Dimanche soir, le souverain pontife a donné une conférence de presse dans l'avion qui le ramenait au Vatican.
Les médias s'attardent aujourd'hui sur ses propos sur l'homosexualité ("Quand cela se manifeste dès l'enfance, il y a alors beaucoup de choses à faire par la psychiatrie pour voir comment les choses se présentent") et sur son refus de confirmer ou non s'il était au courant depuis 2013 des agissements du cardinal Theodore McCarrick, rattrapé par des affaires pédophiles.
Mais le pape François a aussi évoqué la pétition qui a été lancé par le père Vignon pour obtenir la démission du cardinal Philippe Barbarin. Elle recueillait ce lundi midi plus de 91 000 signatures. Le prêtre de Valence reproche à l'archevêque de Lyon d'avoir été, potentiellement, au courant des agissements de Bernard Preynat, accusé de viols et d'agressions sexuelles sur des scouts, et de ne pas avoir prévenu la justice.
"S'il y a des suspicions ou des preuves ou des demi-preuves, je ne vois rien de méchant à mener une enquête, a donc réagi à ce propos le pape François. À condition qu'elle se fasse sur le principe juridique fondamental "nemo malus nisi probetur": personne n'est mauvais jusqu'à ce qu'on le prouve".
Le chef de l'Eglise a soutenu Mgr Barbarin à sa façon en poursuivant : "Tant de fois, il y a la tentation, non pas seulement de mener l'enquête mais de publier une enquête et dire que tel ou tel est coupable. Certains médias commencent ainsi à créer une atmosphère de culpabilité". Le pape prenait ensuite comme exemples des prêtres espagnols injustement accusés d'agressions sexuelles il y a trois ans.
Vive Simone!!!!!
Signaler RépondreIl faut rester cohérent, l'église aime les petits enfants .... L'actualité nous le démontre tous les jours.
Signaler Répondre"Comment une femme pareille peut-elle se permettre de demander l'ouverture d'une mission parlementaire!
Signaler Répondre(Cette femme n'a jamais travaillé, elle n'a vécu que de l'argent des contribuables ou des étudiants)"
Drôle de raisonnement alors que vos laissez des hommes célibataires sans enfants et ayant fait voeux de chasteté imposer leurs dogmes sur la famille, l'éducation des enfants et la sexualité.
Montrez-moi la pétition de ROSSIGNOL et MIGNARD (Avocat... défenseur des familles des deux merdeux qui ont été se faire chramer dans un transfo EDF à Clichy / Bois...et qui ont ensuite accusé la Police d'être responsable!) demandant un commision d'enquête parlementaire sur l'UNEF
Signaler Répondre"Selon l'actuelle présidente de l'Unef, "c'est important que l'omerta se lève". Plusieurs femmes font état de harcèlement sexuel, d'agressions sexuelles et de viols commis entre 2007 et 2015 au sein du deuxième syndicat étudiant, selon de nouveaux témoignages publiés mardi 20 février par Libération.
En novembre, 83 femmes, anciennes syndicalistes de l'Union nationale des étudiants de France (Unef) avaient déjà signé une tribune dans le Monde pour dénoncer les violences sexistes et sexuelles au sein de cette organisation proche du PS.
Libération indique avoir recueilli le témoignage de 16 militantes se disant victimes de harcèlement et, pour certaines, d'agressions sexuelles et de viols. Le quotidien publie notamment le témoignage d'une militante qui accuse un "membre de la direction du syndicat entré à l'Unef au milieu des années 2000" de l'avoir violée à La Courneuve (Seine-Saint-Denis) en septembre 2014, puis une deuxième fois en juin 2016, à Paris. Elle aurait porté plainte en janvier.
"Un terrain de chasse sexuelle"
D'après Libé, un étudiant entré dans l'organisation "au milieu des années 2000" aurait par ailleurs commis un viol à l'été 2015 sur une jeune militante qui a déposé une main courante le 17 mars 2016 à Paris.
Plus généralement, l'article décrit une organisation où les jeunes militantes étaient la cible de pressions insistantes, notamment sous la présidence de Jean-Baptiste Prévost (2007 -2011) marquée, selon le quotidien, "par une multitude de dérives". L'Unef était "alors un terrain de chasse sexuelle", écrit le journal.
Une autre femme, ancienne petite amie de ce responsable, affirme elle aussi avoir été violée en juillet 2014. Selon le quotidien, elle "s'apprête" à porter plainte à son tour."
Le Vatican fuit ses responsabilités
Signaler Répondrehttps://lanouvelletribune.info/2018/10/pedophilie-convoque-par-la-justice-francaise-le-vatican-dit-niet/
Allons allons Mickaël, il y a une énorme différence entre l'IVG (qui se pratique sur un fœtus par sur un enfant) et le viol.
Signaler RépondreVous le savez très bien alors pourquoi continuer de mentir?
Au fait puisque vous avez vos entrées au diocèse, avez vous des nouvelles du père Preynat toujours libre et toujours pas jugé par votre église d'ailleurs...... c'est long pour quelqu'un qui a reconnu depuis 20 ans ses actes pédophiles , et en a informé ses diverses hiérarchies.
Mon pauvre Mickaël
Signaler RépondreChristine Pedotti est catholique croyante, pratiquante et diplômée en théologie.
Vous pédalez donc à son endroit complètement à côté.
Concernant la pédophilie cléricale catholique, manifestement, la police et la justice pénale ne suffisent pas puisqu'on voit fleurir de plus en plus de scandales qui ne remontent pas à 30 ou 40 ans mais se passent aujourd'hui. C'est donc bien que la même politique au départ décidée par P6 est toujours appliquée sans aucune réserve.
A savoir le déplacement des clercs pédophiles et leur remise en service dans d'autres pays, d'autres paroisses, d'autres diocèses et toujours au contact d'enfants.
Donc faudrait sérieusement que l'institution cesse de nous prendre nous les croyants et citoyens pour des imbéciles.
Cette commission d'enquête parlementaire est donc tout à fait légitime dans le contexte d'opacité, de déni, de mensonges qui persiste.
Et qui ne date pas d'hier.
Déjà sur le sujet des couvents prisons, colonies pénitentiaires, bagnes, on retrouve le même déni, les mêmes mensonges, le même révisionnisme également.
Donc maintenant, ça suffit.
Les lyncheurs pétitionnent aussi pour obliger les médecins à devenir des "tueurs à gages" comme l'a dit le Pape françois!
Signaler Répondrehttps://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Ethique/clause-conscience-lIVG-nouveau-contestee-2018-09-24-1200970983
220 000 enfants chaque année ne voient pas le jour par décision de leur mère et complicité des "tueurs à gage" légaux!
ROSSIGNOL veut tous les obliger à assassiner!
Comment une femme pareille peut-elle se permettre de demander l'ouverture d'une mission parlementaire!
(Cette femme n'a jamais travaillé, elle n'a vécu que de l'argent des contribuables ou des étudiants)
Assassinat des enfants dans le ventre de leur mère obligatoire pour les médecins! Voilà ce que veut la pétitionnaire ROSSIGNOL!
Signaler RépondreUne ami sage-femme va être obligée de pratiquer ces saloperies sous peine de perdre son emploi!
Et ils veulent nous faire croire qu'ils se soucient des enfants!
