"J'ai beaucoup d'estime pour Bruno, mais la mission de président du FN et de candidat à la présidence du parti exige des qualités exceptionnelles, de maîtrise du stress, d'énergie", aurait déclaré le président du FN, en ajoutant : "Marine s'est préparée. Bruno est un professeur de langue japonaise, marié à une Japonaise. Il n'est pas formé à l'extériorisation. Et puis il a été victime d'un problème cardiaque important".
Quant aux promesses faites à Bruno Gollnisch de lui succéder, Jean-Marie Le Pen ne veut plus en entendre parler, rapporte encore Le Monde : "Le passé est le passé. Le choix d'un candidat doit tenir compte de la conjoncture".