06/2019 à 20:40

Drôle drôle drôle.

Celui qui ne connaît rien de Freud et de ses approches, qui n'a rien compris du peu qu'il a entendu sur ce sujet, et qui explique malgré tout le freudisme avec uniquement cette conclusion
"... métaphores infinies du freudisme et de ses bases sur mythes grecs déformés."

Est le même qui pretend

"vous avez décrit des choses incohérentes, ce qui prouve le foutoir
dans votre cerveau..."

On se demande où est le foutoir, chez lui sûrement !

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De la part des documentalistes de lycée le 21/06/2019 à 17:15
Post monétaire a écrit le 21/06/2019 à 14h35

:D

à chaque fois je crois que vous avez touché le fond de votre illogisme, mais chaque fois j'oublie que c'est sans fin ! :o)
Et comme un con, je vous réponds :o)


"......................CONTRADICTION:
Vous dites aussi:
"comme je vous l'ai dit précédemment mais vous n'avez pas rebondi dessus : un bâtiment survit à un tremblement de terre."
Ici "instant T" = Instant du tremblement de terre, le bâtiment survit après l'instant T au tremblement de terre. ...................."


l'instant d'analyse (faite par un humain évidemment ! haha)
c'est ne pas oublier qu'un bâtiment ne peut pas avoir survécu à un tremblement de terre, si ce dernier n'a pas eu lieu.

donc... Cherchez bien le moment qu'il faut prendre en considération pour votre "analyse"...




".................... Et l'instant T du tremblement de terre, ce n'est pas l'instant T de l'analyse faite par le bâtiment...
Bien entendu (un bâtiment survit mais n'analyse pas) ....................."


comme l'analyse n'est pas faite par un bâtiment, vous voulez dire quoi ?

Vous n'avez pas compris que la survie touche aussi les bâtiments (comme dans l'exemple) mais que le survisme étant une théorie sur l'analyse des informations par le cerveau, il faut qu'il y ait un cerveau ?

:o)

oukilé le cerveau ? Hum ? Allez, on cherche tous ensemble et je suis sûr qu'on va en trouver plein !
(mais le bâtiment, qu'il s'écoule ou pas, n'a pas de capacité d'analyse, donc le survisme ne lui ait d'aucune utilité ! (comme à ceux qui n'utilisent pas de cerveau)



"....................Tout est incoherent dans cette approche, un grand foutoir...................."

vous avez décrit des choses incohérentes, ce qui prouve le foutoir
dans votre cerveau.
Pour le reste, c'est juste de la logique, bien loin des métaphores infinies du freudisme et de ses bases sur mythes grecs déformés.

:o)

oui oui vous êtes logique de la même façon que vous êtes légaliste

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SensDessusDessous le 21/06/2019 à 17:14
Post monétaire a écrit le 21/06/2019 à 14h35

:D

à chaque fois je crois que vous avez touché le fond de votre illogisme, mais chaque fois j'oublie que c'est sans fin ! :o)
Et comme un con, je vous réponds :o)


"......................CONTRADICTION:
Vous dites aussi:
"comme je vous l'ai dit précédemment mais vous n'avez pas rebondi dessus : un bâtiment survit à un tremblement de terre."
Ici "instant T" = Instant du tremblement de terre, le bâtiment survit après l'instant T au tremblement de terre. ...................."


l'instant d'analyse (faite par un humain évidemment ! haha)
c'est ne pas oublier qu'un bâtiment ne peut pas avoir survécu à un tremblement de terre, si ce dernier n'a pas eu lieu.

donc... Cherchez bien le moment qu'il faut prendre en considération pour votre "analyse"...




".................... Et l'instant T du tremblement de terre, ce n'est pas l'instant T de l'analyse faite par le bâtiment...
Bien entendu (un bâtiment survit mais n'analyse pas) ....................."


comme l'analyse n'est pas faite par un bâtiment, vous voulez dire quoi ?

Vous n'avez pas compris que la survie touche aussi les bâtiments (comme dans l'exemple) mais que le survisme étant une théorie sur l'analyse des informations par le cerveau, il faut qu'il y ait un cerveau ?

:o)

oukilé le cerveau ? Hum ? Allez, on cherche tous ensemble et je suis sûr qu'on va en trouver plein !
(mais le bâtiment, qu'il s'écoule ou pas, n'a pas de capacité d'analyse, donc le survisme ne lui ait d'aucune utilité ! (comme à ceux qui n'utilisent pas de cerveau)



"....................Tout est incoherent dans cette approche, un grand foutoir...................."

vous avez décrit des choses incohérentes, ce qui prouve le foutoir
dans votre cerveau.
Pour le reste, c'est juste de la logique, bien loin des métaphores infinies du freudisme et de ses bases sur mythes grecs déformés.

:o)

C'est joli ça "comme un con" personne sauf vous n'avait avancé l’hypothèse, vous nous avez devancé.

Par contre on peut se poser la question de savoir qui a atteint le fond de l'illogisme?

Le votre d'illogisme, pour un logicien, n'est pas mal aussi!

Vous reprenez votre interlocuteur sur ce point
"Vous n'avez pas compris que la survie touche aussi les bâtiments (comme dans l'exemple) mais que le survisme étant une théorie sur l'analyse des informations par le cerveau, il faut qu'il y ait un cerveau ?"

Ce qui veut dire que la survie touche aussi les bâtiments (1).

Mais le survisme non, un bâtiment ne dit pas "je fais (à l'instant T de l'analyse) ce qui semble assurer ma survie, je ne fais pas (à l'instant T de l'analyse) ce qui ne semble pas assurer ma survie".

Donc si l'humain fait, ou ne fait pas, le bâtiment lui ne fait rien car la théorie du survisme, faite pour l'humain seulement lui propose qu'il survit à l'instant T parce qu'il a analysé et fait ce qu'il croyait bon pour sa survie,

Si le bâtiment survit à l'instant T dit instant présent, ou même à l'instant T dit instant du Tremblement de terre, ce n'est en tout cas pas parce qu'il a analysé et fait ce qu'il croyait bon pour sa survie car lui le bâtiment n'a pas de cerveau pour analyser.

Le survisme n'y est pour rien pour la survie du bâtiment, à la rigueur, des ingénieurs du génie civil seraient plus efficaces pour cela

(1): je vous conseille fortement ce lien
- quelque chose survit à quelque chose: "Continuer d'exister en dépit de causes de disparition.".
Le tremblement de terre est une cause probable de disparition du bâtiment.
L'instant T de l'analyse n'est pas une cause probable de disparition du bâtiment.

- quelque chose survit à quelqu'un: "Continuer d'exister après la disparition de la personne qui est à l'origine de la chose dont il est question"
Un bouquin survit à la disparition de son auteur.
https://www.cnrtl.fr/definition/survivre

Tout cela n'a absolument rien à voir avec votre définition lu ici
https://www.survisme.info/accueil.htm
"tout élément survit, c'est a dire à une existence qui continue après l'instant T, tant que rien ne vient détruire cet élément"
avec instant T = instant de l'analyse.
Je suis désolé, mais l'instant T de l'analyse n'est pas une cause probable de destruction d'un bâtiment (sauf dans l'imaginaire).