Les lyncheurs pétitionnaires n'apprécient pas qu'on les mettent face à la réalité des gens avec qui ils lynchent et pétionnent!
Signaler RépondreIls sont ulcérés qu'on démontre le parti pris des pétitionnaires contre l'Eglise Catholique quand aucun n'a pétitionné hier ou aujourd'hui pour les crimes sexuels perpétrés au grand jour, et avec l'assentiment des cadres, car "passage obligé" [ dans ces cas li ne s'agissait pas de "brebis galeuses"] à Mouvement des Jeunesses Socialistes (MJS) ou à l'UNEF!
Mais leur en déplaisent je continuerai à démontreer leur double discours, leur indigantion à géométrie variable et leur haine avant toute chose des diacres, des prêtres, des évêques, des cardinaux de l'Eglise Catholique... sans oublié l'Opus Dei, l'Emmanuelle, etc...enfin de l'Eglise catholique dans son ensemble!
Les haineux pétionnent et lynchent, c'est logique!
Quand à la pédophilie et la pédérastie dans l'Eglise (qui doivent être combattue énergiquement) elles ne sont que prétexte pour s'en prendre à une institution qui refuse encore que l'on assassine par des "tueurs à gages" des enfants dans le ventre de leur mère [ crimes que ROSSIGNOL - La PRO PMA, PRO Avortement, etc...voudraient obliger tous les médecins à commettre], qui refuse la fabrication d'enfants délibérément privés de père par leur mère, la manipulation des embryons, l'élimination des vieillards mourants, etc...
Que d'énergie déployée pour tenter de protéger les violeurs d'enfants et leur complices...
Signaler RépondreAlors peut être que Dieu est grand !!! mais pas vous.
Avant tout un "socialo"!
Signaler RépondreAmi intime de HOLLANDE... Il est dans les dix premiers signataires du manifeste de ce qui deviendra le PACS, notamment avec les députés Patrick Bloche et Jean-Pierre Michel (Rapporteur de la Loi TAUBIRA sur le mariage et l'adoption pour les couples de même sexe).
Nommé sous HOLLANDE au CCNE pour rendre des "avis conformes" aux désirs du Président... C'est un PRO PMA comme sa compère ROSSIGNOL...pour le reste je vous renvoie à sa fiche Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Pierre_Mignard
QUI est la lyncheuse PRO PMA signataire de pétition pour établir une commission d'enquête sur la pédophilie dans l'Eglise Catholique, ancien membre de l'UNEF, syndicat étudiant téléguidé par le PS ou la culture du viol est endémique, payé par la MNEF, la mutuelle étudiante qui utilisait l'argent des étudiants pour payé des militants PS, devenue Sénatrice...PS?
Signaler RépondreEt bien cette femme "respectable" qui fut secrétaire d'Etat à la Famille!...est encore sénatrice (au passage qu'un parlementaire signe une pétition pour réclamer une commissin parlementaire a quelque chose de cocasse!)!
Et que demande cette "charmante" dame?
La suppression de la clause de conscience pour les médecins concernant l'avortement!!!
On sait ou elle aurait sévit sous la "Terreur" de Robespierre!
Que des catholiques s'associe à de telles personnes en dit longtemps!
Ça va MIckaël ? toujours des petits maux pour détourner l'attention mise sur les prêtres violeurs d'enfants?
Signaler Répondreà l'instar du pape qui après le coup de la psychiatrie pour les homosexuels nous ressort sa litanie sur l'IVG
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/religion/le-pape-compare-l-avortement-au-recours-a-un-tueur-a-gages_2039194.html
En grande forme papy, tout les 15 jours une nouvelle phrase type pour qu'on évite de parler de la pédophilie de l'église
Vous pensez sérieusement vous en sortir à coup de pirouettes?
Il va falloir clairement recruter un cabinet de gestion crise du cabinet de gestion de crise du diocèse...
La lyncheuse PRO PMA Laurence ROSSIGNOL - une "coco" notoire - non seulement est une ancienne de l'UNEF, une organisation dont le viol et l'agression sexuelle est endémique, mais en 1993, elle devient chargée d’étude à la MNEF, devenue la LMDE, dont elle percevra une rémunération pendant dix-huit ans (la mutuelle étudiante ayant fait l'objet de multiples malversations)!
Signaler RépondreIl y a d'ailleurs eu une commission d'enquête (sans conséquence) sur cette mutuelle qui s'est goinfrée sur le dos des étudiants et nouris les militants PS!
Quand on se permet de lyncher les autres, il faut au minimum être irrépprochable... ce n'est pas le cas de ROSSIGNOL!
https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_de_la_MNEF
Tiens, tiens...une ancienne de l'UNEF! Evidemment qu'elle n'allait pas demandé une mission parlementaire sur la culture du viol dans ce syndicat étudiant! ... ne savait-elle rien? a-t-elle été complice? a-t-elle demandé aux victimes de se tairent pour préserver l'organisation (comme BOUTELJA des Indigènes de la République le demande aux filles violées par des musulmans)?
Signaler RépondrePas de pétition, pas de missuion parlementaire, pourtant l'UNEF est un passage obligé pour faire carrière à Gauche!
1976. Les contacts qu’elle prend lors de ces activités militantes la conduisent alors à adhérer à la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) dont elle intégrera le Comité central.[citation nécessaire]
En 1976, elle obtient son bac et poursuit ses études à l'université de Dijon. Elle y passe sa licence de droit avant de s'inscrire à l’université Paris I Sorbonne où elle obtient un DEA de droit. Elle adhère au Mouvement d'action syndicale (MAS). En 1980, l’ensemble de la gauche syndicale non communiste décide de s’unir dans une organisation commune, l’UNEF-ID. Le MAS participe donc au mouvement. Mais la direction de ce syndicat n’ayant pu s’entendre avec la direction de l’UNEF-US, elle forme une tendance d’opposition appelée « Tendance luttes étudiantes action syndicale ». Laurence Rossignol participe alors à l’animation de celle-ci.[citation nécessaire]
À l’automne 1981, Laurence Rossignol, quitte la LCR pour le Parti socialiste. À l’UNEF-ID, aux côtés de Julien Dray, cela se traduit par leur passage à la Tendance Plus où les nouveaux venus sont intégrés parmi le cercle des dirigeants. Elle quitte le syndicalisme étudiant en 1983" https://fr.wikipedia.org/wiki/Laurence_Rossignol
Les socialos lyncheurs, les Laurence ROSSIGNOL ou autre Jean-Pierre MIGNARD se sont bien gardé de pétionner pour "que toute la lumière soit faite" au sein de l'UNEF et du MJS!
Signaler RépondreBien-sûr ils sont directement concernés!
Pourtant la "culture du viol" semble être bien ancrée dans la formation des futurs cadres du PS! (Pas de ZIG ou de MUSE pour s'agiter... )!
L'indignation à géométrie variable est une caractéristique des lyncheurs socialos, et des autres!
"MJS, UNEF : les mini-porcs de la gauche morale
Les usines à cadres du PS et de la gauche radicale étaient dirigées par des porcelets mais personne ne semblait sentir l’odeur du lisier. Malaise.
