Pour rappel, Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac, fondateur de l’œuvre Française et leader des Jeunesses Nationalistes, avaient enchainé les actions coup-de-poing dans les années 2000 avant que leurs formations ne soient dissoutes administrativement par décrets du président de la République François Hollande en 2013 après la mort du militant d'extrême-gauche Clément Méric.
En première instance, le fondateur de l'Oeuvre Française avait écopé de 80 jours amende à 50 euros. Cette fois, le ministère public a requis 6 mois de prison avec sursis et la privation des droits civiques, civils et de famille de celui qui s’était vanté sur les réseaux sociaux d’avoir participé à une bagarre contre des antifascistes lors d’un rassemblement de Gilets Jaunes à Paris.
Dans une vidéo diffusée sur Youtube, Yvan Benedetti a réagi à ces réquisitions. Pour lui : "les nationalistes ne pourront pas être dissous, l’Œuvre Française existera toujours car la France existera toujours". On ne sait pas quand sera rendu le jugement de la Cour d’Appel.
Commentaires 5
Déposé le 11/05/2019 à 14h50
Par Lecussan Citer
Déposé le 09/05/2019 à 22h24
Par Jean Rachid Citer
Déposé le 09/05/2019 à 15h06
Par AIMETIVI Citer
Déposé le 09/05/2019 à 09h50
Par La loi mais que pour les autres Citer
Déposé le 08/05/2019 à 22h59
Par JUSTINE Citer