Voila donc 2 définitions qui divergent.

Par contre, je veux bien une explication sur cette "chose sans sens":

"l'instant d'analyse (faite par un humain évidemment ! haha)
c'est ne pas oublier qu'un bâtiment ne peut pas avoir survécu à un tremblement de terre, si ce dernier n'a pas eu lieu.

donc... Cherchez bien le moment qu'il faut prendre en considération pour votre "analyse"..."

Si on survit après l'instant T d'analyse (c'est la def du survisme), même s'il n'y a pas eut de tremblement de terre, le bâtiment à survécut, pourquoi dites vous alors qu'il n'a pas survécut?

Un peu de logique SVP.

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Post monétaire le 21/06/2019 à 14:35
instant T a écrit le 21/06/2019 à 12h22

Et l'instant T du tremblement de terre, ce n'est pas l'instant T de l'analyse faite par le bâtiment...
Bien entendu (un bâtiment survit mais n'analyse pas)

Tout est incoherent dans cette approche, un grand foutoir.

:D

à chaque fois je crois que vous avez touché le fond de votre illogisme, mais chaque fois j'oublie que c'est sans fin ! :o)
Et comme un con, je vous réponds :o)


"......................CONTRADICTION:
Vous dites aussi:
"comme je vous l'ai dit précédemment mais vous n'avez pas rebondi dessus : un bâtiment survit à un tremblement de terre."
Ici "instant T" = Instant du tremblement de terre, le bâtiment survit après l'instant T au tremblement de terre. ...................."


l'instant d'analyse (faite par un humain évidemment ! haha)
c'est ne pas oublier qu'un bâtiment ne peut pas avoir survécu à un tremblement de terre, si ce dernier n'a pas eu lieu.

donc... Cherchez bien le moment qu'il faut prendre en considération pour votre "analyse"...




".................... Et l'instant T du tremblement de terre, ce n'est pas l'instant T de l'analyse faite par le bâtiment...
Bien entendu (un bâtiment survit mais n'analyse pas) ....................."


comme l'analyse n'est pas faite par un bâtiment, vous voulez dire quoi ?

Vous n'avez pas compris que la survie touche aussi les bâtiments (comme dans l'exemple) mais que le survisme étant une théorie sur l'analyse des informations par le cerveau, il faut qu'il y ait un cerveau ?

:o)

oukilé le cerveau ? Hum ? Allez, on cherche tous ensemble et je suis sûr qu'on va en trouver plein !
(mais le bâtiment, qu'il s'écoule ou pas, n'a pas de capacité d'analyse, donc le survisme ne lui ait d'aucune utilité ! (comme à ceux qui n'utilisent pas de cerveau)



"....................Tout est incoherent dans cette approche, un grand foutoir...................."

vous avez décrit des choses incohérentes, ce qui prouve le foutoir
dans votre cerveau.
Pour le reste, c'est juste de la logique, bien loin des métaphores infinies du freudisme et de ses bases sur mythes grecs déformés.

:o)

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instant T le 21/06/2019 à 12:22
Instant T a écrit le 21/06/2019 à 06h16

@PM:

Vous nous dites "instant T" de la survie = instant de l'analyse.

CONTRADICTION:

Vous dites aussi:
"comme je vous l'ai dit précédemment mais vous n'avez pas rebondi dessus : un bâtiment survit à un tremblement de terre."

Ici "instant T" = Instant du tremblement de terre, le bâtiment survit après l'instant T au tremblement de terre.

Et l'instant T du tremblement de terre, ce n'est pas l'instant T de l'analyse faite par le bâtiment...
Bien entendu (un bâtiment survit mais n'analyse pas)

Tout est incoherent dans cette approche, un grand foutoir.

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décidément le 21/06/2019 à 09:34
C'est quoi ce bug a écrit le 19/06/2019 à 23h19

À propos du survisme, je lis ici:
"face à "un plat de viande" (une situation), une personne qui aura tel paramètre - telle information prioritaire (je ne veux pas manger du cadavre), prendra la décision de ne pas manger la viande.
Face à cette même situation, une personne ayant l'information prioritaire (la viande c'est super bon et c'est naturel pour un humain de manger de la viande), prendra la décision de manger la viande.

Le survisme n'est là que pour prendre cette photographie.
Pas là pour juger."

Il y a quelque chose qui cloche:
l'information prioritaire "je ne veux pas manger du cadavre" nest pas une INFORMATION.
C'est un CHOIX.

Donc ici, il ne faut pas dire "on fait un choix à cause d'une information prioritaire".

Car ici on fait un choix à cause d'un choix,
"Je ne VEUX PAS manger de viande
parce que
Je ne veux pas manger de cadavre d'animaux."

Pourtant il est dit que le survisme fait une photographie des INFORMATIONS dominantes pour faire des choix, et non une photo des choix dominants pour faire des choix !

Il y a donc il y a bien un bug

Pourquoi on n'a pas le droit d'écrire ce qui suit ? Pourquoi mon commentaire n'est pas validé depuis hier ?


je réponds donc au "bug"
Votre conclusion est fausse :
lorsque je vais au restaurant et que je choisi un plat dans un menu, le serveur va porter l'information au cuisinier.

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Existe t elle .....? le 21/06/2019 à 08:59
schtroumpf Savant a écrit le 21/06/2019 à 07h55

Et d'après vous la croissance existe à l'instant T ?

o:)

Est ce comme la définition de la "théorie globale" ?

o:)

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Un nouvel evangile le 21/06/2019 à 08:57

Pour résumer : le survisme ne dit pas ce que vous devez penser mais si jamais vous n arrivez pas aux mêmes conclusions que PM , c est que vous n avez pas compris :)
Cherchez l erreur.....

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schtroumpf Savant le 21/06/2019 à 07:55
Instant T a écrit le 21/06/2019 à 06h16

@PM:

Vous nous dites "instant T" de la survie = instant de l'analyse.

CONTRADICTION:

Vous dites aussi:
"comme je vous l'ai dit précédemment mais vous n'avez pas rebondi dessus : un bâtiment survit à un tremblement de terre."

Ici "instant T" = Instant du tremblement de terre, le bâtiment survit après l'instant T au tremblement de terre.

Et d'après vous la croissance existe à l'instant T ?

o:)

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Zag le 21/06/2019 à 07:27
Post monétaire a écrit le 19/06/2019 à 17h33

@ ZIG

l'autre problème avec "le survisme", c'est que des personnes en attendent "une direction précise" pour les "aider à répondre à leurs problèmes"

mais le survisme est du domaine de l'analyse de la psychée, de l'analyse de l'information par le cerveau (la mécanique), ce n'est pas du domaine de la philosophie (la philosophie aidant à faire des choix de valeur (choisir ses valeurs dominantes).
C'est pour celà que psychanalyse freudienne "répond mieux", ou "parle mieux" à ces personnes, parce qu'elle dit "ça c'est le bien, ça c'est le mal" (comme une philosophie) en utilisant par exemple des termes comme "pervers".