"Après le MJS, c’est le tour de l’UNEF. Les deux principaux viviers à cadres du parti socialiste étaient donc dirigés par des mini-porcs... Et si l’on savait déjà que la MNEF lui servait de cochon-tirelire, on n’imaginait pas que les structures de jeunesse les plus radicales, les plus intransigeantes, les moins accessibles à l’esprit de compromis de la « gauche morale » fussent aux mains de harceleurs à peine majeurs mais aussi beaufs que de vieux députés à emphysème.
Je le dis avec d’autant plus d’amertume que j’ai moi-même été, il y a longtemps, il y a prescription [MDR!], adhérent du PS, et que, si je ne me faisais plus beaucoup d’illusions sur la capacité de la rue Solferino à innover conceptuellement, je lui accordais au moins le bénéfice du doute sur le plan des mœurs et des principes à un DSK près."
Hugues Serraf est journaliste et écrivain.
Read more at http://www.atlantico.fr/rdv/zone-franche/mjs-unef-mini-porcs-gauche-morale-3243389.html#JEDf2tXiBzYSXwHM.99
Read more at http://www.atlantico.fr/rdv/zone-franche/mjs-unef-mini-porcs-gauche-morale-3243389.html#JEDf2tXiBzYSXwHM.99
La pétitionnaire PRO PMA ROSSIGNOL, pas plus que l'ami intime de HOLLANDE, PRO PMA, MIGNARD n'ont jamais pétionné pour réclamer une mission parlementaire sur l'UNEF où les cas d'agressions sexuelles ont été révélés! Pas plus qu'au MJS (Mouvement des Jeunesses Socialistes)!
Signaler RépondreNormal, ce sont des organisations de Gauche...dont ils ont fait partie!
Or aussi bien l'UNEF que le MJS militent contre les violences faites aux femmes alors que ces violences sont institutionnalisées en son sein (où "l'étaient"...jusqu'aux prochaines "révélations" de filles agressées sexuellement par un cadre de ces organisations, dont elles se souviendront après une longue psychothérapie, une fois que les faits seront prescrits!)
https://www.huffingtonpost.fr/2017/11/18/unef-des-femmes-denoncent-des-faits-de-harcelement-et-agressions-sexuelles-au-sein-du-syndicat-etudiant_a_23281501/?utm_hp_ref=fr-homepage&ncid=tweetlnkfrhpmg00000001
Unef: Des femmes dénoncent des faits de harcèlement et agressions sexuelles au sein du syndicat étudiant
Une organisation qui prônerait la culture de la "castorisation", autrement dit: "construire le syndicat avec sa queue".
Par Claire Tervé
HARCÈLEMENT SEXUEL - Après les accusations contre l'ancien président des Jeunes socialistes, c'est au tour de l'Unef d'être pointé du doigt pour des faits d'agressions sexuelles et de harcèlement. Plusieurs ex-militantes du syndicat étudiant ont témoigné de pratiques "sexistes", de cas de harcèlements et d'agressions au sein de l'organisation entre 2007 et 2013, rapportent Le Monde et France Info.
Une première expression, particulièrement imagée, interpelle: la culture de la "castorisation" qui prévaudrait au sein du syndicat. "La castorisation, c'est construire l'organisation avec sa queue. On couche avec des filles pour les emmener dans l'organisation", explique àFrance Info une jeune femme, ancienne membre du syndicat, assurant qu'"il y a eu des plaintes à l'Unef" et que "des victimes ont été dissuadées de porter plainte".
Ancienne cadre du bureau national, Annaïg s'est directement livrée sur Facebook dans un long billet jeudi 16 novembre.
"A l'Unef, à mon époque, quand tu étais une femme, tu étais soit une épouse, soit une sœur, soit une putain. Quelques semaines après mon arrivée au Bureau National, je me suis mise en couple avec un autre membre du bureau national. J'étais donc une 'épouse', intouchable, rideau. D'ailleurs, les autres copines 'épouses' n'ont jamais été victimes non plus, ou alors après leur séparation. (...) Suis-je la seule à avoir assisté à des discussions où des mecs expliquaient sans complexe, sans filtre et avec fierté de coq, pratiquer le 'sex by surprise' (sic) avec leurs partenaires?", interroge-t-elle.
Et de poursuivre: "Suis-je la seule à savoir que ces 'partenaires' étaient souvent dans une relation de domination liée à la position du monsieur dans l'organisation? Suis-je la seule à avoir été provoquée par un haut responsable de l'organisation qui savait que je vomissais ses pratiques?".
Avortements, "pressions", "menaces"...
Annaïg continue sa longue liste de dénonciations, évoquant des faits de plus en plus sordides: "Suis-je la seule à savoir que plusieurs camarades ont dû avorter et quelles pressions voire menaces elles recevaient pour se taire? Suis-je la seule à savoir que certaines personnes qui savaient, qui faisaient pression, poussaient la perversité jusqu'à se moquer de ces femmes?"
L'ancienne cadre évoque également les rencontres nationales lors desquelles certains cadres auraient eu pour habitude de choisir quelles "camarades" ils allaient héberger afin de pouvoir coucher avec elles. "Suis-je la seule à avoir discrètement jeté un œil sur la répartition des hébergements lors des rencontres nationales pour m'assurer que certaines camarades ne soient pas hébergées chez des prédateurs et donc jetées dans la gueule du loup? Suis-je la seule à avoir échoué à protéger certaines de ces camarades?".
Annaïg n'est pas la seule à avoir témoigné sur les réseaux sociaux. Raphaëlle Rémy-Leleu s'est également exprimée jeudi 16 novembre sur Facebook, affirmant qu'"aucune [militante] n'a échappé à la violence sexiste de l'organisation".
Quand il s'agit de l'Eglise Catholique tout le monde s'agite... mais quand c'est l'UNEF ou le MJS, tout le monde s'écrase!
Comme aurait pu le dire La Fontaine "Selon que vous soyez socialos ou clercs de l'Eglise Catholique, les jugements politico-médiatique vont rendront blancs ou noirs!"
Une des lyncheuses de l'Eglise Catholique, Pro PMA notoire, s'est bien gardée - pas plus que ses amis - de demander une mission parlementaire sur les graves agressions sexuelles qui ont eu lieu pendant des années dans ce syndicat étudiant de Gauche...luttant contre le sexisme et les "vioolences faites aux femmes"!
Signaler RépondreAgressions sexuelles au MJS : Laurence Rossignol réclame une enquête interne
Par Jim Jarrassé Mis à jour le 17/11/2017 à 13:34 Publié le 17/11/2017 à 13:08
LE SCAN POLITIQUE - La sénatrice socialiste, ancienne ministre des Droits des Femmes, veut «comprendre» l'omerta qui a régné pendant plusieurs années rue de Solférino autour du cas de Thierry Marchal-Beck, ex-président du Mouvement des jeunes socialistes accusé par plusieurs militantes de harcèlement et d'agressions sexuelles.
Les témoignages continuent d'affluer. Dans la foulée des révélations de Libération sur Thierry Marchal-Beck, l'ancien patron du Mouvement des Jeunes Socialistes (MJS) accusé de harcèlement et d'agressions sexuelles, la parole se libère au PS. Le Monde et Le Dauphiné libéré publient ce vendredi de nouvelles paroles de militantes sur les pratiques au sein du MJS et de l'Unef sur des faits qui remontent à plusieurs années. Six ans après l'affaire DSK, l'omerta a donc à nouveau régné au sein du PS.
