La Fête du livre de Bron, qui se tient cette année du 8 au 13 mars, va s’imiscer dans le réseau TCL à partir de ce vendredi. Pour lancer le festival, quelque 400 livres issus de la bibliographie des auteurs présents à Bron seront déposés dans les tramways T2 et T6.
Cette collaboration s’explique par un constat simple : les lieux de transports seraient privilégiés par les lecteurs pour s’addoner à leurs livres. Bruno Bernard, président de la Métropole de Lyon et du SYTRAL, se réjouit de “pouvoir mettre ces œuvres littéraires à la portée de tous, offrant ainsi une pause culturelle dans le parcours du voyageur ; un moment de découverte et de surprise”.
“Avec la complicité des conducteurs, cette opération de book-crossing consiste à libérer les livres pour qu’ils puissent circuler sur le réseau TCL et même au-delà,” précise le SYTRAL. Les livres à la disposition des voyageurs pourront être feuilletés, emportés, échangés ou transmis.
Quant au lancement de la Fête du livre de Bron, il se tiendra à l’hippodrome de Parilly mardi prochain.
ça servira à caler les banquettes qui s affaissent....
Signaler RépondreEn effet, cela prête à sourire, alors que le Covid était sur la moindre poignée de porte, prêt à nous dévorer la main il y a quelques semaines encore...
Signaler RépondreCela me fait songer à une autre absurdité à propos des bibliothèques, mais vu qu'elles fonctionnent sur les deniers publics et qu'elles pourraient se passer de la présence du moindre lecteur...
https://www.naiz.eus/media/asset_publics/resources/000/851/959/original/Aste47_OK.jpg
Quand on connait les protocoles sanitaires contraignants que doivent appliquer les médiathèques, on est en droit de s'interroger : Les livres dans les tramways avec ou sans COVID ?
Signaler RépondreDe la confiture aux cochons.
Signaler RépondreBonne idée s'ils ont les mains propres....
Signaler RépondreCertaines personnes lisent de gauche à droite, et aussi en Brail. Ceci dit , c'est une excellente initiative.
Signaler RépondreL'idée est sympa. Dommage, elle va finir en PQ pour les clodos et ivrognes au "Fanta".
Signaler RépondreC'est vrai que ce sont les dessinateurs les plus exposés.
Signaler RépondreA partir du moment où le piquant est dans le texte, le public est bien plus restreint, même dans l'hexagone...
Allez, je retourne dans un Wolinski, avec ces galeries de femmes insatiables.
Désolé pour roulette russe, tous les enfants ne savent pas lire les bulles des BD, même à 17 ans...
Signaler RépondreOh, un nouvel article de Lyonmag où les commentaires des lecteurs ne commencent pas par une volée de remarques acerbes ou injurieuses, c'est suffisamment rare pour être remarqué ! Merci à vous, Puravida. :)
Signaler RépondreLa lecture est le gage d'une bonne orthographe, d'un bon vocabulaire, d'ouverture d'esprit, d'évasions sans cesse renouvelées. Inutiles de se contenter des classiques : certaines bandes dessinées recèlent des trésors. Et les enfants aiment.
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