Le survisme, est une théorie "froide", sans choix. ça permet juste d'identifier plus facilement pourquoi dans telle situation il y a tel choix à cause de tels paramètre, et que dans la même situation, il y a tel choix (peut être inverse) à cause de tel paramètre.
Sans dire "c'est ce choix qu'il faut faire plutôt que celui ci".

En exemple (car je vous l'avais déjà donné il y a quelques temps), je vous avais repris l'exemple qui est sur le site du survisme :

face à "un plat de viande" (une situation), une personne qui aura tel paramètre - telle information prioritaire (je ne veux pas manger du cadavre), prendra la décision de ne pas manger la viande.
Face à cette même situation, une personne ayant l'information prioritaire (la viande c'est super bon et c'est naturel pour un humain de manger de la viande), prendra la décision de manger la viande.

Le survisme n'est là que pour prendre cette photographie.
Pas là pour juger.
D'où l'impression de "sans intérêt" chez certains.
Mais ce "sans intérêt" c'est juste la question de "ai-je besoin d'être conscient de cette mécanique ou pas".
Et effectivement, ça n'a que peu d'intérêt dans l'exemple de la viande (car on devine les "pourquoi"), mais c'est plus intéressant dans les comportements qui nous semblent "paradoxaux ou incompréhensibles", car là, on arrive plus facilement à déterminer ce qui est entré en jeux.

Autres incoherences:

"l'autre problème avec "le survisme", c'est que des personnes en attendent "une direction précise" pour les "aider à répondre à leurs problèmes""

Façon de dire que le survisme ne donne pas de consignes philosophiques, il prend juste des "photos" de ce qu'il y a dans le cerveau.


Est incohérent à:
"
face à "un plat de viande" (une situation), une personne qui aura tel paramètre - telle information prioritaire (je ne veux pas manger du cadavre), prendra la décision de ne pas manger la viande."

Je ne veux pas manger du cadavre, c'est une philosophie, ce n'est pas une info.

" Je ne veux pas", c'est un CHOIX philosophique.
Ce n'est pas comme "je ne peux pas" (comme une impossibilité physique) hors le survisme ne se mêle pas de philosophie et ne donne pas de réponse.

Mais dans cet exemple qui est "que faire face à un plat de viande", le surviste qu'est PM donne comme exemple une réponse imposée par un CHOIX PHILOSOPHIQUE, tout ce que ne fait pas le survisme, pas de choix, pas de philosophie, juste des photos.

!!!

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Instant T le 21/06/2019 à 06:16

@PM:

Vous nous dites "instant T" de la survie = instant de l'analyse.

CONTRADICTION:

Vous dites aussi:
"comme je vous l'ai dit précédemment mais vous n'avez pas rebondi dessus : un bâtiment survit à un tremblement de terre."

Ici "instant T" = Instant du tremblement de terre, le bâtiment survit après l'instant T au tremblement de terre.

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Ça fait peine le 20/06/2019 à 07:28
Bien/mal a écrit le 20/06/2019 à 07h10

Perception de la philosophie et psychanalyse par Marc.

- "C'est pour celà que psychanalyse freudienne "répond mieux", ou "parle mieux" à ces personnes, parce qu'elle dit "ça c'est le bien, ça c'est le mal" (comme une philosophie) en utilisant par exemple des termes comme "pervers"."-

En gros, la psychanalyse et la philo disent ce qui est bien ou mal !

C'est pour cela que voud voulez" enseigner" la psycho dans les écoles ?

Pour dire ce qui est "bien" ou "mal"!

N'est-ce pas la religion qui impose le bien ou le mal ?

Eh oui il en parle depuis des années mais il n a rien compris a ce qu était la philo et la psycho.

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Bien/mal le 20/06/2019 à 07:10

Perception de la philosophie et psychanalyse par Marc.

- "C'est pour celà que psychanalyse freudienne "répond mieux", ou "parle mieux" à ces personnes, parce qu'elle dit "ça c'est le bien, ça c'est le mal" (comme une philosophie) en utilisant par exemple des termes comme "pervers"."-

En gros, la psychanalyse et la philo disent ce qui est bien ou mal !

C'est pour cela que voud voulez" enseigner" la psycho dans les écoles ?

Pour dire ce qui est "bien" ou "mal"!

N'est-ce pas la religion qui impose le bien ou le mal ?

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Fourchette le 20/06/2019 à 06:04

Copie colle:
Zig say:
".................Le fameux instant T que PM ne définit pas, ce n’est rien d’autre je pense que l’instant où ce danger devient tellement important et insupportable qu’il peut faire basculer votre vie vers la mort.
.................."


PM say:
"non, pas besoin de cet situation extrême.
Si vous ne mangez pas avec votre fourchette dans un lieu où "il faut le faire pour être accepté", alors vous serez rejeté et pris pour "une personne sans éducation".
Votre survie passe alors par prendre une fourchette pour manger."

C'est justement ce que dit Zig, si à l'instant T tu ne prend pas ta fourchette, DANGER t'es viré ("t'es mort si t'es viré").

Position de survie face au danger, tu prends ta fourchette.

COMPRIS !

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C'est quoi ce bug le 19/06/2019 à 23:19

À propos du survisme, je lis ici:
"face à "un plat de viande" (une situation), une personne qui aura tel paramètre - telle information prioritaire (je ne veux pas manger du cadavre), prendra la décision de ne pas manger la viande.
Face à cette même situation, une personne ayant l'information prioritaire (la viande c'est super bon et c'est naturel pour un humain de manger de la viande), prendra la décision de manger la viande.

Le survisme n'est là que pour prendre cette photographie.
Pas là pour juger."

Il y a quelque chose qui cloche:
l'information prioritaire "je ne veux pas manger du cadavre" nest pas une INFORMATION.
C'est un CHOIX.

Donc ici, il ne faut pas dire "on fait un choix à cause d'une information prioritaire".

Car ici on fait un choix à cause d'un choix,
"Je ne VEUX PAS manger de viande
parce que
Je ne veux pas manger de cadavre d'animaux."

Pourtant il est dit que le survisme fait une photographie des INFORMATIONS dominantes pour faire des choix, et non une photo des choix dominants pour faire des choix !

Il y a donc il y a bien un bug

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Zig le 19/06/2019 à 22:08
Post monétaire a écrit le 19/06/2019 à 17h31

@ ZIG ou les personnes qui se cachent derrière ce pseudo complètement anonyme pour ne pas avoir à suivre une conversation humainement.



".............La survie, c’est le résultat de la « fuite » de ce danger..................."

vous refusez donc de voir que certains ne fuient pas face au danger ?
ou
Que la survie passe aussi par rechercher des moments de plaisir ?


".....................Quant à la vie, vivre et non survivre, c’est lutter et tenter de vaincre (sans forcément y arriver) ce danger....................."

donc, la vie (et non survivre), c'est exactement la même mécanique que ce que décrit le survisme ? Encore une fois, votre problème c'est l'étiquettes et non le fond ?