Interrogée sur le cas de Thierry Marchal-Beck dans Parlement Hebdo, sur LCP et Public Sénat en partenariat avec Le Scan, la sénatrice socialiste et ancienne ministre des Droits des Femmes, Laurence Rossignol, exige des clarifications. «Ce qui m'a troublée, c'est que je suis identifiée dans mon parti comme étant une protectrice des femmes, comment est-ce possible que ce ne soit jamais remonté à mes oreilles? Je veux comprendre (…) On peut appeler ça une enquête interne. Je veux comprendre comment est-ce possible qu'un individu soumette des femmes autour de lui. Qu'elles conservent ça pour elles-mêmes ou que ceux à qui elles en parlent ne puissent pas régler» la situation, regrette cette membre de la direction collégiale du Parti socialiste, qui évoque un «problème de corporatisme».
Cher ZIG
Signaler RépondreVous avez dit, croyant ainsi faire voler en éclat la thèse du lynchage :
"À propos de Madame Pedoti, et de sa petition qui a été très critiquée ici par un catho conservateur qui a lancé le terme de lyncheurs: "C’est devenu un sondage, dont le résultat est sans appel. "Je m’attendais plutôt à du 65 %", lâche, éberluée, Christine Pedotti, directrice de la rédaction de ce magazine chrétien classé à gauche, au Parisien, qui publie ce mardi les conclusions de cette étude d’opinion : 87% des catholiques, 90% des pratiquants et plus largement 90% des Français, se disent favorables à ce qu’une commission d’enquête... "
Vous l'alimentez au contraire!
En effet le lynchage ou le phénomène du bouc émissaire c'est l'unanimité contre un seul... à 87% il en reste peu pour ne pas vouloir se dédouaner, comme le Père VIGNON, en se mettant du côté des accusateurs.
Car ceux qui pétitionnent et sondent comme Pedotti ( qui ose ce prendre pour le Peuple! MDR! pour obtenir par la pression ce qu'ils souhaitent, ne sont pas soucieux de la vérité, mais d'attaquer l'Eglise Catholique ; et les catholiques qui pétitionnent où se placent du côté des "Gauchos" anticléricaux sans réfléchir, ne cherchent qu'à ne pas être soupçonnés de complicité.
Mgr AUPETIT lui ne pouvait pas être défavorable à cette commission puisqu'il en serait l'objet et tout avis défavorable aurait été suivi par la question "Pourquoi vous avez quelque chose à cacher?" ...
Personnellement je persiste et signe!
Cette commission d'enquête initiée par des ennemis de la hierarchie catholique, des socialos notoires, des Pro PMA comme MIGNARD ou de Laurence ROSSIGNOL (Ancienne cadre de l'UNEF qui s'est bien gardée de demander une commission d'enquête sur les cas d'abus sexuels pratiqué à l'intérieur de ce syndicat!) est un mauvais coup... mais l'Eglise ne doit pas craindre les mauvais coups pas plus que d'être crucifiée, c'est sa vocation...
Mais ce n'est pas pour cela qu'il ne faut dire clairement qui sont les lyncheurs, les bastonneurs et leurs complices!
Pour les affaires de pédophilie dans l'Eglise, la Police et la Justice suffisent.
Touche le fond , mais continu de creuser !!!
Signaler RépondreJ'ai lu ça hier.
Signaler RépondreEn lien avec les dérives politiques et religieuses italiennes.
Déjà que les femmes italiennes ont de plus en plus de mal à pouvoir avorter et que les ligues anti IVG vont jusqu'à organiser des enterrements d'embryons...
Faudrait plutôt qu'il rapproche sa comparaison d'avec le meurtre de Manuela Orlandi et ceux que la milice privée et mafieuse des papes commet depuis de très très longues années et cache dans différents palais du Vatican...(voir l'excellent ouvrage de Gianluigi Nuzzi: Péché Originel).
Et puis quand il accueille Steve Bannon proche du KKK pour l'institut de la dignité humaine, c'est comme s'il engageait lui même ainsi que les cardinaux ultras conservateurs un tueur à gages.
À propos de Madame Pedoti, et de sa petition qui a été très critiquée ici par un catho conservateur qui a lancé le terme de lyncheurs:
Signaler Répondre"C’est devenu un sondage, dont le résultat est sans appel. "Je m’attendais plutôt à du 65 %", lâche, éberluée, Christine Pedotti, directrice de la rédaction de ce magazine chrétien classé à gauche, au Parisien, qui publie ce mardi les conclusions de cette étude d’opinion : 87% des catholiques, 90% des pratiquants et plus largement 90% des Français, se disent favorables à ce qu’une commission d’enquête... "
Pourquoi facho ?
Signaler RépondreNon cette idée n'est pas de moi du tout.
NI celle d'empêcher le débat d'ailleurs.
Et pour mieux faire diversion à ce sondage papy en remet une petite couche aujourd'hui sur l'avortement...
Signaler Répondrehttps://www.lemonde.fr/religions/article/2018/10/10/le-pape-francois-compare-l-avortement-au-recours-a-un-tueur-a-gages_5367268_1653130.html
Ce qui est lourd dans ce type d'échanges, c'est de constater que toute personne n'étant pas d'accord avec vous est systématiquement un facho. Ça limite un peu le débat ?
Signaler RépondreSoit les lyncheurs ont changé de camp, soit ils sont partout, soit les coupables ont du mal à le reconnaître.
Signaler RépondreBien d'accord, Alfred, c'est rassurant.
Signaler RépondreEt loin de la théorie du complot construite par notre supporter de la Manif Pour Tous.
Il est plutôt rassurant de constater, qu'une très large majorité des catholiques ne sont pas dupes et attendent autres choses que les belles paroles de leur hiérarchie.
Signaler RépondreC'est Mickaël qui va halluciner.
Signaler RépondreLe résultat d'un sondage sur la nécessité d'enquête parlementaire sur la pédophilie cléricale:
https://www.lci.fr/societe/sondage-pedophile-pres-de-9-catholiques-sur-10-veulent-une-commission-d-enquete-pour-lutter-contre-la-pedophilie-dans-l-eglise-2100869.html
Je n'incite personne à gober stupidement des conneries ... même les miennes.
Signaler RépondreEt je ne met que très très rarement les pieds dans une église.
Et vous pensez sérieusement qu'il y a des gens pour gober un tel ramassis de conneries ? On n'est pas à l'église !
Signaler RépondreSans doute un vieux reste d'inconscient familial.
Signaler RépondreIl y avait tellement de soutanes dans ma famille pour donner la messe chez mes grands parents bourgeois.
Même mon géniteur à tenté sa chance au séminaire avant d'être ré-orienter (trop impliqué dans ses 'etudes'?) vers le civil comme modeste pédophile incestueux père de famille nombreuse.
J'en ai eu une crise de foi surement
'En tout cas continuez à douter et réfléchir comme vous le faite.
Signaler RépondreVous avez mes encouragements.'
Ça pourrait être la parole d'un curé... Comme quoi.
