Laurent Wauquiez souhaitait profiter de cette mission pour mettre en avant le projet de campus européen du numérique à Charbonnières ainsi que l’accompagnement des entreprises d’Auvergne-Rhône-Alpes sur le marché américain.
Visites et rendez-vous ont donc rythmé ce déplacement au cours duquel des relations ont été établies avec de grands noms du numérique comme le réseau social professionnel Linkedln mais également avec Google que la Région aimerait convaincre d’investir à Lyon.
Laurent Wauquiez s’est également rendu à la Holberton School, l’école numérique de la Silicon-Valley, qui sera sans doute une source d’inspiration pour le futur site voulu par le président de Région, qui était d’ailleurs l’une de ses promesses de campagne.
Deviner qui a payer le voyage
Signaler RépondreBravo grognon MAIS LES PARTIS POLITIQUES N'EXISTENT PAS. !!!!!!! Même pas le F HAINE .
Signaler RépondreJe suis de droite... Mais un Vauquiez qui dit oui quand il s'agit de sujet qu'il ne connaît pas, mais qui sont politiques... Je n'en veux pas! Je ne vote pas pour lui... L'A45 est une énorme erreur d'orientation, qui n'aura aucune amélioration pour la Loire, mais qui satisfera leur ego . Le problème , c'est que si elle se fait, il sera trop tard !!!!
Signaler RépondreAuvergne ,Californie..même combat !!!
Signaler RépondreAvant d'avoir des idées, il ferait bien de bosser celui-là !
Signaler RépondreOn subit des grèves de la part de la SNCF depuis bientôt quatre mois, mais visiblement il a oublié que la Région est autorité régulatrice de transport...
Région qui impose des amendes à la SNCF en raison des grèves. Mais les abonnés n'en voient pas la couleur, de cet argent !
Rhône Alpes Auvergne : le peuple l'a choisi . La notion de démocratie de M. Wauquiez me donne la nausée et il a perdu ma voix . Un électeur de droite révolté !
Signaler RépondreSi ça marche aussi bien que ses fameux portiques!!!!
Signaler RépondreSilicon valley à la française, ça fait des années que les politiques essaient ici où là, mais ça ne fonctionne pas. Pourquoi ? parce qu'en Californie, il s'agit d'une concentration d'éditeurs de logiciels (culture de start-ups), alors qu'en France le marché du numérique est trusté par les ESN, qui vendent ... de la viande (des consultants) et assez peu de logiciel.
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