Pourtant il y a une différence :

Vivre, c'est "ne pas se soucier".
Survivre, c'est juste l'état de conscience qui est lié forcément à la vie.
et cette état de conscience se ressent plus dans les moments extrêmes, mais foncièrement, c'est la même mécanique dans les cas presque anodins.

Pourquoi cette information ne passe pas pour vous ?



"........................Le fameux instant T que PM ne définit pas..................."

si, je vous l'ai déjà écrit mais comme vous ne suivez pas la conversation et ne faites souvent que vous parler à vous même, ça tourne en boucle.

L'instant T est juste le moment d'analyse pris en considération.

Si à l'instant T (par exemple maintenant), je vous énerve, c'est le moment défini, "maintenant" et non avant ou après.
Si l'instant T (par exemple avant de voir que je vous ai répondu), vous n'êtes pas énervé, et bien dans cet exemple, l'instant T d'analyse est "dans le passé avant que vous ne reveniez sur cette page".




".................Le fameux instant T que PM ne définit pas, ce n’est rien d’autre je pense que l’instant où ce danger devient tellement important et insupportable qu’il peut faire basculer votre vie vers la mort.
.................."

non, pas besoin de cet situation extrême.
Si vous ne mangez pas avec votre fourchette dans un lieu où "il faut le faire pour être accepté", alors vous serez rejeté et pris pour "une personne sans éducation".
Votre survie passe alors par prendre une fourchette pour manger.


".........................L’idée dans ce cas là, c’est bien de fuir le danger d’une vie insatisfaisante pour aller si possible vers un ailleurs meilleur avec les moyens que l’on a en sa possesion. ....................."

oui, par exemple.



".............................Est-ce cela le survisme ?
Expliquez comment et pourquoi, pour fuir le danger, certains preferrent survivre que vivre ?................................"

le survisme est une théorie, ce n'est pas "un comportement précis plutôt qu'un autre".


le mot survivre fait peur parce qu'on y voir un danger obligatoire.
le mot vivre est doux, porteur de bien-être.

Mais foncièrement, le préfixe "sur" indique un "par delà" mais pour moi (et pour le dictionnaire encyclopédique que je vous ai cité précédemment) c'est un "par delà le temps présent".

Si vous avez un autre mot pour désigner "exister après le moment présent", je suis preneur.
Je comprends bien que pour vous un "caillou" ne peut "survivre" suivant la définition que vous employez, pourtant, comme je vous l'ai dit précédemment mais vous n'avez pas rebondi dessus : un bâtiment survit à un tremblement de terre.

Ici vous écrivez

"Mais foncièrement, le préfixe "sur" indique un "par delà" mais pour moi (et pour le dictionnaire encyclopédique que je vous ai cité précédemment) c'est un "par delà le temps présent""

On est d'accord, vous avez écrit par dela le temps PRESENT.

Avec l’inconvénient que le temps présent change tout le temps.

Et ici vous ecrivez

"Si à l'instant T (par exemple maintenant), je vous énerve, c'est le moment défini, "maintenant" et non avant ou après.
Si l'instant T (par exemple avant de voir que je vous ai répondu), vous n'êtes pas énervé, et bien dans cet exemple, l'instant T d'analyse est "dans le passé avant que vous ne reveniez sur cette page".

Et ici, l'instant T est fixe, il n'est plus "pardela le présent".

Vous voyez que vous dites des choses volontairement floues et sans sens.

Le plus simplement du monde.

Une personne se proméne dans la nature, à 22H45 (instant T fixe et immuable) il recoit la foudre et est electriquement secoué.

Pourtant, à PARTIR de l'instant T, il survit à la foudre qui aurait dus mettre un terme à sa vie.

Et bien c'est à partit du moment précis T, et non au moment de l'analyse (qui peut venir bien aprés), ni aprés chaque instant audela du présent, qu'il survit à la foudre.

je ne sais pas ce que vous nous inventez avec votre instant T et votre survisme.

Un peu de bon sens ou achetez un autre dico plus récent
https://www.cnrtl.fr/definition/survivre

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Zig le 19/06/2019 à 21:52
Post monétaire a écrit le 19/06/2019 à 17h33

@ ZIG

l'autre problème avec "le survisme", c'est que des personnes en attendent "une direction précise" pour les "aider à répondre à leurs problèmes"

mais le survisme est du domaine de l'analyse de la psychée, de l'analyse de l'information par le cerveau (la mécanique), ce n'est pas du domaine de la philosophie (la philosophie aidant à faire des choix de valeur (choisir ses valeurs dominantes).
C'est pour celà que psychanalyse freudienne "répond mieux", ou "parle mieux" à ces personnes, parce qu'elle dit "ça c'est le bien, ça c'est le mal" (comme une philosophie) en utilisant par exemple des termes comme "pervers".

Le survisme, est une théorie "froide", sans choix. ça permet juste d'identifier plus facilement pourquoi dans telle situation il y a tel choix à cause de tels paramètre, et que dans la même situation, il y a tel choix (peut être inverse) à cause de tel paramètre.
Sans dire "c'est ce choix qu'il faut faire plutôt que celui ci".

En exemple (car je vous l'avais déjà donné il y a quelques temps), je vous avais repris l'exemple qui est sur le site du survisme :

face à "un plat de viande" (une situation), une personne qui aura tel paramètre - telle information prioritaire (je ne veux pas manger du cadavre), prendra la décision de ne pas manger la viande.
Face à cette même situation, une personne ayant l'information prioritaire (la viande c'est super bon et c'est naturel pour un humain de manger de la viande), prendra la décision de manger la viande.

Le survisme n'est là que pour prendre cette photographie.
Pas là pour juger.
D'où l'impression de "sans intérêt" chez certains.
Mais ce "sans intérêt" c'est juste la question de "ai-je besoin d'être conscient de cette mécanique ou pas".
Et effectivement, ça n'a que peu d'intérêt dans l'exemple de la viande (car on devine les "pourquoi"), mais c'est plus intéressant dans les comportements qui nous semblent "paradoxaux ou incompréhensibles", car là, on arrive plus facilement à déterminer ce qui est entré en jeux.

======================================================
l'autre problème avec "le survisme", c'est que des personnes en attendent "une direction précise" pour les "aider à répondre à leurs problèmes"
======================================================
Je me gratte la tête là, quelle direction?
Je veux dire une direction pour aller où?
Pour survivre?

...

Une autre perle du grand "je fourre tout en vrac sous le tapis de toute façon, personne comprendra et il n'y a rien à comprendre".

Je cite
======================================================
...
mais le survisme est du domaine de l'analyse de la psychée, de l'analyse de l'information par le cerveau (la mécanique), ce n'est pas du domaine de la philosophie (la philosophie aidant à faire des choix de valeur (choisir ses valeurs dominantes).
C'est pour celà que psychanalyse freudienne "répond mieux", ou "parle mieux" à ces personnes, parce qu'elle dit "ça c'est le bien, ça c'est le mal" (comme une philosophie) en utilisant par exemple des termes comme "pervers".
=======================================================
Survisme est du domaine de l'analyse de la psyché????????????

