La pomme de discorde porte sur la décoration du lieu, le nom du futur restaurant, mais également sur son modèle économique. Nicolas Le Bec, impliqué au titre de consultant, s’est purement et simplement retiré du projet, qui impliquait également les deux fils de Georges Blanc. Le chef d’origine bretonne a confié lundi à l’AFP que le projet parisien comportait un « risque de déstabiliser ses affaires lyonnaises. » Le Bec, outre son restaurant de la rue Grolée confié désormais au chef japonais Takao Takano, possède la brasserie Rue Le Bec dans le quartier de la Confluence, ainsi qu’un restaurant-lounge à l'aéroport de Lyon-Saint-Exupéry
Oui c'est évident que Le Bec nous prend pour des idiots. Qui aurait pu croire qu'il allait diriger l'Opéra quand on voit sa rue. Dans une interview à un autre journal lyonnais il reconnait lui-même que sa rue le bec ne "roule pas". Pour y avoir été, on le comprend. Ca a du être dur pour ses associés quand ils ont découvert le vrai Le Bec. En tous les cas, il en a bien profité pour faire sa comm !
Signaler RépondreSelon les milieux bien informés, cette défection serait plutôt à rapprocher des difficultés (pour être soft) que rencontre Le bec dans l'exploitation de ses restaurants lyonnais... Pas le moment de quitter le navire qui prend l'eau de toute part.
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