'désolé, je n'ai de temps pour lire vos romans'
Signaler RépondreDans ce cas là, le mieux est effectivement de se taire. Si tout doit être torché en 40 caractères à grand coups de Lol, Mdr, Toussa, et Cie, ça risque d'envoyer du lourd...
Bonjour Zig
Signaler RépondreJe déplore la même chose que vous. Et pourtant je suis croyante.
Je pense pas qu'il soit sain de faire de Dieu et de ses représentants des vaches sacrées, des maîtres à penser. Ca mène toujours à des dérives. Dieu, enfin celui dont je suis proche tous les jours, n'est ni un maître à penser ni un père ni une mère ni un patron ou je ne sais quoi de hiérarchique. C'est quelqu'un qui m'aime infiniment et que j'aime et avec lequel je vis des moments très particuliers.
C'est un ami avec lequel je partage des moments intenses à la fois de réflexion, de rire, d'émotion, d'émerveillement, d'autocritique aussi. C'est vraiment une relation amicale sans hiérarchie, de type horizontale.
Je n'attends pas que Dieu dise oui à mes projets pour les faire.
Je sais que quoi que je fasse il sera là. Donc je n'ai pas de barrières hiérarchiques pour m'empêcher de faire des trucs. Les seules barrières que je peux poser sont miennes: peurs, procrastination, complexes.
Dieu n'est pas opposé à l'émancipation, à l'individuation. C'est tout ce que n'ont d'ailleurs pas compris un certain nombre de croyants, de clercs et encore moins les fondamentalistes. Ils voient Dieu comme un père, un patron d'entreprise, un maître à penser. Mais Dieu n'a rien à voir avec ces représentations autoritaires.
C'est vraiment un ami.
Donc dans ce cadre d'amitié, il y a le respect de la liberté dans toutes ses dimensions et l'accompagnement, le soutien dans l'émancipation, l'individuation et une relation horizontale et non verticale. Pas de domination, pas de soumission, pas de Dieu propriétaire des croyants.
Le message christique souligne d'ailleurs cette grande liberté, cet amour inconditionnel, cette ouverture, cette horizontalité.
Le sommet est incarné par la Transfiguration où justement il y a abolition totale de toutes les hiérarchies créées par l'humain.
Et on retrouve ça dans d'autres religions sous d'autres formes.
Ce qui créée les dérives religieuses, dont la pédophilie, c'est l'idée que le représentant religieux est Dieu à la place de Dieu, qu'il possède les croyants jusqu'en leur intimité, qu'il leur dit quoi faire, quoi dire, quoi penser jusqu'en leur intimité. Le croyant sujet n'existe pas. Il n'est qu'un objet soumis corps et âme au clergé et donc par extension à Dieu.
Or cela est folie humaine. Personne n'est propriétaire de personne.
Encore moins le prêtre.
Un prêtre n'est pas Dieu et ne sera jamais Dieu.
Il n'est pas un maître à penser, il n'est pas un chef hiérarchique.
C'est quelqu'un qui est au contraire au service. Qui peut prendre du temps pour aider, écouter, soutenir. Pas pour dominer.
Il y a donc une inversion totale du sens de la prêtrise depuis les débuts de l'institution. Parce qu'à l'époque, il est nécessaire de coupler la religion et la monarchie et les deux se répondent et s'alimentent politiquement.
Sauf que ce système va complètement contre le message christique.
Et qu'il produit quasi immédiatement des dérives, de la violence, des guerres.
L'utilisation des enfants comme domestiques mais aussi victimes expiatoires, cobayes pour soumettre arbitrairement, physiquement et sexuellement les populations démarre avec les débuts de l'institution cléricale romaine.
Les abbayes, les monastères, les séminaires, les couvents recrutent des enfants d'environ 8-9 ans qui ne revoient plus ensuite les parents. On peut parler de vente et d'achat de ces enfants qui doivent leur survie à la communauté religieuse. Et dans ce cadre de précarité extrême, tous les abus, les violences, les dérives sont possibles. Et ne tardent pas à se manifester. Quand un enfant est à ce stade de sujétion et de dépendance, tous les crimes peuvent se commettre sur lui.
Même chose avec les écoles monastiques, conventuelles.
La pédophilie cléricale actuelle française est l'héritière de cette époque qui démarre au 4ème siècle, se poursuit jusqu'en 1789, reprend dans les années 1840 dans une collaboration avec l'état via des colonies pénitentiaires et des couvents prisons et des bagnes religieux, mais aussi des écoles religieuses (du primaire à l'université) et se termine après l'arrêt de ces fonctions sociales et judiciaires, dans les groupes scouts, les communautés dérivantes sectaires accueillant des familles et exerçant une domination spécifique sur les enfants dans le cadre communautaire.
Les droits internationaux de l'enfant sont récents: 1989.
Il aura fallu près de 30 ans pour qu'enfin, les croyants violentés, abusés sortent du silence et dénoncent les viols, les abus.
Chez les croyants, peut-être encore plus que dans le reste de la population, la conscientisation autour des droits fondamentaux est très longue à s'implanter. Plus le milieu familial est ultra religieux, plus il y a déni des droits fondamentaux et un certain no-limites. Ce qui rend plus compliqué, l'accès concret à ces droits fondamentaux, pour l'enfant lui-même comme l'adulte.
Il n'y a eu guère d'interrogation sur la dimension abusive et criminelle de la pédophilie dans l'Eglise catholique romaine.
Sauf un cours instant sous J23, avec la mise en place de l'ordre des Serviteurs du Paraclet destiné à traiter les prêtres pédophiles et à les retirer de leurs fonctions cléricales, du contact avec les enfants. L'expérience se fera de 1947 à 1965. Après, on repart dans le fantasme de toute-puissance cléricale qui considère l'enfant comme un objet sexuel et de domination.
Et le prêtre, le religieux, comme un être sacré qui doit échapper à toute poursuite pénale même en cas de crimes.
Bonjour;
Signaler RépondreEn toute sincérité, je ne cherche pas à provoquer les croyants quels qu'ils soient, je dois manquer de certaines notions de base pour arriver à comprendre que certains croyants (voir tous peut-être) aient besoin de l'amour de Dieu pour diriger leurs pas vers telle ou telle direction.
Comme un enfant qui attendrait l'amour et l'approbation de ses parents pour aller dans la bonne direction.
Un jour il faut devenir adulte pour avancer selon ses propres convictions.
C'est là que le chemin devient difficile et parsemer de doutes.
Si la foi booste les croyants, c'est une bonne chose pour eux, et effectivement c'est une affaire entre eux et Dieu.
Pour ma part, je ne prétends pas être un "homme excellent", et je constate que l'humain a généralement besoin d'un guide (religieux ou non) pour avancer.
Et c'est un cela que je déplore chez certains etres humains (croyant ou non), ne pas savoir ce détacher de ce qu'ils présument être la bonne voie sous prétexte que c'est celle proposée par leur guide (religieux ou non).
Comme un enfant obéissant et "aimant" ses parents.
Bref, il peux y avoir plusieurs guides, religieux, politiques, philosophiques n'allant pas tous sur tout les domaines dans la même direction.
A nous humain à réfléchir et suivre ou non certains de ceux-ci dans certaines voies en NOTRE âme et conscience, et si cela déplait à Dieu (car ce n'est pas la voie qu'il avait imaginé), c'est une histoire entre nous et nos congénères je crois.
