Grève aux TCL : le réseau sera très perturbé ce vendredi

Bah t'es un branleur!!!!

Jojo t'as oublié la retraite à 44 ans et demi !
J'tavais dis de pas reprendre un autre pastis ! après t'oublies tout.

Bonjour Laurent pas TCL

ok !!! Certains disent que nous sommes des branleurs, des fonctionnaires,(sympa pour eux) des cons, des planqués, bref tous ce que vous voulez ... ok ça c'est bon !!
Alors maintenant vous proposez quoi ?

L'objectif étant de ne pénaliser personne, et de faire entendre nos revendications en restant bien sur dans le cadre Légal !!

NON JE N'AI PAS HONTE de faire grève comme beaucoup d'autres professions et de défendre mes DROITS !!!!

cordialement

Tu rigole avec les bounty, mais on m'a déjà fait le coup ha ha
Cette bande de bouffon, y'a vraiment des managers qui n'ont pas peur des claques ha ha
200€ de bouffe plutôt qu'une prime de 200€ dégueulasse...

et on vous apporte des mars, un bounty et des filles aussi!

on devrait tous se cotiser pour les pauvres des TCL.. prenons sur nos économies, sur nos assedic, aidons ces pauvres chauffeurs.
je suis si triste pour vous.

MAIS VOUS N'AVEZ PAS HONTE?

Pleins de choses sympas....

Ricard ?

Bonjour

Y a rien de vite dit !!! On parle de Lyon et pas de Marseille !!!

La loi oblige dans le cadre du service minimum, à poser un préavis puis oblige les salariés à déclarer leurs intentions à l'entreprise. c'est ce que nous avons faits !!

Ensuite c'est à L'ENTREPRISE d'organiser l'exploitation avec les effectifs présents afin d'organiser le service minimum !!! (Là en cas de mécontentements il faut voir KEOLIS)

Nous avons respecté la LOI et soyez rassuré si ce n'était pas le cas l'entreprise se chargerait de faire le nécessaire et ça serait normal !!!

Concernant les autres moyens, vos propositions seront le bienvenue à partir du moment ou l'aspect légal est respecté !!!

Perso moi j'aimerais pouvoir faire de la gratuité, malheureusement si je le faisais je serait en tort !!!

Cordialement

Autrefois l'un des acteurs majeurs de la Toile, Lycos a décidé de vendre ses propriétés intellectuelles avant de repenser sa stratégie.

La Bourse de Paris figée par des PMI décevants en Europe

Les moyens légaux c'est vite dit, disons que les syndicats savent bien exploités une situation juridique très favorable au gréviste fonctionnaire ou gréviste fonctionnaire assimilé, qu'ils sont passés maître dans l'art de contourner la notion de service minimum.

Il y a quelques années vos collègues marseillais pour tenir la grève se sont massivement mis en arrêt maladie. (Epidémie de grippe soudaine)
Celui qui faisait grève la semaine 1 était remplacé par celui en maladie la semaine 2.
Ce n'est pas illégal en soit mais ce sont des méthodes de voyous qui décrédibilisent votre profession.

Je suis persuadé qu'il y a d'autres moyens de vous faire entendre que de pénaliser sans cesse les usagers.

Nous ce kon veut c'est la semaine de 3 jours, 17 semaines de congés payés, et un CE qui nous paye des voyages et du champ' pour les vacances !
La France est riche et y a pas raison qu'on soit pas tous comme ceux de la SNCM, de la SNCF et même comme nos confrères cheminots Grecs !
Y a qu'à prendre aux riches et donner aux pov' comme nous les chauffeurs TCL !
C'est la lutte finale !

A LYON, les TCL et les HCL ont beaucoup d'avantages par rapport à d'autres secteurs. Tant mieux pour eux, le but de nos élus devrait être
d'amener tout le monde au même niveau d'avantages et non de faire le contraire.

Bonjour

Le mécontentement est une chose, mais vos propos sont triste !!!

Le con, borné, fainéant et malhonnête, que je suis d'après vos propos, vous informe que c'est la direction de KEOLIS qui met en place le service minimum et non pas les salariés !!! alors n'hésitez pas à exprimer votre mécontentement mais aux bonnes personnes !!!