Alors que psychANALYSE est du domaine de la philosophie (c'est pour cela qu'il y a analyse dans psychanalyse!!!!!!!!).

Maintenant, venant de quelqu'un qui ne connait pas la psychanalyse et qui malgré tout y est totalement réfractaire, c'est gonflé de dire que la psychanalyse indique ce qui est bien ou mal.

J'adore votre exemple "la viande, bon ou pas bon?",

Et vous ajoutez
===================================================
"Le survisme n'est là que pour prendre cette photographie.
Pas là pour juger." donc pas là pour vous dire si c'est bon ou pas.
===================================================
Par contre le psychanalyste lui, il vous le dira si c'est bon ou pas! enfin, si j'ai bien compris votre démo démagogique et infondée.


Et la perle finale.

Vous me rabâchez avec votre exemple de la viande; comme ci c’était L'EXEMPLE ÉCOLE du survisme.

Mais finalement vous nous dites de cet exemple
===================================================
"ça n'a que peu d'intérêt dans l'exemple de la viande (car on devine les "pourquoi"), mais c'est plus intéressant dans les comportements qui nous semblent "paradoxaux ou incompréhensibles"
===================================================
SVP
prenez donc un exemple intéressant pour nous expliquer votre truc incompréhensible.

Peut-être qu'on comprendra un peu mieux.

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Post monétaire le 19/06/2019 à 17:33

@ ZIG

l'autre problème avec "le survisme", c'est que des personnes en attendent "une direction précise" pour les "aider à répondre à leurs problèmes"

mais le survisme est du domaine de l'analyse de la psychée, de l'analyse de l'information par le cerveau (la mécanique), ce n'est pas du domaine de la philosophie (la philosophie aidant à faire des choix de valeur (choisir ses valeurs dominantes).
C'est pour celà que psychanalyse freudienne "répond mieux", ou "parle mieux" à ces personnes, parce qu'elle dit "ça c'est le bien, ça c'est le mal" (comme une philosophie) en utilisant par exemple des termes comme "pervers".

Le survisme, est une théorie "froide", sans choix. ça permet juste d'identifier plus facilement pourquoi dans telle situation il y a tel choix à cause de tels paramètre, et que dans la même situation, il y a tel choix (peut être inverse) à cause de tel paramètre.
Sans dire "c'est ce choix qu'il faut faire plutôt que celui ci".

En exemple (car je vous l'avais déjà donné il y a quelques temps), je vous avais repris l'exemple qui est sur le site du survisme :

face à "un plat de viande" (une situation), une personne qui aura tel paramètre - telle information prioritaire (je ne veux pas manger du cadavre), prendra la décision de ne pas manger la viande.
Face à cette même situation, une personne ayant l'information prioritaire (la viande c'est super bon et c'est naturel pour un humain de manger de la viande), prendra la décision de manger la viande.

Le survisme n'est là que pour prendre cette photographie.
Pas là pour juger.
D'où l'impression de "sans intérêt" chez certains.
Mais ce "sans intérêt" c'est juste la question de "ai-je besoin d'être conscient de cette mécanique ou pas".
Et effectivement, ça n'a que peu d'intérêt dans l'exemple de la viande (car on devine les "pourquoi"), mais c'est plus intéressant dans les comportements qui nous semblent "paradoxaux ou incompréhensibles", car là, on arrive plus facilement à déterminer ce qui est entré en jeux.

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Post monétaire le 19/06/2019 à 17:31

@ ZIG ou les personnes qui se cachent derrière ce pseudo complètement anonyme pour ne pas avoir à suivre une conversation humainement.



".............La survie, c’est le résultat de la « fuite » de ce danger..................."

vous refusez donc de voir que certains ne fuient pas face au danger ?
ou
Que la survie passe aussi par rechercher des moments de plaisir ?


".....................Quant à la vie, vivre et non survivre, c’est lutter et tenter de vaincre (sans forcément y arriver) ce danger....................."

donc, la vie (et non survivre), c'est exactement la même mécanique que ce que décrit le survisme ? Encore une fois, votre problème c'est l'étiquettes et non le fond ?

Pourtant il y a une différence :

Vivre, c'est "ne pas se soucier".
Survivre, c'est juste l'état de conscience qui est lié forcément à la vie.
et cette état de conscience se ressent plus dans les moments extrêmes, mais foncièrement, c'est la même mécanique dans les cas presque anodins.

Pourquoi cette information ne passe pas pour vous ?



"........................Le fameux instant T que PM ne définit pas..................."

si, je vous l'ai déjà écrit mais comme vous ne suivez pas la conversation et ne faites souvent que vous parler à vous même, ça tourne en boucle.

L'instant T est juste le moment d'analyse pris en considération.

Si à l'instant T (par exemple maintenant), je vous énerve, c'est le moment défini, "maintenant" et non avant ou après.
Si l'instant T (par exemple avant de voir que je vous ai répondu), vous n'êtes pas énervé, et bien dans cet exemple, l'instant T d'analyse est "dans le passé avant que vous ne reveniez sur cette page".




".................Le fameux instant T que PM ne définit pas, ce n’est rien d’autre je pense que l’instant où ce danger devient tellement important et insupportable qu’il peut faire basculer votre vie vers la mort.
.................."

non, pas besoin de cet situation extrême.
Si vous ne mangez pas avec votre fourchette dans un lieu où "il faut le faire pour être accepté", alors vous serez rejeté et pris pour "une personne sans éducation".
Votre survie passe alors par prendre une fourchette pour manger.


".........................L’idée dans ce cas là, c’est bien de fuir le danger d’une vie insatisfaisante pour aller si possible vers un ailleurs meilleur avec les moyens que l’on a en sa possesion. ....................."

oui, par exemple.



".............................Est-ce cela le survisme ?
Expliquez comment et pourquoi, pour fuir le danger, certains preferrent survivre que vivre ?................................"

le survisme est une théorie, ce n'est pas "un comportement précis plutôt qu'un autre".


le mot survivre fait peur parce qu'on y voir un danger obligatoire.
le mot vivre est doux, porteur de bien-être.

Mais foncièrement, le préfixe "sur" indique un "par delà" mais pour moi (et pour le dictionnaire encyclopédique que je vous ai cité précédemment) c'est un "par delà le temps présent".

Si vous avez un autre mot pour désigner "exister après le moment présent", je suis preneur.
Je comprends bien que pour vous un "caillou" ne peut "survivre" suivant la définition que vous employez, pourtant, comme je vous l'ai dit précédemment mais vous n'avez pas rebondi dessus : un bâtiment survit à un tremblement de terre.

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Pm inculte à vie en économie le 19/06/2019 à 14:30
Post monétaire a écrit le 19/06/2019 à 10h21

je vous ai déjà répond que la croissance zéro ou négative ou + 10 ne change rien au fait que les sociétés doivent se prendre des parts de marché, et que pour que l'un gagne, l'autre doit perdre (ces parts de marché).