C'était juste pour vous préciser que je ne suis pas fondamentaliste.
Signaler RépondreCroyante je suis très contente de l'être.
Le problème pour les fondamentalistes, c'est que c'est tellement un formatage qui démarre tôt dans leur vie, et qui est défendu comme un privilège de classe toute leur enfance, leur adolescence et leur jeunesse, qu'ils n'ont pour beaucoup, jamais les moyens de pouvoir interroger le bien-fondé de ce formatage.
Il faut souvent des circonstances dramatiques pour qu'il y ait véritable mise en doute puis remise en cause de ce formatage. J'en parle en connaissance de cause ;-)
La psychanalyse fait très très peur à beaucoup de fondamentalistes.
Ils lui préfèrent les thérapies psycho-spirituelles du Renouveau Charismatique avec leur lot de dérives et de manipulation mentale. Simplement parce qu'au moins ils sont sûrs que c'est du religieux, pas de la science...;-)
On finit par savoir mais le savoir reste limité de toutes façons.
En parallèle se situent des expériences personnelles de croyances, sans qu'elles soient forcément reliées à un dieu. Et qui sont positives, qui participent autant que le savoir à la construction identitaire comme relationnelle.
Donc il me semble qu'il y a et qu'il y aura toujours coexistence des savoirs et des croyances, que ces dernières soient ou pas rattachées au divin. Après, le tout est de trouver un équilibre et une harmonie entre les deux, pas forcément facile! Peut-être dans un proche avenir avec les principes quantiques??? D'autres philosophies parviennent à un certain équilibre entre les deux sans qu'il y ait clash ou opposition binaire. Pourquoi pas nous? En partant d'une élévation du niveau de conscience de l'ensemble de l'humanité, ça me semble dans l'ordre du possible, même si je peux vous sembler très optimiste ;-)
Je suis assez d'accord sur le fait que des concepts religieux peuvent troubler un travail de réflexion mais aussi le lien entre les humains. Personnellement, je les intègre au plan mythologique et culturel. Ce qui du coup les replace dans un cadre qui permet le travail de réflexion et de lien. C'est très libérateur et inclusif aussi.
Pour moi il y a des savoirs subjectifs, liés à l'époque, à la condition humaine aussi complexe et contradictoire. Je ne sacralise rien. Pas même les savoirs.
Car j'ai remarqué à quel point la sacralisation des savoirs cause autant de dérives et d'abus que ceux que nous pouvons observer dans d'autres institutions. A partir de là, je reste très circonspecte.
Mes croyances restent une affaire strictement privée qui ne regarde que Dieu et moi. C'est une relation qui a beaucoup d'importance pour moi au quotidien et qui infuse je pense ma relation aux autres, comme ma façon d'envisager la vie.
Mais je ne vois pas de différence avec quelqu'un qui ne croit pas en Dieu. Pour moi, Dieu se donne à tous et toutes sous la forme que chacun pourra accepter dans son contexte de vie et son niveau de conscience.
Et Il se fait découvrir au fil du temps, en toute liberté. Il n'y a pas besoin de circoncision, de baptême, de rituels religieux ou de sacrements pour être aimé(e) et accompagné(e) ainsi.
Car l'Amour de Dieu est infini, sans mesure, inclusif et non exclusif, respectueux de la liberté individuelle.
Quand on le vit au quotidien au plan relationnel, ça booste et on voit encore plus en miroir inversé à quel point l'institution cléricale pédale à côté du vélo.
Je ne sais pas si nous parviendrons à extirper les crimes cléricaux pédophiles. Je pense que le système clérical préfèrera s'autodétruire plutôt que d'accepter une quelconque remise en cause. La nuque raide est trop épaisse chez nombre de hauts-clercs. Et le niveau des crimes commis sur la durée est tel que je doute qu'il y ait chez la plupart des clercs, assez d'ouverture intérieure pour réellement vouloir changer.
Certains le font comme Gabriel Ringlet, Charles Morerod, Richard Sipe par exemple.
Mais ça reste des exceptions. Le gros des troupes est loin loin de cette cohérence.
Mais une chose est sûre: nous ne pouvons pas en conscience, les laisser prospérer ces crimes pédophiles comme les dérives sectaires sur les croyants.
Parce qu'ils violentent le message christique et les individus tout en se faisant passer pour saints. C'est ça le plus grave et le plus blessant!
Pourquoi au fait être désolé d'être croyante ?
Signaler RépondreC'est ce que vous décrivez ci dessous concernant les fondamentalistes que je trouve d'archaïque:
"Eux ont besoin de ce côté immuable, de vérités révélées, de dogmes bien plombants, de rituels toujours identiques, d'oppression hiérarchique, de sacralisation. Ca les rassure. Et ça correspond pour beaucoup aux valeurs qui les porte: sécurité, ordre, famille, tradition."
Et une remise en cause de ces valeurs fondamentalistes acquises (ou subies ?) dans l'oppression relève pour certains je le crains de la psychanalyse.
Personnellement, je ne crois pas en l'existence d'un dieu.
Croire ou savoir, si on réfléchit, on finit par savoir, au risque de remettre en cause certaines croyances.
Et bien que non croyant, je ne crois pas que le message christique ait besoin de l'existence d'un dieu pour être entendu et juste.
Selon moi, les concepts tels que dieu, le paradis, l'enfer etc... troublent le travail de réflexion que les humains pourraient faire sereinement ensemble pour plus d'humanité et d'amour de son prochain (avant dieu).
Vous dite
"la notion de vérité n'existe pas. Parce que la vérité change d'une seconde à l'autre, qu'elle est toujours subjective..."
Je ne dirais pas les choses comme cela.
Le savoir évolue en permanence et si à une certaine époque la vérité était que la terre était plate, l'évolution du savoir a objectivement remit en cause cette vérité.
Il n'y a plus de subjectivité à avoir sur ce point.
Les croyances sont subjectives, pas les savoir, même s'ils sont en perpétuels évolution grâce aux doutes et à la réflexion des "chercheurs" (que chacun de nous peut être à son niveau).
Bon, je m'égare là.
En tout cas continuez à douter et réfléchir comme vous le faite.
Vous avez mes encouragements.
C'est comme cela que les chrétiens arriverons à extirper le mal de leur église, notamment la pédophilie (pirouette pour revenir au sujet ;-) et la rendre plus aimable.
C'est de là que viennent votre bêtise et votre arrogance. Il vous faut du pré-mâché, avec du slogan, de l'accroche publicitaire. Ressaisissez-vous !
Signaler RépondreMuse
Signaler Répondredésolé, je n'ai de temps pour lire vos romans (intéressants cela dit) je pars pour 3 jours dans un pays très catholique à l'Est ... :-) en mission pour l'OD (ce n'est pas vrai! Juste pour le boulot)
A bientôt
J'essaierai de jeter un oeil sur les prochains épisodes...
Reprenez les procès suite aux agressions homophobes.
Signaler RépondreIl s'agit au contraire d'individus liés à l'extrême droite et en grande partie confessionnelle catho.