Cordialement

Je trouve cet article très pertinent mais pense qu'il devrait plutôt s'intituler "Comment gérer un employé tire-au-flanc ?", sans quoi on peut s'attendre à des conseils pour gérer un collègue de même niveau hiérarchique dont la fainéantise nous impose par exemple une surcharge de travail... Or au même niveau hiérarchique, le niveau de contrôle est bien moindre alors que les effets sont au moins aussi dévastateurs.

Profitez par exemple d’une réunion pour valider officiellement sa prise en charge d’un dossier. « En s’engageant devant plusieurs personnes, il lui sera, par la suite, plus compliqué de se rétracter », argumente l’auteur de Comment dire à un collègue qu’il sent mauvais sous les bras (Leduc.S, 2012). De même, confiez-lui des projets à haute visibilité. Pris sous le feu des projecteurs, il lui sera alors impossible de se défiler.

S’il traine des pieds c’est peut-être parce qu’il ne comprend pas sa valeur ajoutée dans l’organisation, qu’il n’a pas d’objectif clair. Donc à vous de le faire se sentir indispensable en activant des techniques d’engagement. Démontrez lui concrètement quel est son intérêt à accepter cette mission, à tenir ses objectifs, même mieux, à les dépasser.

Face à tant flemmardise, le premier réflexe est parfois de s’énerver. Mauvaise idée. Celui qui joue de sa force d’inertie aura tendance à en rajouter s’il sent qu’il vous énerve. Donc, gardez votre calme. Ne criez pas ! Au risque de passer pour l’hystérique de service.

Les signes extérieurs des tire-au-flanc ? Le plus évident est qu’on les croise sans cesse dans le couloir, à la machine à café ou en bas de l’immeuble en train de fumer, ou de tenir le crachoir aux fumeurs. D’autres cachent mieux leur jeu en pratiquant l’évitement ou en se déclarant systématiquement incompétents dès qu’on leur propose une mission qui sort un peu de leur job habituel. Ils sont peu disponibles et clament haut et fort (et fréquemment) qu’ils sont surchargé de boulot. Voilà pour le portrait-robot. Reste à les gérer.

1/ J'ai signé un contrat sans couteau sous la gorge !! En revanche les conditions se sont dégradées et ça c'était pas prévu a la signature !!!!

2/ J'ai rien a prouver !!! je dis juste être dans la moyenne contrairement à ce que certains pensent !!!

3/ Effectivement nous ne travaillons pas 24h/24h et vous avez raison dans notre ville c'est 364 jours/ 365 jours désolé !!! mais si vous voulez exprimer votre mécontentement adressez-vous au SYTRAL qui est l'autorité organisatrice et pas à KEOLIS !!!!

"Pas trop vite le matin et dodo le soir" Je ne me sens pas concerné !!!!

4/ J'ai pas besoin d'un syndicat pour voir mes conditions de travail se dégrader !!!!

5/ Effectivement les Lyonnais sont mécontents et c'est très compréhensible mais sur le fond après explications ils comprennent que nous utilisons les moyens Légaux à notre disposition, pour nous faire entendre !!!

Je rappel également que nous sommes une société PRIVE et que nous ne sommes pas fonctionnaire !!!

Cordialement

Laissez le travail aux autres, mais recueillez-en les lauriers. Utilisez la sagesse, le savoir et le travail des autres pour faire avancer votre propre cause. Non seulement cette aide vous fera gagner une énergie et un temps précieux, mais elle vous conférera une aura quasi divine d’efficacité et de diligence. À la fin, vos collaborateurs seront oubliés et on ne se souviendra que de vous. Ne faites jamais ce que les autres peuvent faire à votre place.

Créez une mystique. Les êtres humains ont un irrésistible besoin de croire en quelque chose. Devenez l’épicentre de ce désir en leur offrant une cause à soutenir, une nouvelle foi à suivre. Vos paroles doivent être vagues mais pleines de promesses ; mettez l’accent sur l’enthousiasme plutôt que sur la rationalité. Donnez à vos disciples des rituels à accomplir, demandez-leur des sacrifices. En l’absence d’une religion organisée et de grandes causes, votre nouveau système de croyance vous apportera un inestimable pouvoir.

