Fatiha, originaire de Saint-Priest, est obligée de rencontrer ses deux fils dans un lieu neutre une fois par mois et en région parisienne. Depuis lundi soir, les trois parents réclament la réouverture de leurs dossiers pour obtenir un droit de garde alternée. Une banderole "Egalité parentale pour nos enfants, monoparentalité stop!" a été déployée sur le toit de cet ancien puits de mine.