Cette homophobie est d'ailleurs si forte au sein du catholicisme identitaire que plusieurs évêques identitaires français sous la houlette de Mgr Rey, souhaitent nous imposer les fameuses cliniques sud américaines de déshomosexualisation par le biais du Renouveau Charismatique français (les mêmes qui nous proposent les camps masculinistes Optimum et les camps antiféministes de Béatrice Dufour qui copie colle le bouquin de Jo Croissant, liée aux Béatitudes).
Ce qui ne peut qu'indigner nombre de croyants, dont des croyants homosexuels. Le mouvement chrétien catho et protestant David et Jonathan via Anthony Favier s'en était d'ailleurs fait très justement le relais il y a quelques mois.
Mickaël
Signaler RépondreC'est vous qui vous ridiculisez ici. Pas moi.
Je ne vois pas en quoi être fille de surnuméraire et victime d'inceste en impose. Hormis pour vous peut-être...;-))))))
Je ne vous crois pas du tout membre de l'Opus Dei.
Je vous dis par contre que la Manif Pour Tous que vous plébiscitez est un mouvement qui est une création opusienne et je vous explique les objectifs idéologiques, politiques, financiers et fondamentalistes que poursuit l'Opus Dei avec ce type de mouvement. C'est tout.
Libre à vous de ne pas me croire et de foncer tête baissée.
Mais au moins vous serez informé clairement de la situation.
Vous ne serez plus dans le flou. C'est tout ce qui m'importe quand j'informe les gens sur l'Opus Dei et ses différentes succursales.
Déjà vous confondez clairement GPA et PMA.
Ce n'est pas du tout la même chose.
Heureusement que les anti PMA ne sont pas tous fondamentalistes cathos. Mais vous, vous vous positionnez dans le fondamentalisme catho via la Manif Pour Tous.
Ce que ne feront jamais les personnalités que vous citez.
Quant à Macron avec Phiphi du Puy du Fou qui lui murmure à l'oreille, vous devriez être tranquille. Alors pourquoi tant d'agitation?
Nous sommes bien d'accord, Zig.
Signaler RépondreDésolée, je suis croyante mais pas fondamentaliste.
En fait, les hommes d'églises qui remettent en cause la véracité de textes sacrés, sont tout sauf fondamentalistes. Ils sont à la croisée des chemins de l'Histoire des religions et de la théologie.
Je crois qu'il y a toujours à un moment donné dans un parcours de croyant honnête qu'il soit ou non membre du clergé, où la curiosité en histoire des religions amène l'individu à comprendre qu'il n'y a pas de réalité historique, archéologique dans les textes dits sacrés, que c'est essentiellement de l'allégorie, de la symbolique, une fabrication politique, contrairement à tout ce qui est enseignement théologique.
Une fois que ces croyants ont compris ça, forcément il y a une mise en cause du contenu des textes sacrés mais aussi et surtout du système idéologique et politique qui a défini des dogmes autour de textes sacrés.
Concernant spécifiquement l'institution cléricale catholique romaine, vous avez une évolution de la pensée cléricale qui s'ouvre dans la période J23 et qui se referme aussi sec sous P6. Parce qu'il devient dangereux de réfléchir sur la domination, sur le système idéologique construit dont le clergé sait pertinemment qu'il est violent et inégalitaire et abusif, mais qui malgré tout garantit un certain nombre de privilèges que l'ensemble du clergé n'est pas prêt à perdre.
Dissociation du système économique, sacralisation, possibilité même sous le sceau du secret d'une vie assez dissolue et sans obligation vis à vis d'un tiers, domination autoritaire sur les croyants, protection totale du système clérical en cas de dérive ou de crimes...
D'où l'enfermement et la rupture consommée d'avec la majorité des croyants, le rejet de Vatican 2 et la restauration intégriste menée par JP2 mais déjà amorcée par P6.
Aujourd'hui le fondamentalisme catho romain qui est tenu par des groupes dérivants sectaires anti Vatican 2 tout en s'en réclamant (en fait ils s'en sont réclamés de façon très opportuniste, comme on adhère à un label pour obtenir des financements publics et une honorabilité de façade qui permet de valider un fonctionnement communautaire plutôt sectaire et dérivant), tenu aussi par un haut clergé ultra conservateur, héritier de la Contre Révolution, de la Nouvelle Droite Catho de Jean de Fabrègues, de la Cité Catholique de Jean Ousset ou de communautés clairement fondamentalistes comme St Pierre, St Martin, St Jean, Opus Dei, Légion du Christ, Renouveau Charismatique dans ses différents groupes, etc.
Dans cette crispation identitaire, il y a la volonté de sauvegarder le régime clérical qui est au départ construit sur le cléricalisme, le dogmatisme, le totalitarisme et le sexisme aussi et d'une façon plus générale, le patriarcat.
Toute l'idéologie fondamentaliste est dans cette défense-là alors qu'en réalité, le système montre qu'il s'écroule, par la réduction drastique des clercs due à un abandon de ce type de profession (qui ne constitue plus la promotion sociale d'autrefois) et à un abandon progressif du dogmatisme parce qu'évolution des savoirs, prises de conscience individuelles et collectives, niveau d'instruction et d'information supérieure à celui des anciens...
Les croyants progressistes dont je fais partie veulent sortir de ce système pyramidal, totalitaire, abusif et que soient traités au pénal crimes et délits commis par l'institution. Et qu'on entre dans un rapport complètement différent au clergé comme au texte biblique.
Au fil des décennies des théologiens, des clercs, des philosophes, de simples croyants relaient cette nécessité de changement pour rejoindre davantage le message christique qui a été supplanté par la sacralisation d'un système abusif et violent, qui n'est plus acceptable socialement ni idéologiquement ni politiquement si véritablement on souhaite une Eglise cohérente avec ce message de Jésus.
Oui, c'est sans doute très archaïque mais pas tant que ça dans la mesure où l'approche chez nous autres cathos progressistes évolue tout le temps. Nous ne sommes pas fixistes. Nous doutons sans arrêt.
Ce qui nous différencie d'ailleurs des fondamentalistes qui eux sont ancrés dans des certitudes, pensent détenir la vérité, alors que pour plein de cathos progressistes, moi la première, la notion de vérité n'existe pas. Parce que la vérité change d'une seconde à l'autre, qu'elle est toujours subjective...
Ce type d'attitude n'est pas possible chez les fondamentalistes.
Il n'y a pas cette capacité de réflexion et de positionnement. Ce serait par trop insécurisant pour eux.
Eux ont besoin de ce côté immuable, de vérités révélées, de dogmes bien plombants, de rituels toujours identiques, d'oppression hiérarchique, de sacralisation. Ca les rassure. Et ça correspond pour beaucoup aux valeurs qui les porte: sécurité, ordre, famille, tradition.
Du côté des progressistes, les valeurs sont plutôt émancipation, autonomie, épanouissement, échange, relation...
Nous avons donc des croyances forcément très différentes, donc une approche du catholicisme, de la religion, de la vie en général, qui n'est pas du tout la même.
On dirait un copié / collé fait de la Horde ou Rebellyon.
Signaler RépondreLes agressions homophobes et antisémites en France sont majoritairement le fait de musulmans. Pareil dans nos pays voisin. Sortez un peu de chez vous.
MUSE
Signaler RépondreArretez de vous ridiculiser au fil des posts... je vous le dit amicalement.