Vous en avez un exemple avec le média LYONMAG qui s'inquiète de la venue de BFM TV sur lyon parce qu'il risque de "prendre des parts du marché publicitaire" au groupe Espace, qui possède LYONMAG.

Le taux de croissance ne permet pas de comprendre ce problème, par contre, la somme des balances extérieures de tous les pays, permet de comprendre que pour que l'un gagne, l'autre doit perdre.

Vous êtes sûr d'avoir eu des cours d'économie un jour, vous ?
:o)

Jouer les pseudo experts quand on ne sait pas qu une balance commerciale d un pays n est qu un indicateur et intermédiaire de sa croissance et de son pib qui est le resultat final de sa richesse montre bien votre niveau 0 en économie

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J Lutars le 19/06/2019 à 10:32
Zig a écrit le 18/06/2019 à 22h32

Question de PM:
"et qui croit que la survie ne passe que par des réactions au danger, sans voir la partie recherche de bien-être...
?"
=======================================================
Ma réponse:
OUI, je crois que la survie ne se met en place que pour compenser une situation de danger. La survie, c’est le résultat de la « fuite » de ce danger.
Et bien entendu on fuit dans le but d’atteindre un certain mieux être que nous ne sommes pas arriver à atteindre dans la vie de tous les jours.

Quant à la vie, vivre et non survivre, c’est lutter et tenter de vaincre (sans forcément y arriver) ce danger.

Le fameux instant T que PM ne définit pas, ce n’est rien d’autre je pense que l’instant où ce danger devient tellement important et insupportable qu’il peut faire basculer votre vie vers la mort.

Et survivre, ce serait continuer d’exister après cet instant T où on est censé mourir.

Cela se fait parfois naturellement, certaines personnes, sans que la science n’ait d’explications, survivent à des maladies graves et sont encore en vie là où tout le monde pensait qu’elles seraient mortes.

Cela peut se faire par la force physique et, ou, de persuasion, (morale, psychologique, religieuse, etc…) en luttant avec succès contre le mal.

Ou cela peut se faire en s’inventant une survie qui met un terme à tout ce qui nous fait souffrir dans notre vie de tous les jours.

D’une maniére generale je crois que certains personnes ne supportant plus leur vie telle qu'elle est peuvent avoir le sentiments de mourir, donc d’être en danger, s’ils ne changent pas de cap, mais ne trouvant pas les ressources necessaires à ce changement, ils pourraient souhaiter mettre un terme à cette vie sans pour autant se suicider.

Une solution possible pour cela serait de se construire une vie au-dessus de celle que l'on a déjà.
Une « Sur-Vie » pour assurer sa survie et mettre un terme au danger de sa vie insatisfaisante.

L’idée dans ce cas là, c’est bien de fuir le danger d’une vie insatisfaisante pour aller si possible vers un ailleurs meilleur avec les moyens que l’on a en sa possesion.

Donc pour moi, c'est évident, vouloir survivre, c'est une réaction face au danger, c'est vouloir mettre un terme à sa vie mortifère quand on arrive pas à l’améliorer, la changer.
C’est se mettre en place une survie, que l’on imagine meilleur pour son bien être que sa vie actuelle.

Mais ce n’est pas vivre.

Ces cas de fuite des dangers de la vie en s’inventant une survie seraient par exemple l’histoire de certains de ces surdoués ultra sensibles qui même en connaissant un énorme succés dans ce qu’ils réalisent. Et ne voyant pas arriver malgré cela le changement qu’ils esperaient dans leur vie, pourraient être tentés de survivre en s’adonnant par exemple à divers addictions (alcool, drogues, jeux …) qui adouciraient leur mal être et leurs apporteraient un certain plaisir de vivre tout en leur faisant oublier leur vie mortellement insatisfaisante.
Il y a une multitude d’exemples chez les stars, les artistes, etc…
Ce seraient leur mode de survie.

Cela pourrait aussi être le cas de dangereux pervers qui ne pouvant trouver ce qu’ils attendent de la vie dans un mode de fonctionnement normal, sombrent dans la perversion pour survivre et deviennent par exemple des serial killer.

Ca pourrait tout simplement être le cas de Madame Monsieur tout le monde.

Est-ce cela le survisme ?
Expliquez comment et pourquoi, pour fuir le danger, certains preferrent survivre que vivre ?

Je ne saurais que trop vous conseiller l'excellent film "Vivre pour survivre" de Jean-Marie Pallardy :

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=181410.html

Ce film précurseur a influencé toute une génération de survistes. Le passage freudien concernant la mort des parents des protagonistes est néanmoins à prendre avec des pincettes

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Post monétaire le 19/06/2019 à 10:21
@schtroumpf inculte a écrit le 18/06/2019 à 15h21

et la croissance mondiale de tous les pays depuis l'antiquité est 'elle toujours à 0 puisque si l'un gagne l'autre perd????
bon à prendre des cours dès le collège...

je vous ai déjà répond que la croissance zéro ou négative ou + 10 ne change rien au fait que les sociétés doivent se prendre des parts de marché, et que pour que l'un gagne, l'autre doit perdre (ces parts de marché).

Vous en avez un exemple avec le média LYONMAG qui s'inquiète de la venue de BFM TV sur lyon parce qu'il risque de "prendre des parts du marché publicitaire" au groupe Espace, qui possède LYONMAG.

Le taux de croissance ne permet pas de comprendre ce problème, par contre, la somme des balances extérieures de tous les pays, permet de comprendre que pour que l'un gagne, l'autre doit perdre.

Vous êtes sûr d'avoir eu des cours d'économie un jour, vous ?
:o)

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Zig le 18/06/2019 à 22:32
Post monétaire a écrit le 17/06/2019 à 14h43

"...................Montrer le contraire de quoi ? ...................."

qu'on peut être psychanalyste freudien, lacanien, etc, et demander une certaine somme à chaque séance pendant des années, sans avoir aucun diplôme de psychologie.



"..................Qui ici joue sur la suspicion des psychanalystes si ce n'est vous pour mieux cacher votre peur de ceux-ci ?.................."

non, aucune suspicion telle que vous la pratiquez avec vos multiples pseudos complètement anonymes.
Lorsque je parle de leur approche avec leurs théories basées sur des mythes grecques, j'explique pourquoi ce sont des erreurs d'analyse.


Mais à quoi bon parler avec une personne (mais êtes-vous toujours la même personne sous "zig" vu que votre pseudo n'est pas référencé sur ce site ?)
qui refuse catégoriquement de voir que la survie peut aussi s'appliquer sur un bâtiment, sur des idées, et plein d'autres choses non "vivante"....

et qui croit que la survie ne passe que par des réactions au danger, sans voir la partie recherche de bien-être...
?

Question de PM:
"et qui croit que la survie ne passe que par des réactions au danger, sans voir la partie recherche de bien-être...
?"
=======================================================
Ma réponse:
OUI, je crois que la survie ne se met en place que pour compenser une situation de danger. La survie, c’est le résultat de la « fuite » de ce danger.
Et bien entendu on fuit dans le but d’atteindre un certain mieux être que nous ne sommes pas arriver à atteindre dans la vie de tous les jours.