Fayotez, fayotez sans réserve ! Vous irez mieux. Vous cesserez de gaspiller votre énergie dans des actions de bravoures grotesques. Vous travaillerez deux fois moins. Et votre carrière ressemblera enfin à quelque chose.

« La pire réaction serait de s’emporter et de lâcher des mots qui ne serviraient à rien », prévient Sophie Letourneau, consultante chez Coaching time. Mais cette coach assure que la situation n’a sûrement rien de désespéré. Adepte de la communication non violente, elle assure que l’on peut manager son manager en utilisant la méthode OSBD (observation, sentiment, besoin, demande). « On peut ainsi le pousser à faire son travail de manager en lui expliquant, avec les formes, qu’il y a des délégations que l’on n’a pas envie d’accepter. On commence par faire une observation précise, on décrit les sentiments que cela suscite, on exprime un besoin et on formule une demande concrète pour contribuer à améliorer la relation avec le manager. »

Ce sont toutes les situations dans lesquelles le collaborateur se sent inutile parce qu’il n’est pas reconnu. On parle d’isolement quand les contacts avec sa hiérarchie, mais aussi ses collègues, s’amenuisent. Il ne peut plus échanger sur ses performances, est mis à l’écart lorsque le travail se fait en équipe. Jean-Claude Delgènes cite l’exemple d’un cadre qui s’était retrouvé avec des collègues issus d’une école concurrente de la sienne, et qui le mettait volontairement à l’écart. « Même à la cantine, il était seul. » La mise au placard concerne le cadre en fin de carrière, à qui l’on fait comprendre qu’il est temps de partir en ne lui confiant plus de mission. Au fur et à mesure, il n’a plus rien à faire quand il arrive au bureau. Et de manière générale, le manque de reconnaissance est l'absence de félicitations et remerciements de la part du manager. Cela peut faire perdre toute envie de se dépasser, le collaborateur finit par aller travailler « parce qu'il le faut. »

Le salarié occupe une fonction qui ne correspond pas à ses compétences. Il boucle ses dossiers en quelques heures et n’est pas assez stimulé. « Cela se produit beaucoup dans la fonction publique », explique Jean-Claude Delgènes, qui cite l’exemple d’un employé territorial de classe C agrégé de philosophie. Les concours d’entrée sont difficiles et hyper-sélectifs, mais les tâches à effectuer redondantes et mécaniques. Il y a cinq ans déjà, l’auteure du livre Absolument dé-bor-dée !, employée territoriale avouait au Figaro avoir raconté son histoire « pour échapper à l'ulcère et à la dépression, mais aussi pour ne pas périr d'ennui ».

« Certains métiers sont intrinsèquement porteurs de bore-out », explique Jean-Claude Delgènes, fondateur du cabinet spécialisé en prévention des risques psychosociaux Technologia. Par exemple : agent de sécurité, hôte d’accueil… Soit les tâches sont répétitives, soit les journées sont peu rythmées. Il faut être fait pour ce travail, car celui qui effectue ses tâches par défaut risque de vite défaillir.

Les carnets de commandes s’amenuisent. Le rythme de travail ralentit peu à peu. Et un beau jour, le salarié se rend compte qu’il ne vient au bureau que pour compter les heures. En période de crise économique, toute la chaîne de production est concernée. C’est ce que Valérie Cappronnier, chargée de mission hygiène, sécurité et sûreté constate au sein de l’entreprise où elle travaille. Et comme les chances de trouver un autre emploi sont moindres, le risque de bore-out est élevé.

Ainsi, 30% des personnes en emploi travaillaient plus d'une heure le samedi en 2010, contre 36% en 1986. Le dimanche, cette proportion est passée de 13% à 17% sur la même période. Et si l’on prend en compte les personnes qui ont déjà travaillé de manière habituelle ou occasionnelle le dimanche, cela représente « 31% des personnes en emploi en 2010

Au travail, il y a la fiche de poste, ce que l’on attend de vous, et tout ce que vous pouvez apporter en plus à votre entreprise. Pour ce faire, il faut garder un œil sur la concurrence, s’intéresser aux innovations en cours et engranger de nouvelles connaissances au quotidien. Un bon moyen également de garder votre esprit stimulé et en forme !

