Conseil général Tout est possible

Conseil général Tout est possible

La gauche devrait maintenir ses positions voire les renforcer au conseil général. Avec une hypothèse basse où elle garderait 23 sièges comme aujourd'hui si le PS se contente de gagner un canton supplémentaire à Lyon tout en perdant celui de Condrieu.

Et une hypothèse haute à 28 sièges si le PS ne perd pas le canton de Condrieu en conquérant cinq nouveaux cantons : un de plus à Lyon mais aussi ceux de Décines, Tassin et Saint-Genis-Laval.
Un score historique qui lui offrirait alors la majorité au conseil général mais qui reste un pari difficile à tenir. D’autant plus que l’UMP qui progresse pourrait avoir entre 12 et 17 élus contre 11 actuellement. L’hypothèse basse impliquant uniquement une victoire à Caluire. Alors que l’hypothèse haute exige que la droite gagne aussi à Limonest, Ecully, Tassin, Condrieu et Saint-Genis-Laval.
Enfin, le groupe centriste de Michel Mercier qui ne peut que baisser pourrait passer de 18 à 15 conseillers généraux s’il perd Caluire, Saint-Genis-Laval, Tassin. Mais un effondrement n’est pas exclu avec seulement 13 élus si les centristes de Michel Mercier perdent les cantons de Limonest et d’Ecully.
Difficile aujourd’hui de faire des pronostics compte tenu des résultats du 1er tour. Mais on peut envisager qu’au soir du second tour, la gauche totalise au minimum 25 élus grâce à une victoire à Lyon et Décines alors que l’UMP pourrait avoir au minimum 14 cantons avec la conquête de Caluire, Condrieu et Saint-Genis-Laval. En revanche, UDF pourrait limiter son recul en conservant 15 sièges car les centristes qui ont déjà perdu Caluire, pourraient résister à Limonest et Ecully.
Dans tous les cas de figures, la gauche deviendrait alors la principale force politique du conseil général avec un centre affaibli et un UMP sensiblement renforcé. Mais la situation reste imprévisible. Car Michel Mercier a refusé de passer un accord de désistement avec la droite ou la gauche. Ce qui laisse la porte ouverte à toutes les alliances ou les débauchages pour la conquête de la présidence du conseil général que Michel Mercier aura du mal à conserver.

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1 commentaire
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Robert le 08/09/2009 à 10:42

Il gaspille l'argent du contribuable avec son musée pharaonique qui dépasse tous les engagements et ne tient aucune promesse. De 109 millions à 176 millions d'euros. Ou s'arrêtera t-on ? Qu'il dégage !

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