Quant à la vie, vivre et non survivre, c’est lutter et tenter de vaincre (sans forcément y arriver) ce danger.

Le fameux instant T que PM ne définit pas, ce n’est rien d’autre je pense que l’instant où ce danger devient tellement important et insupportable qu’il peut faire basculer votre vie vers la mort.

Et survivre, ce serait continuer d’exister après cet instant T où on est censé mourir.

Cela se fait parfois naturellement, certaines personnes, sans que la science n’ait d’explications, survivent à des maladies graves et sont encore en vie là où tout le monde pensait qu’elles seraient mortes.

Cela peut se faire par la force physique et, ou, de persuasion, (morale, psychologique, religieuse, etc…) en luttant avec succès contre le mal.

Ou cela peut se faire en s’inventant une survie qui met un terme à tout ce qui nous fait souffrir dans notre vie de tous les jours.

D’une maniére generale je crois que certains personnes ne supportant plus leur vie telle qu'elle est peuvent avoir le sentiments de mourir, donc d’être en danger, s’ils ne changent pas de cap, mais ne trouvant pas les ressources necessaires à ce changement, ils pourraient souhaiter mettre un terme à cette vie sans pour autant se suicider.

Une solution possible pour cela serait de se construire une vie au-dessus de celle que l'on a déjà.
Une « Sur-Vie » pour assurer sa survie et mettre un terme au danger de sa vie insatisfaisante.

L’idée dans ce cas là, c’est bien de fuir le danger d’une vie insatisfaisante pour aller si possible vers un ailleurs meilleur avec les moyens que l’on a en sa possesion.

Donc pour moi, c'est évident, vouloir survivre, c'est une réaction face au danger, c'est vouloir mettre un terme à sa vie mortifère quand on arrive pas à l’améliorer, la changer.
C’est se mettre en place une survie, que l’on imagine meilleur pour son bien être que sa vie actuelle.

Mais ce n’est pas vivre.

Ces cas de fuite des dangers de la vie en s’inventant une survie seraient par exemple l’histoire de certains de ces surdoués ultra sensibles qui même en connaissant un énorme succés dans ce qu’ils réalisent. Et ne voyant pas arriver malgré cela le changement qu’ils esperaient dans leur vie, pourraient être tentés de survivre en s’adonnant par exemple à divers addictions (alcool, drogues, jeux …) qui adouciraient leur mal être et leurs apporteraient un certain plaisir de vivre tout en leur faisant oublier leur vie mortellement insatisfaisante.
Il y a une multitude d’exemples chez les stars, les artistes, etc…
Ce seraient leur mode de survie.

Cela pourrait aussi être le cas de dangereux pervers qui ne pouvant trouver ce qu’ils attendent de la vie dans un mode de fonctionnement normal, sombrent dans la perversion pour survivre et deviennent par exemple des serial killer.

Ca pourrait tout simplement être le cas de Madame Monsieur tout le monde.

Est-ce cela le survisme ?
Expliquez comment et pourquoi, pour fuir le danger, certains preferrent survivre que vivre ?

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@schtroumpf inculte le 18/06/2019 à 15:21
schtroumpf Savant a écrit le 18/06/2019 à 13h57

Et sinon la somme totale des balances du commerce extérieur de tous les pays elle est égale à zéro ou pas ?

o:)

et la croissance mondiale de tous les pays depuis l'antiquité est 'elle toujours à 0 puisque si l'un gagne l'autre perd????
bon à prendre des cours dès le collège...

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Laissons le pouvoir à l'abominable le 18/06/2019 à 14:16
schtroumpf Savant a écrit le 18/06/2019 à 13h57

Et sinon la somme totale des balances du commerce extérieur de tous les pays elle est égale à zéro ou pas ?

o:)

ce soir : https://www.lemonde.fr/culture/article/2019/06/18/cash-investigation-le-gout-amer-des-graines-de-tomate_5477654_3246.html

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Fricos le 18/06/2019 à 14:09
schtroumpf Savant a écrit le 18/06/2019 à 13h57

Et sinon la somme totale des balances du commerce extérieur de tous les pays elle est égale à zéro ou pas ?

o:)

Et la croissance infinie dans un monde limité qu'est la planète ?

Les savants LM vont avoir beaucoup de mal à répondre à ces questions.

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schtroumpf Savant le 18/06/2019 à 13:57
Pm incompétent pour comprendre a écrit le 18/06/2019 à 09h11

Pm vient encore de prouver qu il est nul en économie en passant son temps à chercher quelques (rares) économistes partisans de la décroissance qui remonte au rapport de Meedow de 1972 "halte à la croissance".
Il confond encore décroissance et suppression de la monnaie dont la 2 eme hypothèse n est que fantasme dystopique du marginal.
Pour l auteur suisse qu il cite dont l université de Geneve profite à bien de l investissement monétaire suisse, il n 'a sans doute pas comprus non plus que la décroissance négative n est pas cherchée mais bien une croissance économique vertueuse ou "qualitative"
On peut comprendre alors la propagande politique de Pm pour faire croire à un destin différent des autres partis mais on sait bien que le manipulateur du forum n en est pas à son 1 er coup d 'essai (manqué)

Et sinon la somme totale des balances du commerce extérieur de tous les pays elle est égale à zéro ou pas ?

o:)

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Pm incompétent pour comprendre le 18/06/2019 à 09:11
Post monétaire a écrit le 17/06/2019 à 15h34

Il y a ceux qui disent qu'être postmonétaire, c'est être "fou", être "nul en économie", être "violent", être "dictateur"... etc
mais ce sont les opposants aux points de vue postmonétaire, qui sont :
violents,
https://www.mediapart.fr/journal/international/040619/marseille-policier-lbd-tir-tete-mineur-14-ans
nuls en économie :
https://journals.openedition.org/articulo/884
et dangereux pour la démocratie :
https://www.marianne.net/politique/pour-le-patron-de-lrem-le-referendum-d-initiative-citoyenne-est-forcement-dangereux

LREM, LR, FN RN, PC, etc, n'ont aucune solution aux problèmes actuels.
Il est temps de mettre dans le débat de société, la possibilité d'une civilisation de l'accès, après avoir bien compris les impasses nocives d'une société monétaire.
www.voter-a-m.fr

Pm vient encore de prouver qu il est nul en économie en passant son temps à chercher quelques (rares) économistes partisans de la décroissance qui remonte au rapport de Meedow de 1972 "halte à la croissance".
Il confond encore décroissance et suppression de la monnaie dont la 2 eme hypothèse n est que fantasme dystopique du marginal.
Pour l auteur suisse qu il cite dont l université de Geneve profite à bien de l investissement monétaire suisse, il n 'a sans doute pas comprus non plus que la décroissance négative n est pas cherchée mais bien une croissance économique vertueuse ou "qualitative"
On peut comprendre alors la propagande politique de Pm pour faire croire à un destin différent des autres partis mais on sait bien que le manipulateur du forum n en est pas à son 1 er coup d 'essai (manqué)