One étude tourne régulièrement sur Internet vantant les mérites supposés des gens au bureau mal rangé. Selon cette étude, les personnes bordéliques seraient plus productives au travail. Franchement, vous y croyez ? Non, bien sûr. Pour éviter de vous perdre dans vos différentes missions, classez vos documents, r

angez les de manière à les retrouver facilement et faites de votre bureau un espace agréable pour bien travailler.

Il est déstabilisant de ne pas avoir de planning précis pour sa journée. En créant votre to-do list et en la mettant à jour régulièrement, vous passerez outre ce sentiment de flottement. Pour bien la construire, assurez-vous que les tâches qui vous demandent le plus de concentration sont placées le matin quand vous êtes le plus en forme et baliser vos après-midis par du travail plus routinier, demandant moins d’effort intellectuel.

Vous pensez pouvoir mener de front plusieurs dossiers en même temps ? Au risque de vous décevoir, pour bien faire une il faut passer du temps dessus et ne pas se disperser. Si l’époque est au zapping et que dans le monde du travail, l’on vante les salariés portant plusieurs casquettes, ceux qui réussissent le mieux sont aussi les plus concentrés. Pour résumer : en réunion, lâchez votre téléphone et écoutez ce qu’il se dit vraiment !

Il n’est humainement pas possible de travailler 8 heures d’affilée. Une fois cela accepté, il faut apprendre à reconnaître les signes de fatigue et vous autoriser une pause salutaire pour mieux vous remettre dans l’exécution de vos tâches ensuite. Sortez prendre l’air, bavardez avec des collègues, étirez-vous le dos, reposez vos yeux, bref faites en sorte de vraiment repartir du bon pied quand vous retournez à votre bureau.

Pour être en forme toute la journée, après une bonne nuit de sommeil, on ne peut que vous conseiller de foncer sur vos chaussures de sport et entamez un réveil sportif. Cela implique naturellement de vous lever plus tôt durant votre semaine, mais cela vous aidera aussi à vous endormir le soir… Bref, une fois que vous avez bien sué, foncez sous la douche avant de prendre un petit déjeuner de champion !

Certes, il est parfois difficile de lâcher la télécommande pour retrouver sa couette. Pourtant, une majorité de Français se plaignent du manque de sommeil. Pour améliorer votre productivité, couchez-vous plus tôt, lisez quelques pages d’un bon roman plutôt que de poursuivre la lecture de votre série préférée et dormez de tout votre soûl.

Du côté de l’entreprise, instaurer une bonne ambiance dans les services ne nécessite pas forcément la mobilisation de gros moyens :

Saluer les collaborateurs, et les appeler par leur prénom contribue également à les valoriser.
Organiser des évènements : petits concours, expositions photos…
Mettre en place des services facilitant le quotidien des collaborateurs (conciergerie, crèche, restaurant d’entreprise, salle de sport…)
Cultiver le respect en parlant correctement à ses collaborateurs, même lorsque la situation est conflictuelle.
Faire confiance : l’autonomie laissée aux membres de l’équipe est une marque de confiance et une bonne manière de valoriser leurs compétences et leur travail.

Les collaborateurs entre eux peuvent participer à la bonne ambiance par des choses simples :

Dire bonjour en arrivant est le B.A.BA mais tous ne le font pas. Pourtant, ce premier échange matinal avec vos collègues donne le ton de la journée.
Etre de bonne humeur, ou ne pas se montrer trop souvent de mauvaise humeur car celle-ci est gravement contagieuse !
Faire de l’humour : une petite blague de temps en temps détend l’atmosphère. Attention toutefois à ne pas en abuser et passer pour le « lourd » de service.
Entretenir les rituels : pause-café, tour des bureaux le matin, déjeuner d’équipe… Tout cela participe à entretenir de bonnes relations entre collègues et à maintenir une bonne ambiance. Proposez-les aux membres de votre équipe.
Jouer franc-jeu : s’il n’est pas toujours évident de dire ce que l’on pense ou de soulever un problème, en parler rapidement permet de crever l’abcès et évite que l’ambiance tourne au vinaigre à cause des non-dits.
Oublier le mail de temps en temps : se déplacer et communiquer « IRL » - « in real life », traduction, en direct – avec ses collègues d’autres services est parfois salvateur et évite les malentendus.