(Pour ceux qui arrivent sur ce fil, MUSE est la spécialiste des "révélations", en fait, des affirmations que tout le monde est censé croire sur parole...puisqu'elle a été victime d'inceste et est fille de surnuméraire de l'OPUS DEI... :-)) bigre! ça en impose! ...Mais rien ne prouve que ce qu'elle dit soit vrai, il est probable que le faux soit mêmé au vrai... elle me croit membre de l'Opus Dei alors que c'est totalement faux.)
Dire :
"Comparativement, la PMA soulève beaucoup moins de réactions.
Sauf de la part des catholiques intégristes, identitaires et du clergé qui considèrent que c'est la fin de la domination masculine et ça leur provoque des angoisses existentielles..."
est tout bonnement ridicule.
José Bové, Alexis Escudero, Marie-Jo Bonnet, Sylviane Agacinski, Bruno-Nestor Azero, Marie Jauffret, Eric Naulleau etc... sont contre la PMA sans père pour les femmes en couple et les célibataires, ils ne sont ni catholiques intégristes, ni identitaires...
Le Conseil d'Etat qui vient de mettre à bas tout l'argumentaire des Pro PMA Sans Père sous prétexte d'égalité par un arrêt sans équivoque!
Comme par paresse intellectuelle et sachant que les français sont toujours prêts à dire "Amen!" quand on les interrogent sur la réduction d'une inégalités, ces gens avait tout basé sur cet argument fallacieux, les voilà tout dépourvus quand la bise est venue!
Donc le prétexte de l'égalité, nulle et non avenu.
La promesse de campagne, c'est faux!
Les conclusions du CCNE : ridiculisées par l'arrêt du Conseil d'Etat.
MACRON n'a plus que deux solutions : renoncer définitivement...ou reporter aux calendes grecques!
Bonjour;
Signaler RépondreMon but naïf était de découvrir aussi quelles peuvent être les explications sensées que me proposerait un fondamentaliste ?
Personnellement, non croyant, je ne remet pas en cause l'éventuelle existence de Jésus.
C'est fort intéressant d'ailleurs de constater que des hommes d'église sensés remettent en cause la véracité de certains textes sacrés sur la vie de Jésus entre aut
Ce qui moi me surprend de la part de finalement un grand nombre de ces gens instruits, c'est qu'ils puissent oser dire sans complexe que certains grands principes sont immuables car de coulants de textes sacrés basés sur une histoire probablement fausse.
Je cite, le mariage des prêtres et des religieuses, l'accès pour les femmes à la mission de prêtres, leurs rôles inexistant dans le haut clergé... Et par extension la non reconnaissance par l'église du mariage homosexuel.
Tout cela car se serait contraire aux livres sacré qui nous racontent des histoires non prouvées !
C'est très archaïque comme philosophie de vie pour ceux qui s'accrochent à ces textes.
On va vous faire lire le Jardin Parfumé du Cheikh Nefzaoui, premier manuel d'érotologie, antérieur au Kamasutra il me semble...
Signaler RépondreLe livre est disponible aux éditions Picquier Poche, et il vous ouvrira un peu l'esprit sur le sexe et l'islam.
Et vous savez que vous avez des musulmans qui vivent en dehors des quartiers populaires. Comme il existe des musulmans diplômés et brillants au plan intellectuel. Comme il existe des musulmans homos donc qui font la Gay Pride et la Marche des Fiertés.
Et à toutes fins utiles, les agressions d'homos musulmans ou non, sont majoritairement le fait d'hommes blancs, et plutôt de culture chrétienne. Si je prends l'exemple ukrainien ou l'exemple du Guatemala qui créé les cliniques du droit chemin (centres de torture et de viols pour homosexuels), se sont des créations issues d'hommes ou catholiques intégristes ou protestants intégristes pentecôtistes.
Bonjour Zig
Signaler RépondreEn réalité, concernant la naissance et la conception de Jésus, il faut voir les choses sous l'angle symbolique et allégorique car archéologiquement, historiquement, il n'existe aucune preuve de l'existence de Jésus. C'est la même chose pour Abraham, c'est la même chose pour Moïse et c'est la même chose pour en réalité n'importe quel prophète de n'importe quelle religion monothéiste comme polythéiste.
En tant que croyante cependant, je vous recommanderais l'excellent livre de John Shelby Spong: Né d'une femme. Qui donne une approche beaucoup moins fantasmatique et plus réaliste dans le contexte religieux et culturel de l'époque, si l'on part du postulat que Jésus a réellement existé.
http://librepenseechretienne.over-blog.com/2015/10/a-propos-du-livre-de-john-shelby-spong-ne-d-une-femme-conception-et-naissance-de-jesus-dans-les-evangiles-jacques-musset-31-2015.htm
Concernant la pédophilie cléricale, un grand nombre de catholiques sont écoeurés par l'immobilisme institutionnel qui va du Vatican aux épiscopats et diocèses avec toujours la même politique instituée par Paul VI en 1965, à savoir le déplacement des prêtres pédophiles et leur recyclage.
https://www.opinion-internationale.com/2017/03/27/la-pedophilie-un-mal-quaucun-dieu-ne-saurait-benir_50140.html
https://www.opinion-internationale.com/2017/04/14/appel-au-pape-francois-pour-en-finir-avec-les-crimes-de-pedophilie-et-demprise-call-pope-francis-to-end-the-crimes-of-paedophilia-and-other-abuses_50169.html
Les mobilisations ont démarré aux US et se généralisent.
En tant que croyante et ancienne victime d'inceste, je me mobilise pour que la pédophilie en général (inceste compris) soient traitée au plan pénal quelle que soit l'institution, les individus adultes qui sont criminels.
Clergé catho romain compris, donc qui ne saurait faire exception.
Et je me mobilise d'autant plus que je constate la correctionnalisation de ces crimes au plan judiciaire, ce qui est totalement inacceptable.
La pédophilie est un crime, pas un délit. Tenter de la faire passer comme un délit est révoltant au regard de la gravité
Comparativement, la PMA soulève beaucoup moins de réactions.
Sauf de la part des catholiques intégristes, identitaires et du clergé qui considèrent que c'est la fin de la domination masculine et ça leur provoque des angoisses existentielles...
Ils ont peut-être peur que les religieuses installent sur le trône du Vatican des enfants qu'elles auraient faits et élevés toutes seules? ;-))
Et les laïcs identitaires ont peur que leurs épouses à patrimoine puissent décider autant qu'eux du devenir des entreprises et des enfants dans l'entreprise. ;-)
On va pouvoir leur ressortir Cookie Dingler et JJ Goldman:
Ca date pourtant d'il y a presque 35 ans...Souvenirs souvenirs!
À Fourviere par exemple ?
Signaler RépondrePerso je ne comprend pas ce genre d'argumentaires qui ne demontrent rien sauf la part de fantasme de ceux qui les émettent.
Je suppose que vous imaginez
1/ que les islamiques vivent principalement dans les quartiers 'populaires'.
2/ que les islamiques sont homophobes.
3/ que compter le nombre de mécontents qui s'exprimerait si la gay pride passait dans un quartier 'populaire' serait une démonstration incontestablement fondée de l'état de la démographie religieuse hors presqu'île, et par extension, dans le vrai monde.
Chapeau, il fallait le dire, vous l'avez fait !