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Anti post-monétaire ? le 18/06/2019 à 06:14
Post monétaire a écrit le 17/06/2019 à 15h34

Il y a ceux qui disent qu'être postmonétaire, c'est être "fou", être "nul en économie", être "violent", être "dictateur"... etc
mais ce sont les opposants aux points de vue postmonétaire, qui sont :
violents,
https://www.mediapart.fr/journal/international/040619/marseille-policier-lbd-tir-tete-mineur-14-ans
nuls en économie :
https://journals.openedition.org/articulo/884
et dangereux pour la démocratie :
https://www.marianne.net/politique/pour-le-patron-de-lrem-le-referendum-d-initiative-citoyenne-est-forcement-dangereux

LREM, LR, FN RN, PC, etc, n'ont aucune solution aux problèmes actuels.
Il est temps de mettre dans le débat de société, la possibilité d'une civilisation de l'accès, après avoir bien compris les impasses nocives d'une société monétaire.
www.voter-a-m.fr

Encore une analyse à la Chinal, c'est à dire forcément juste selon lui.

Vous pointez avec vos liens des faits que vous estimez anti post-monétaire alors que c'est vous Monsieur Chinal qui êtes opposé à leurs auteurs et pas forcément l'inverse.

Il faut vous détendre un peu.

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Zig le 17/06/2019 à 21:36
Post monétaire a écrit le 17/06/2019 à 14h43

"...................Montrer le contraire de quoi ? ...................."

qu'on peut être psychanalyste freudien, lacanien, etc, et demander une certaine somme à chaque séance pendant des années, sans avoir aucun diplôme de psychologie.



"..................Qui ici joue sur la suspicion des psychanalystes si ce n'est vous pour mieux cacher votre peur de ceux-ci ?.................."

non, aucune suspicion telle que vous la pratiquez avec vos multiples pseudos complètement anonymes.
Lorsque je parle de leur approche avec leurs théories basées sur des mythes grecques, j'explique pourquoi ce sont des erreurs d'analyse.


Mais à quoi bon parler avec une personne (mais êtes-vous toujours la même personne sous "zig" vu que votre pseudo n'est pas référencé sur ce site ?)
qui refuse catégoriquement de voir que la survie peut aussi s'appliquer sur un bâtiment, sur des idées, et plein d'autres choses non "vivante"....

et qui croit que la survie ne passe que par des réactions au danger, sans voir la partie recherche de bien-être...
?

En général, 2 sur 3 de mes messages se perdent dans les tuyaux avant de paraitre derrière ceux de PM. (copions collons au cas où).

"Mais à quoi bon parler avec une personne (mais êtes-vous toujours la même personne sous "zig" vu que votre pseudo n'est pas référencé sur ce site ?)
qui refuse catégoriquement de voir que la survie peut aussi s'appliquer sur un bâtiment, sur des idées, et plein d'autres choses non "vivante"....

et qui croit que la survie ne passe que par des réactions au danger, sans voir la partie recherche de bien-être...
?"
=====================================================
C'est tout à fait du Chinal ca, refuser de dialoguer avec quelqu'un qui refuse de croire en votre approche.

J'ai déjà remarqué effectivement que vous refusiez tout dialogue avec ceux qui ne partagent pas votre avis, vous êtes du genre inflexible comme mec.

La disserte de PHILO de ce matin au BAC (tien, je croyais qu'on ne faisait pas de philo à l'école) sur un texte de FREUD (tient je croyais qu'on ne faisait pas de psycho à l'école) qui parle des avancées et erreur de la science vous aurait sans doute (pas dit d'ailleurs!) interpellé.

Tost les scientifiques dignes de ce nom, sauf vous je crois, acceptent l'idée qu'ils fassent des erreurs , et que ce qu'ils disent aujourd'hui peut s'avérer faux et totalement incomplet et demain être remit en cause.

Sauf le survisme bien sur, enfin pas temps que vous serez en vie.

La survie, et votre définition de la survie sont 2 choses totalement différentes.

Dans toute approche scientifique, il y a des définitions, en mathématique, quand les mathématiciens parlent de l'impulsion de Dirac, Monsieur Dirac existe, et la definition de l'impulsion qui porte son nom aussi (même si l'impulsion en elle même semble improbable).

Et l'avantage c'est que la définition de l'impulsion de Dirac ne concerne que elle (d'où son nom), donc elle est vraie pour elle même.

Tandis que vous, en bon scientifique logicien, vous empruntez des mots ayant des définitions précises, et vous vous les appropriez pour définir votre approche...

Mais pour le survisme, vous changez les définitions sans dire exactement en quoi.

Comme survie:
"tout élément survit, c'est à dire a une existence qui continue après l'instant T tant que rien ne vient détruire cet élément"

Pour vous cette définition semble claire, mais en réalité, elle ne veut rien dire de notable, de crucial, et surtout ne se raccroche à aucune définition réelle de survivre.

C'est donc une définition de survivre propre au survisme (puisque nul part elle est similaire) et qui ne veut rien dire.

Vous ne définissez pas l'instant T mis à part que c'est l'instant "présent".
Le survisme dit "c'est une existence qui continue après l'instant présent", et comme l'instant présent change en permanence, nous somme constamment en survie même si on ne fait rien pour l'être.

Et même si nous vivions, tout simplement, tant que nous sommes en vie, aprés l'instant présent tant que rien ne vient nous détruire.

Donc nous sommes en survie de la même façon que nous sommes en vie, il y a redondance, vie ou survie ne sert à rien

C'est donc une belle définition du rien qui continue dans le tout de l'instant T à l'instant présent!

Mais surtout, il ne faut pas critiquer ce coup de magicien (tant que c'est du spectacle) ou charlatan (si cela s'applique à la vie de tous et de tout les jours).



Si j'en crois vos remarques ("Mais à quoi bon parler avec une personne
... qui refuse catégoriquement de voir que la survie peut aussi s'appliquer sur un bâtiment..." oser dénoncer vos définitions incorrectes, et ne pas en démordre, c'est avoir catégoriquement (et à 100%) tort.

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Post monétaire le 17/06/2019 à 15:34

Il y a ceux qui disent qu'être postmonétaire, c'est être "fou", être "nul en économie", être "violent", être "dictateur"... etc
mais ce sont les opposants aux points de vue postmonétaire, qui sont :
violents,
https://www.mediapart.fr/journal/international/040619/marseille-policier-lbd-tir-tete-mineur-14-ans
nuls en économie :
https://journals.openedition.org/articulo/884
et dangereux pour la démocratie :
https://www.marianne.net/politique/pour-le-patron-de-lrem-le-referendum-d-initiative-citoyenne-est-forcement-dangereux

LREM, LR, FN RN, PC, etc, n'ont aucune solution aux problèmes actuels.
Il est temps de mettre dans le débat de société, la possibilité d'une civilisation de l'accès, après avoir bien compris les impasses nocives d'une société monétaire.
www.voter-a-m.fr

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