Le salaire moyen ça ne veut rien dire.
Si Bill Gates rentre dans un bar de chomeurs et d'allocataires du RSA ça va exploser le revenu moyen mais ça ne va rien dire des disparités de revenus
D'où la nécessité de prendre le salaire médian.

Pour ce qui est du salaire médian, les TCL sont dans la moyenne haute.
Ils sont tout sauf à plaindre.
En fin de carrière, un chauffeur touche plus de 2000€ net et je ne compte pas tous les avantages en nature comme la gratuité des transports en commun au famille des chauffeurs (jusqu'à plusieurs milliers d'euros de cadeaux selon les familles)

Il y a 50% des actifs français qui touchent moins que les TCL et qui n'ont pas leur protection de quasi fonctionnaire. Se plaignent-ils ? Non
Absolument rien ne justifie ces grèves !

Pauvre petits chauffeurs TCL, c'est sûr qu'à coté des ouvriers du BTP qui meurent, qui ont des accidents graves, qui se font viré même pour inaptitude et qui n'ont plus de référent après pour trouver un job, que vous êtes à plaindre, olala

Chaque année je propose, chaque année elle préféré m'augmenter, je ne sais pas comment le prendre...

Faire grève est un droit certes. Mais paralyser des personnes qui doivent partir travailler non.

Pas augmenter ? Demander des avantages en nature, comme des relations avec votre patron !

Le salaire moyen en France s’élève à 2 157 euros net. Suffisant ? A vous de juger.

Selon la dernière étude publiée par le ministère du Travail, le salaire net moyen des Français s'élève à 2 157 euros (données 2012), en hausse de 1,6%. Mais dans le même temps, l'inflation a progressé de 2% faisant reculer leur pouvoir d'achat de 0,4 point, note la Dares. Et au vu du contexte économique, les augmentations devraient encore être limitées cette année. Pas forcément de quoi ravir les salariés...

La plupart des salariés pensent qu’il est possible de dire « non » à son patron, et plus de la moitié ont déjà exprimé un refus à leur employeur. Toutefois, beaucoup craignent que cette opposition ait une incidence néfaste sur leur carrière. Pourtant, la loi protège le salarié dans de nombreux cas de figure.

En moyenne, un salarié passe 1h53 par jour sur Internet au bureau dont 50 minutes sont consacrées à du surf personnel, l'équivalent de 25 jours par an.

Des recruteurs m’ont expliqué qu’ils recrutaient depuis 30 ans dans les mêmes écoles. Pour eux, ça semblait plus simple d’embaucher d’anciens élèves d’école de commerce plutôt que des profils venus d’autres horizons. Un autre se fiait à la poignée de main et au cirage des chaussures des candidats. Dans tous les cas, ces recruteurs estimaient ne s’être jamais trompés dans le choix des employés. Mais ont-ils réellement recruté les meilleurs ? Parce que c’est difficilement quantifiable, les entreprises ne se remettent pas en question. Au final pourtant, leur comportement les pénalise.

Plusieurs facteurs seront pris en compte par les entreprises pour mener leur politique salariale. Les salariés qui auront de plus fortes chances d'obtenir une augmentation devront maîtriser des compétences techniques et pouvoir mesurer leurs résultats (48,5%), démontrer une volonté d'apprendre et/ou d'évoluer (36%) mais aussi faire preuve de professionnalisme et d'un goût pour le travail d'équipe (35,5%).

D'autres facteurs suivent, parmi lesquels le temps écoule depuis la dernière augmentation (22,5%), la présence dans l'entreprise (20,5%) ou encore le risque de voir le salarié partir chez un concurrent (15,5%). La motivation arrive en dernière position (11%). Les salariés ne devront pas seulement prétendre être motivés mais le démontrer.

En général, les salariés n’écopent d’aucun retrait de points de permis en cas d’excès de vitesse. Une situation dénoncée par le Conseil national de la sécurité routière.